samedi 5 mars 2022

 samedi 05 mars


Aujourd'hui nous fêtons:  Olive, Olivia, Théophile, Adrien.

C'est sa fête Olive

Jeune chrétienne de Palerme, la sainte du jour est martyrisée en 119 à Brescia, en Lombardie, sous le règne de l'empereur Hadrien. Elle est toujours vénérée à Brescia.

Dicton du jour: À la sainte Olive, ne verra point la grive.

Citation du jour:  Les fruits appartiennent à celui qui a planté l'arbre, les moissons à celui qui a fait les semailles.

Citation de Mocharrafoddin Saadi ; Le jardin des fruits - XIIIe siècle.

La photo du jour: Par Sylvie Bobsy

 



Bonjour mes Amis,
Nous nous dirigeons ce matin vers un tout petit village bien caché…Un petit village du Luberon dans laquelle l'Aigue Brun prend sa source. Bienvenue à Auribeau à l’époque où fleurissent les roses …
L'origine du nom Auribeau veut dire "vallée de l'or" à cause du trafic de métaux précieux dans le passé. Typique et pittoresque du Vaucluse, le village d'Auribeau est une perle posée dans l'écrin de verdure provençale.
Que votre chemin de vie soit tout aussi fleuri et tout aussi parfumé que l’est ce petit paradis du Luberon …
Très douce journée à tous … avec toute mon amitié


Air de campagne:

● Macron, la vie de «candidat». Au lendemain de l’officialisation de sa candidature, Emmanuel Macron a mis en ligne le premier épisode d’une série que ses équipes diffuseront chaque semaine. 

A la une du Parisien:

● Ukraine, le nucléaire . Alors que la plus grande centrale nucléaire d’Europe, Zaporijjia, vient de tomber aux mains des Russes après des combats, la sécurité des centrales nucléaires ukrainiennes inquiète le monde entier.

● Sur le terrain en Ukraine. Nos envoyés spéciaux se sont rendus à Irpin, dans les faubourgs de la capitale de l’Ukraine. Les habitants qui fuient les bombardements meurtriers et ceux qui ravitaillent les soldats et la population encore sur place se croisent sur les ruines d’un pont dynamité pour freiner les Russes.

● Sandrine Rousseau et Yannick Jadot, la rupture inéluctable. À la suite de ses propos rapportés par Le Parisien-Aujourd’hui en France, la finaliste malheureuse de la primaire écologiste a été exclue de l’équipe de campagne de l’eurodéputé.

● Flambée des prix. Farine, pain, gâteaux, lait, beurre, huile, poulet, œufs, porc... Le conflit entre la Russie et l’Ukraine devrait faire grimper le prix de nombreux produits dans les rayons français. De combien ? Quand ?

Marchés du jour:

LE SAMEDI LE MARCHE EST A

AUPS

BARJOLS

CALLAS

CLAVIERS

DRAGUIGNAN

TARADEAU

TOURTOUR

MONTFERRAT



INFORMATION DE LA PAROISSE: 

MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS 


 

 Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.

Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30. 

Notre Dame de Spéluque AMPUSTous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

 

AUX ALENTOURS:

FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h.

CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.

TOURTOUR: Dimanche à 18h00.

VILLECROZE: Dimanche à 9h15.

AUPS: Dimanche à 11h.

SALERNES: Dimanche à 11h.

Activités:

Les activités sont indiquées à titre d'information. Compte tenu des nombreuses annulations encore constatées , nous vous conseillons de vérifier le maintien avant de vous engager.




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Des évènements lors d'un 05 mars:

5 mars 1946 : Début de la guerre froide

Pendant un demi-siècle, le monde a vécu sous la menace d'une guerre majeure entre les États-Unis et l'URSS.

Cette «guerre froide» a été inaugurée le 5 mars 1946 par un discours de Winston Churchill à Fulton, dans le Missouri....

5 mars 1953 : Staline et Prokofiev s'éteignent à Moscou

Staline s'éteint à Moscou, le 5 mars 1953, à l'âge de 73 ans, selon l'annonce qu'en fait le Kremlin le lendemain matin au monde stupéfait...
Le même jour que le dictateur soviétique et dans la même ville, à quelques heures d'intervalle, c'est dans une totale discrétion que disparaît le compositeur Serge Prokofiev, à la veille de ses 62 ans. Ancien « enfant terrible » de la musique russe, il a émigré aux États-Unis puis s'est épanoui à Paris, avant de revenir finir sa vie en URSS.

Joseph Staline

21 décembre 1879 à Gori (Géorgie, Russie) - 5 mars 1953 à Moscou (URSS)

Biographie Joseph Staline

Successeur de Lénine à la tête de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS), Staline a été l'objet de passions extrêmes. Dans le monde entier, des millions d'hommes l'ont adoré ou vilipendé, souvent à en mourir. Il s'honorait du titre de «Vojd», mot russe qui signifie guide, équivalent de l'allemand Führer, de l'italien Duce ou de l'espagnol Caudillo. Mais la propagande communiste le surnommait aussi le « petit père des peuples ». Staline s’impose après la mort de Lénine en maître absolu du pays, multipliant les exécutions d’opposants et les déportations de minorités. Il collectivise en 1928 l'agriculture. Il s'ensuit une grande famine et environ six millions de morts.

En politique étrangère, peu désireux de faire les frais de l'expansionnisme allemand, Staline conclut un pacte de non-agression avec Hitler. Mais lorsque celui-ci rompt le pacte et envahit l’URSS le 22 juin 1941, Staline réveille le nationalisme grand-russe. Le sacrifice au combat de 13 millions de Soviétiques et la victoire de Stalingrad vaudront au dictateur le respect des dirigeants occidentaux en dépit de ses crimes innombrables. Après la capitulation allemande, le vieux dictateur place sous sa coupe les territoires d'Europe centrale libérés de l'oppression nazie. Jamais la Russie (ou l’URSS qui en tient lieu) ne semble aussi puissante qu’à ce moment-là… Le « rideau de fer » qui sépare ainsi les deux Europe survivra jusqu’en 1989, bien après la mort de Staline en 1953.


POURQUOI LE PASS VACCINAL NE VA PAS DISPARAÎTRE

 

Pourquoi le pass vaccinal ne va pas disparaître

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis, 

La fuite des civils ukrainiens dans le grondement des bombardements russes, l’approche molle de l’élection présidentielle française, occupent désormais la « Une » des journaux et les chaînes d’info.

Ni la situation sanitaire ni le pass vaccinal ne semblent plus intéresser les journalistes, après 24 mois de présence étouffante.

Et pourtant, hormis la levée de l’obligation de porter le masque au restaurant, le quotidien des Français n’a pas changé.

Le pass vaccinal est toujours actif ; il est obligatoire pour prendre le TGV, visiter un proche à l’hôpital ou entrer dans un café.

Je note un silence assourdissant de médias autour des désactivations du pass sanitaire.

Or ce sont elles qui vont déterminer le proche avenir du pass vaccinal.

La campagne de la troisième dose est un échec

Il y a 15 jours, 4 à 5 millions de personnes ont perdu, du jour au lendemain, le bénéfice de leur pass[1] ; 10 millions vont les rejoindre bientôt, c’est-à-dire tous les Français qui n’ont pas fait leur troisième dose.

Pourquoi les centres de vaccination sont-ils déserts ? Pour trois raisons :

  • les Français ont constaté que le grand méchant variant Omicron n’avait en réalité rien de grave et que le Covid, d’une manière générale, recule malgré les gigantesques contaminations de ces derniers mois ;
  • le rapport bénéfice/risque de la vaccination revient au centre des débats, alimenté par la commission d’enquête du Sénat sur les effets secondaires[2];
  • une part croissante de la population a compris que l’obsession vaccinale du gouvernement comporte d’autres objectifs de long terme (je vais y revenir)… et se montrent plus méfiants.

Le gouvernement n’a pas d’autre choix, dans ce contexte de désaffection générale pour la vaccination, que d’annoncer l’abandon du pass vaccinal. Ce devrait être chose faite d’ici la fin mars, en suivant l’exemple de tous nos voisins à l’exception de l’Italie.

Cette annonce n’empêchera évidemment pas Olivier Véran de bomber le torse et de clamer qu’il a « vaincu le danger » grâce à un pass vaccinal imposé énergiquement.

À quelques semaines de l’élection présidentielle, ça compte.

Mais non. La levée du pass vaccinal ne sera pas un happy end mais une première étape.

Quoi qu’il arrive, nous assisterons à l’un de ces 3 scénarios :

Scénario n°1 : abrogation totale du pass vaccinal (je n’y crois pas)

Le scénario le plus souhaitable… ET le moins probable… serait l’abrogation totale du pass vaccinal (et pas sa simple suspension).

En termes constitutionnels et humains, ce serait la chose à faire.

Nous reviendrions à un état de droit, où la liberté de chacun n’est plus déterminée par ses données médicales.

Cependant l’État a investi des moyens considérables dans la technologie du pass vaccinal. Mais aussi en force de conviction sur le thème « le pass vaccinal est bon pour vous ».

Vous ne jetez pas une voiture sophistiquée et flambant neuve après vous en être servi à peine quelques mois. Vous la remisez soigneusement au garage, en attendant des jours meilleurs.

C’est ce qui va se passer, j’en suis certain.

Scénario n°2 : suspension provisoire et réactivation l’automne prochain

Le deuxième scénario est que le pass soit suspendu provisoirement.

Le virus du Covid est devenu endémique, les scientifiques nous le disent. Cela signifie qu’il continuera à circuler sous une forme ou une autre, et que nous aurons, à chaque automne-hiver, des épisodes de contagion comparables à ceux de la grippe.

Cette saisonnalité prévisible permettra aux autorités de réactiver le pass vaccinal à l’automne – peut-être même dès la fin des vacances d’été, comme mesure préventive.

Il suffira cette fois d’une ou deux doses pour bénéficier du pass durant toute la saison froide, et ainsi continuer à pouvoir se déplacer, aller au restaurant, etc.

Et ainsi de suite : chaque année la campagne de vaccination anti-Covid deviendra saisonnière, exactement comme celle de la grippe.

À la différence près que…

…le fait d’avoir reçu votre dose… conditionnera vos libertés !

Scénario n°3 : réactivation et augmentation du pass vaccinal

Le scénario n°3 est la fille monstrueuse de la précédente.

Elle est à mon avis la plus probable.

L’État va considérer que le principe d’un pass vaccinal a désormais été acté, par les assemblées législatives de notre pays, mais aussi par la société civile.

Je l’écrivais dans ma pétition de décembre dernier : le pass vaccinal est un point de non-retour vers un nouveau modèle de société.

Je le pense toujours.

Je ne combattais pas ce pass vaccinal-là mais surtout tous ses avatars à venir.

Aujourd’hui, rien n’empêche l’État d’étendre l’application du pass à d’autres vaccins.

Le plus « évident » est le vaccin contre la grippe. Sachez que des projets de vaccins mixant anti-Covid et anti-grippe sont en cours de développement, notamment chez Novavax[3].

Il y a tous les autres vaccins, du DTP aux oreillons en passant par la rougeole et certains nouveaux-venus comme le Gardasil, le fameux « vaccin » contre le papillomavirus.

En fonction de votre année de naissance, l’intégration numérique de votre carnet de vaccination, attestant que vous êtes à jour de vos injections, paraît hautement probable.

Ce « pass vaccinal augmenté » pourra même, à terme, faire partie intégrante du projet d’identité numérique officiellement porté par l’Union Européenne.

Je vous rappelle que ce projet inclut votre accès « facilité » à vos comptes bancaires[4]. Que les deux projets fusionnent (pass vaccinal et identité numérique) ne me semble pas de la science-fiction. Je ne m’étonnerais pas, d’ici 5 à 10 ans, que vos avoirs puissent être « gelés » si vous n’êtes pas à jour dans vos injections.

Trouvez-vous que j’exagère ?

En toute franchise, je souhaite me tromper.

Mais ces deux dernières années nous ont fait assister à des décisions politiques et sociales si inouïes, si inimaginables avant cette crise, qu’en comparaison la pilule des scénario 2 et 3 serait plus facile à avaler – d’autant qu’elle serait étalée dans le temps.

Ce qui les rend possibles (et à mon avis probables) c’est, une fois de plus, le « précédent » qu’a constitué, pour la première fois dans notre Histoire, le conditionnement de notre vie sociale et de notre liberté, en tant que citoyen, à un acte médical au vu et au su de tous.

J’aimerais vous donner rendez-vous l’an prochain pour en reparler. En attendant je suis curieux de vos commentaires, à poster en cliquant ici.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet