lundi 13 mai

Aujourd'hui:  Bonne fête! Rolande, Saint Servais (Saint de glace), Fatima, Ismaël, Maelis, Gervais. 

 Les Rolande sont des femmes un peu masculines. Leur énergie est aussi débordante que leur générosité. Elles sont à l'écoute des autres, tout en consacrant une grande partie de leur temps aux voyages et à de nouvelles expériences personnelles.

Dicton du jour: Quand il pleut le 13 mai, pour le blé signe mauvais.

Citation du jour: "Le comble de l'abruti est de vouloir s'attribuer les talents et les vertus qu'il n'a pas." 

Citation de Jean-Baptiste Massillon ; Les maximes et pensées (1742).

Ça s’est passé un 13 Mai.
 2005 : Décès d'Eddie Barclay, 84 ans, producteur français de musique, célèbre pour ses soirées tropéziennes et ses nombreuses épouses. 
1981 : Le pape Jean Paul II est grièvement blessé dans un attentat, place Saint-Pierre, à Rome. 
1970 : Les Israéliens attaquent des bases palestiniennes au Liban. 
 1968 : Grève générale en France.
 Des négociations de paix s'ouvrent officiellement à Paris entre les Etats-Unis et le Nord-Vietnam. 
1962 : Le président indonésien Sukarno échappe à un attentat. 
1961 : Décès de l'acteur américain Gary Cooper. 
 1958 : Algérie: émeutes des pieds-noirs en faveur de l'Algérie française. 
1940 : La reine Wilhelmine des Pays-Bas fuit son pays envahi par les forces nazies et se réfugie à Londres, où Winston Chrurchill prononce son célèbre discours sur "sang, larmes, labeur et sueur". 
 1927 : Le "Vendredi noir" marque l'effondrement du système économique allemand. 
1888 : Abolition du servage au Brésil. 
 1871 : Une loi italienne garantit l'inviolabilité de la personne du pape et reconnaît son autorité sur le Vatican.  
 1610 : Le cardinal de Richelieu initie pour les repas l'usage du couteau de table, à pointe arrondie. 

Dessin ou histoire du jour:

Activités à Ampus et dans les environs:

Villecroze: festival mai théâtral

IL Y A UN AN......

Le 11 mai 2018 , Rosette nous a quittés.
Elle m'est toujours présente, tous les jours , lorsque je rédige le blog ou que je consulte les Toupins anciens et aujourd'hui c'est avec une  émotion particulière que je rappelle son souvenir.
Après une carrière professionnelle qu'elle a exercée avec passion et compétence dans la région stéphanoise, elle est revenue dans son village natal où elle a vécu toute son enfance et a laissé son empreinte indélébile par son dynamisme et son charisme.
 Son implication dans les associations du village et son talent pour écrire les articles du Toupin font d'elle une personne qu'on ne peut oublier tant elle a montré son attachement à son village. Elle était généreuse,  et d'une simplicité remarquable. Par sa grande culture et son courage  pour dompter, malgré son âge, l'outil informatique et la photographie, elle a su nous captiver avec son journal  par la variété de ses propos. Parfois très critiquée, elle ne cachait pas ses opinions et sa vision de la société, du monde , et surtout d'Ampus et est restée tenace et déterminée face à l'adversité de ses détracteurs. En un mot, elle était une personnalité forte et admirable.
Merci Rosette pour tout ce que tu as fait pour Ampus et pour l'exemplarité que tu nous a légué.

SOIREE EMPORIUM: NOS FEMMES

Texte et photos de Bernard

"Nos femmes", sans elles !

C'est une première proposée par l'association culturelle Emporium, présidée par Florence Fabre-Dureau, qui a été jouée vendredi soir salle Michel, avec la pièce d'Eric Assous "Nos femmes", mise ne scène par Alain Illel.

 Première pour une coproduction, puisque les trois comédiens venus de compagnies de théâtre différentes du Var et des A.M. ont réalisé une magnifique performance en

tenant le public en haleine jusqu'au final. Eric Fardeau dans le rôle de Paul, François Cracosky dans celui de Simon et Tony Mastropietro dans celui de Max sont amis depuis trente-cinq ans. Ils se voient souvent sans leurs femmes, sans doute pour mieux en parler, comme ce soir pour une partie de poker chez Max, mais Simon est en retard. Il arrive anéanti et avoue, après une dispute, avoir étranglé son épouse Estelle. Débute alors dans cette comédie misogyne un cruel dilemme pour Max et Paul, faudra-t-il mentir à la justice ou dénoncer leur pote ? Surtout quand Simon supplie ses amis de lui fournir un alibi pour échapper à la prison. La suite est délectable et à rebondissement avec ce formidable trio de comédiens qui font oublier l'absence des femmes sur scène. Mais que seraient-ils sans elles ? Eric Assous porte un regard attentif sur les couples, et confronte dans sa pièce deux sujets contemporains : une formidable leçon d'amitié et plus grave la violence faite aux femmes. Mais ce soir là ce n'était qu'une comédie qui a été longuement applaudie par un public conquis. 
B.G.