mercredi 10 mars 2021

 Mercredi 10 mars

Aujourd'hui nous fêtons: Victor, Victoria, Vivien, Viviane, Eugénie, Anastasie.

C'est sa fête : Vivian

Ce soldat romain est jeté nu dans un étang glacé, en Cappadoce, pendant l'hiver 320 pour avoir refusé de renier sa foi et de sacrifier aux dieux païens. 39 de ses compagnons endurent le même sort.

Dicton du jour: Si saint Vivien est gelé, quarante jours le jardinier aura froid aux pieds.

Citation du jour: J'ai un ami qui a réussi tous ses examens. Moi j'ai échoué à tous. Lui est ingénieur chez Microsoft, moi je suis le fondateur.

Bill Gates

Nouvelle rubrique:

Dans les pages de l'écho, en haut à droite une nouvelle page est crée. Elle et à votre disposition pour vendre, donner toute sorte de chose, proposer des services comme par exemple du covoiturage, offre d'emplois.....

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Marchés du jour:

LE MERCREDI LE MARCHE EST A

AUPS

DRAGUIGNAN

SALERNES

TOURTOUR




A table:

Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88
Plats à emporter

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Boulangerie artisanale, pains cuits au feu de bois. Tous nos produits sont faits maison et non pas issus de catalogues de produits surgelés
Tel: 06 16 12 83 42

La boulangerie ouvre le matin de 6h 45 à 13 h du mardi au dimanche inclus

Pendant la fermeture des restaurants: Vente de plats à emporter préparés par FANFAN

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RESTAURANT-PIZZERIA
LE BISTRONOMIQUE
56 Rue Neuve 83111 AMPUS
Tel: 06 95 07 64 00
Plats à emporter

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Des évènements lors d'un 10 mars:

 1906 : La catastrophe de Courrières  
(Pas-de-Calais) : Communes de Méricourt, Billy Montigny et Sallaumines.

Le 10 mars 1906, un coup de poussière ensevelit plus d'un millier de mineurs dans la région de Courrières. Les travailleurs du bassin minier débraient en masse pour protester contre une reprise prématurée de l'activité.

Une catastrophe d'une ampleur sans précédent

C'est l'une des plus grandes catastrophes minières de tous les temps avec officiellement 1 099 victimes. D'aucuns estiment plus vraisemblable le chiffre de 1 200 mineurs restés ensevelis dans les galeries sur un total de 1 800 qui étaient descendus ce matin-là.

Le point de départ de cette tragédie est l'explosion d'une nappe de grisou (gaz) dans le chantier Lecoeuvre. La présence de ce gaz avait été suspectée quelques jours plus tôt par des mineurs de fond mais la compagnie n'avait pas tenu compte de leurs avertissements...

Le coup de grisou ayant soulevé la poussière de charbon, celle-ci, beaucoup plus explosive que le grisou, s'est vite mise en auto-combustion et la flamme a parcouru 110 km de galeries en moins de 2 minutes ! C'est ce qu'on appelle un « coup de poussière ».

La catastrophe est immédiatement médiatisée, les journalistes et photographes arrivant sur place en même temps que les équipes de secours. L'émotion dépasse les frontières. Des équipes de sauveteurs arrivent avec des matériels sophistiqués du Borinage belge et même de la Ruhr allemande (cela quelques années à peine avant la Grande Guerre...).

Les opérations de sauvetage se soldent elles-mêmes par 16 morts, surtout dans les premières heures, lorsque des mineurs s'enfoncent sans attendre dans la mine, à la recherche de leurs proches.
De la catastrophe à la révolte

La compagnie minière hâte les opérations de secours pour relancer au plus vite l'exploitation. Indignées, les 50 000 « gueules noires » du bassin minier multiplient les appels à la grève. Leur colère déborde lorsque, le 30 mars, treize rescapés remontent de la mine, apportant la preuve qu'il serait encore possible de sauver des vies. Un quatorzième et dernier mineur est sauvé le 4 avril. La multiplication des débrayages met en péril l'approvisionnement du pays en charbon, combustible principal de l'époque.

Le tout nouveau ministre de l'Intérieur Georges Clemenceau, dont l'énergie est à la mesure de ses convictions républicaines et sociales, se rend à Lens et, courageusement, tente de raisonner les mineurs. Faute d'y arriver, il fait donner sans ménagement la cavalerie et l'armée. Jusqu'à 20 000 hommes. Les affrontements font une victime en la personne d'un officier tué d'un coup de pierre
.

Jean-Paul Victor
Pour Hérodote

1945 : Bombardement de Tokyo


À partir de novembre 1944, les Américains bombardent intensément l'archipel nippon. Les B29 détruisent les usines et les voies de communication sans épargner les villes.

Dans la nuit du 10 au 11 mars 1945, un tiers de la capitale Tokyo est elle-même détruite dans l'un des pires bombardements de l'Histoire, avec un total de 83 000 morts et 30 000 blessés dont beaucoup décéderont les jours suivants de leurs brûlures (« opération Meetinghouse »). C'est autant qu'à Hiroshima et plus qu'à Nagasaki, cinq mois plus tard.

Selon une technique mise au point contre l'Allemagne, plusieurs centaines de bombardiers déversent en quelques heures 1700 tonnes de bombes explosives et incendiaires. Sous l'effet du vent qui souffle cette nuit-là, les maisons, dont la plupart sont en bois, s'embrasent instantanément. Beaucoup d'habitants meurent carbonisés, parmi lesquels des survivants du terrible tremblement de terre qui avait eu lieu en 1923 !

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