dimanche 16 janvier 2022

Dimanche 16 janvier

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Aujourd'hui nous fêtons:  Marcel

Les Marcel sont souvent extrêmement anxieux du fait de leur lucidité et leur sensibilité exacerbées. Leur attachement pour leur famille comme pour leurs amis ou leurs maîtresses, est sans faille. Parce qu'ils sont plus à l'aise dans le monde des idées que dans celui de l'action, ils sont souvent considérés comme des intellectuels.

C'est sa fête : Marcel

Pape en 308, Marcel doit faire face aux persécutions romaines. Il est lui-même réduit par l'empereur Maxence à la condition de palefrenier.

Dicton du jour: Prépare pour Saint-Marcel, tes graines nouvelles.

Citation du jour: Certains sont intelligents et éveillés, on ne peut quand même pa les obliger à devenir des imbéciles.

Pr Didier Raoult

Dessin ou histoire du jour:

La blague (de mauvais goût) du jour : le pass vaccinal ne s'appliquera pas à l'Assemblée Nationale et au Sénat car plusieurs parlementaires ne sont pas vaccinés...

La route du mimosa



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En passant par les communes de Bormes-Les-Mimosas, Rayol-Canadel-Sur-Mer, Sainte-Maxime, Saint-Raphaël, Mandelieu-La-Napoule, Tanneron, Pégomas et Grasse, la Route du Mimosa offre une multitude de découvertes autour de cette fleur parfumée. ☀

Pour connaître chaque itinéraire proposé ➡ http://ow.ly/CqP350Hntaj

ÉTAPE 8 : GRASSE

Eveil des sens garanti : voici le bouquet final de la Route du Mimosa.

Logiquement, tout s’arrête au cœur de la capitale mondiale du parfum. Grasse et le mimosa, c’est une histoire d’amour vieille comme le monde. On y trouve le MIP (Musée International de la Parfumerie) où le mimosa est abordé sous toutes les coutures, notamment au cœur de toutes ses parfumeries historiques. Inutile de préciser que la ville célèbre les fleurs et les parfums tout au long de l’année.

Marchés du jour:

LE DIMANCHE LE MARCHE EST A

BARJOLS

MOISSAC

REGUSSE

SALERNES

VIDAUBAN

FIGANIERES


INFORMATION DE LA PAROISSE: 

MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS

 

Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.

Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.

Notre Dame de Spéluque AMPUSTous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

 

AUX ALENTOURS:

FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h
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CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.

TOURTOUR: Dimanche à 18h00.

VILLECROZE: Dimanche à 9h15.

AUPS: Dimanche à 11h.

SALERNES: Dimanche à 11h.


Activités:

Les activités sont indiquées à titre d'information. Compte tenu des nombreuses annulations encore constatées , nous vous conseillons de vérifier le maintien avant de vous engager.



Des évènements lors d'un 16 janvier:

16 janvier 1605 : Publication de la première partie de Don Quichotte

Mis en vente à 1200 exemplaires dans les boutiques de Madrid le 16 janvier 1605, sous le titre : El Ingenioso Hidalgo Don Quijote de la Mancha, le roman de Miguel de Cervantès recueille immédiatement un immense succès. Son succès à l'étranger bénéficie du très grand prestige dont jouit alors la langue castillane dans toutes les cours européennes peu ou prou liées à la dynastie des Habsbourg.

16 janvier 1917 : Télégramme de Zimmermann

Arthur Zimmermann, ministre allemand des Affaires étrangères en 1916-1917 (5 octobre 1864 - 6 juin 1940, Berlin)Le 16 janvier 1917, Arthur ZimmermanN, secrétaire d'État allemand aux Affaires étrangères, adresse un télégramme secret à son homologue mexicain. Il lui fait part de l'intention de son pays de reprendre la guerre sous-marine dans le conflit qui l'oppose à la France et au Royaume-Uni (elle reprendra en effet dès le 1er février 1917).

ZimmermanN propose par la même occasion une alliance au Mexique, avec à la clé, en cas de victoire, l'annexion du Sud des États-Unis.

Le télégramme est intercepté par la Marine britannique et transmis au président américain. Celui-ci le fait opportunément publier dans la presse le 1er mars. Le scandale pousse l'opinion américaine, jusque-là neutraliste, dans la guerre aux côtés des Alliés. C'est chose faite le 6 avril 1917 avec la déclaration de guerre des États-Unis à l'Allemagne.


16 janvier 1945: Nationalisation du constructeur automobile Renault.

renault

Le 16 janvier 1945, l’entreprise de construction automobile Renault Frères, à Billancourt, est confisquée par l’État.

C’est la conséquence d’une ordonnance du Conseil national de la résistance. Louis Renault, le patron, fondateur de l'entreprise en 1898, est accusé d'avoir collaboré pendant la guerre avec les autorités allemandes. C'est pour cette raison que son usine est saisie, et liquidée.

La nouvelle entreprise nationalisée prend le nom de "Régie nationale des usines Renault". Tous les actionnaires recevront leur part de cette liquidation, mais pas Louis Renault, qui est mort en prison le 24 octobre 1944, sans avoir pu présenter sa défense.

Longtemps vitrine sociale de la France, Renault sera privatisée en juillet 1996. Lié à Nissan, le groupe Renault-Nissan est aujourd’hui le 4e groupe automobile mondial.

LE PASS VACCINAL ET L'ASSEMBLEE NATIONALE

 



Covid-19 : pourquoi les députés n’auront pas besoin de passe vaccinal pour accéder à l’Assemblée

Voté à l’Assemblée après de longues heures de débats, le passe vaccinal qui devrait s’appliquer aux Français pour se rendre dans les bars, restaurants ou lieux de culture, n’est pourtant pas nécessaire pour les députés. Explications.


Illustration. Les députés et sénateurs n'auront pas besoin de passe vaccinal pour accéder aux hémicycles. LP/ Olivier Corsan

Sur les réseaux sociaux, la rengaine « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » est reprise par de nombreux internautes, irrités par le vote, aux aurores jeudi matin, du projet de loi transformant le passe sanitaire en passe vaccinal. « Les députés disent : Je vote une loi qui ne s’appliquera pas à moi-même. Dans ce cas, les citoyens peuvent-ils leur répondre : Je n’applique pas une loi que vous avez votée ? », s’indigne par exemple Hélène.

« Que le passe sanitaire comme vaccinal ne s’applique pas à l’Assemblée nationale et au Sénat (…). Deux poids deux mesures et il espère voir les Français les deux doigts sur la couture du pantalon, au garde à vous mdr (sic) même pas en rêve », peste Jacky. « La blague (de mauvais goût) du jour : le passe vaccinal ne s’appliquera pas à l’Assemblée Nationale et au Sénat car plusieurs parlementaires ne sont pas vaccinés… », fustige aussi Nicolas Meilhan, spécialiste de l’économie.

Dans leur viseur, un petit amendement, le numéro 226, inscrit au milieu de centaines d’autres, qui n’a pas été voté mercredi soir. Il a été déposé et présenté par le député LREM de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine, Jacques Marilossian. Celui-ci visait à étendre l’obligation de présentation du passe vaccinal à toute personne souhaitant accéder à l’Assemblée nationale ainsi qu’au Sénat. « Il s’agit de souligner l’enjeu de cohérence et d’exemplarité qui nous oblige tous sur ces bancs », a justifié l’élu à la tribune. Sans susciter d’engouement. Son texte a finalement été repoussé par le gouvernement et les députés. Petite exception : les restaurants parlementaires et les buvettes de l’Assemblée, déjà soumis au passe sanitaire, devraient aussi l’être au passe vaccinal.

Une décision anticonstitutionnelle ?

Si ce texte n’a pas été retenu, c’est notamment parce que certains parlementaires ne sont pas vaccinés, comme l’a expliqué le député LREM du Pas-de-Calais, Jean-Pierre Pont, rapporteur de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République. « Faut-il leur interdire l’accès à l’hémicycle et à la délibération ? Car soyons clairs, telle serait la conséquence de cet amendement si nous l’adoptions. Même si je déplore les discours en question (des non-vaccinés), je n’oublie pas que ces députés représentent, eux aussi, le peuple, dont les 5 millions de personnes non vaccinées. C’est pourquoi la constitutionnalité du dispositif présenté dans cet amendement me paraît très fragile. 

C’est en effet la crainte d’un rattrapage par le Conseil constitutionnel qui a pu freiner le vote des députés, en raison, craignent certains, d’une « atteinte à la démocratie ». Les élus que nous avons contactés évoquent le « libre exercice du mandat parlementaire » et donc l’accès au débat et au vote, garanti par une décision des juges constitutionnels de 2008. « C’est bien dommage car j’y étais favorable, regrette le député LR de l’Oise, Maxime Minot. Cet amendement aurait pu être symbolique. Aux Républicains, je ne connais qu’un député sur les 105 qui n’est pas vacciné. C’est hallucinant de voir des députés pas vaccinés. »

Les hémicycles en théorie pas les seuls exemptés

Parmi ces réfractaires à l’injection contre le Covid-19, on trouve aussi Martine Wonner. L’anti-passe sanitaire alsacienne ne « s’est pas sentie inquiétée » car, indique-t-elle, elle a reçu « un certificat de rétablissement. Pas besoin de passe, on est malade, on ne vient pas. Point ».

Déçu mais pas résigné, Jacques Marilossian, à l’origine de cet amendement, nous glisse qu’il souhaitait « tenter le coup, qu’on laisse le Conseil constitutionnel donner son avis plutôt que de l’anticiper ».

Ce débat n’est pas nouveau. En juillet dernier, déjà, le président du Palais Bourbon avait expliqué que le passe sanitaire ne pourrait s’appliquer à l’hémicycle car il ne passerait pas « le contrôle du Conseil constitutionnel ». Le sénateur (LREM) des Hauts-de-Seine, Xavier Iacovelli, avait lui aussi tenté de faire inscrire cet amendement dans la loi. Avant d’essuyer un même refus.

Les hémicycles du Parlement ne sont pas les seuls lieux qui devraient être exempts de tout passe vaccinal. Comme mentionné dans un décret, les lieux de culte et les transports en commun du quotidien, comme le métro, le RER et le tramway, sont protégés, via des textes fondamentaux, par la liberté de culte et celle liberté d’aller et venir.

En ce qui concerne les manifestations, elles en sont aussi dispensées. En théorie. « Le droit de manifester est reconnu de manière jurisprudentielle par le Conseil constitutionnel sous l’appellation droit d’expression collective des idées et des opinions et la Convention européenne des droits de l’Homme est très claire à ce sujet », expliquait en octobre au Figaro Benjamin Morel, maître de conférences en droit public à l’université Paris-II. Un droit qui peut toutefois évoluer pour des raisons de santé publique (ou sécurité). « Le critère de proportionnalité prend aussi en compte la situation sanitaire actuelle et les risques de propagation du virus », ajoutait le professeur.