jeudi 20 août 2020

JEUDI 20 AOÛT

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS:  Bernard, Philibert, Samuel, Sam, Samy.

 Les Bernard ont un caractère contrasté: impulsifs, fonceurs, ils avancent généralement avec détermination mais sont parfois assaillis par le doute, qui les laisse alors désespérément irrésolus et faibles. En famille, ils se montrent possessifs et ne supportent pas qu'on conteste leur autorité. Le dialogue avec eux est souvent difficile; ils tendent à la paranoïa.

C'est sa fête : Bernard

Né au château de Fontaine, près de Dijon, Bernard entre à l'abbaye voisine de Cîteaux, fondée en 1098 par Robert de Molesmes. En 1115, à Clairvaux, en Bourgogne, il fonde lui-même un nouveau monastère selon la règle cistercienne et en devient l'abbé, d'où le nom sous lequel il va se rendre célèbre : saint Bernard de Clairvaux.


HISTOIRE DU JOUR:

Greta Thunberg a exhorté les Chinois à cesser d'utiliser des baguettes traditionnelles et à sauver des centaines de milliers d'arbres.

La Chine a conseillé à Greta Thunberg d'aller à l'école où elle pourrait apprendre que les baguettes sont en bambou et que le bambou est une plante, pas un arbre. Et ils l'ont appelé pour lui dire qu'elle pouvait arrêter de s'essuyer le derrière avec du papier toilette parce qu'il est vraiment en bois.


DICTON DU JOUR:  Quand arrive la Saint-Bernard, ton blé n'est plus sous le hangar et le moissonneur a sa part.

CITATION DU JOUR: Le plus sage est celui qui ne pense point l'être.
Nicolas Boileau-Despréaux.
MARCHES DU JOUR:

A TABLE!

Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88

Du 1 juillet et jusqu’au 31 août, Le Labo de Frédo sera ouvert tous les jours uniquement le soir à partir de 19h

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Le Bistronomique   56 Rue Neuve
83111 AMPUS
Tel : 06 95 07 64 00

Chers client(e)s, le restaurant Le Bistronomique d'Ampus sera fermé pour quelques jours en raison de problème de santé et ce dès le mardi 18 août 2020.
La moto ayant eu raison du Chef ... bon enfin le retour du kick sur la cheville surtout!
Merci pour votre compréhension et à très bientôt

 CA S'EST PASSE UN 20 AOÛT:

1866 : naissance du certificat d'études primaires

Par la circulaire du 20 août 1866, Victor Duruy, ministre de l'Instruction publique de Napoléon III, institue un certificat d'études primaires destiné aux « élèves qui auraient subi avec succès un examen portant au moins sur l'enseignement obligatoire », c'est-à-dire la lecture, l'écriture, l'orthographe, le calcul et le système métrique.

L'organisation de l'examen est laissé à la libre discrétion des conseils généraux qui administrent les départements et il faudra attendre un arrêté de Jules Ferry, ministre de l'Instruction publique sous la IIIe République, le 28 mars 1882, pour qu'enfin l'examen soit organisé sur une base nationale.

Le « certif » va très vite devenir le sésame des jeunes paysans méritants vers les emplois de la fonction publique et un moteur puissant d'ascension sociale. Il va aussi contribuer à la sanctification de l'école et de la culture classique (souci de l'orthographe et de la calligraphie, passion pour l'Histoire...). Pourtant, même après la Seconde Guerre mondiale, il ne sera octroyé qu'à la moitié de chaque classe d'âge, les instituteurs ne présentant à l'examen que leurs meilleurs éléments.

Naissance de Raymond Poincaré

20 août 1860 à Bar-le-Duc - 15 octobre 1934 à Paris

Biographie Raymond Poincaré

Raymond Poincaré, avocat de Bar-le-Duc (Lorraine) et cousin germain du mathématicien Henri Poincaré, se signale à la Chambre des députés, au début de la IIIe République, par sa sensibilité de gauche mais aussi son nationalisme ardent.

Succédant à Joseph Caillaux à la présidence du Conseil en janvier 1912, il n'a de cesse de préparer la «revanche» ou du moins de mettre la France en situation de résister à une agression allemande...



ACTIVITES A AMPUS ET DANS LES ENVIRONS:


Compte tenu de la situation sanitaire, les renseignements sont donnés à titre indicatif. Veuillez vous assurer qu'il n'y a pas d'annulation.






L'ESCLAVAGE: LIVRE A LIRE POUR UNE OPINION PLUS RAISONNEE

 


“Tous les peuples ont pratiqué l’esclavage. Mais seuls les Blancs l’ont aboli”


Nouveau livre de Bernard Lugan : Esclavage, l’histoire à l’endroit


Présentation :

Tous les peuples ont pratiqué l’esclavage. Mais seuls les Blancs l’ont aboli. A travers la conquête coloniale, ils ont ensuite contraint ceux qui continuaient à le pratiquer à y renoncer. Or, seule la traite pratiquée par les Européens est criminalisée.

Le 10 mai 2001, en votant à l’unanimité la « Loi Taubira », les députés français ont ainsi imposé une vision à la fois idéologique et manichéenne de la traite esclavagiste. Cette loi ne dénonce en effet que la Traite pratiquée par les Européens, faisant l’impasse sur la traite arabo-musulmane laquelle ne prit fin qu’avec la colonisation. 

Christiane Taubira a justifié cette singulière hémiplégie historique afin que « les jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006). 

Par leur vote, les députés français ont donc effacé de la Mémoire collective des dizaines de millions de victimes. A commencer par ces innombrables femmes et jeunes filles berbères razziées dans ce que les conquérants arabes appelaient la « moisson berbère ». Ibn Khaldun évoquait à ce sujet les « belles esclaves berbères, de toison couleur de miel ». Et que dire des millions d’enlèvements d’Européens opérés jusque dans les années 1800 en mer et le long des rivages méditerranéens, à telle enseigne que l’on disait alors qu’ « il pleut des esclaves chrétiens sur Alger » ?

Cette loi fait également l’impasse sur le rôle des Africains eux-mêmes. Or, comme les Européens attendaient sur le littoral que leur soient livrés les captifs par leurs partenaires africains, il dépendait donc in fine de ces derniers d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs. La réalité historique est qu’une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie. Les captifs n’apparaissant pas par enchantement sur les sites de traite, ils étaient en effet capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs. Ce qui a fait dire aux évêques africains : 
« Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne » (Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d’octobre 2003).
Or, par haine de tout ce qui est « Blanc », ceux qui se sont baptisés « décoloniaux », nient ces réalités historiques au profit d’une fausse histoire qu’ils introduisent au forceps selon des méthodes terroristes et qui est lâchement acceptée par des « élites » européennes entrées en dhimitude doctrinale. Le 19 juin 2020, le Parlement européen a ainsi voté une résolution surréaliste condamnant « l’utilisation des slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement Black Lives Matter et à en diluer la portée ». Le groupe LFI a même déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l’humanité » que la Traite européenne, et non « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial.

Cette entreprise de subversion connaît des développements apparemment insolites. Ainsi, au mois de mai dernier, en Martinique, deux statues de Victor Schoelcher, l’homme du Décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l’esclavage, ont été renversées à Fort de France et à … Schoelcher. Or, il n’y a ni inculture, ni crétinerie dans ces crimes iconoclastes, mais tout au contraire une claire attitude politique : un Blanc ne peut en effet mettre fin à l’esclavage puisqu’il est par essence esclavagiste… Alors, si les statues du père de l’abolitionnisme ont été renversées, c’est afin que soient mises à leur place celles de personnalités noires « esclavagisées » selon le vocabulaire « décolonial », et qui auraient lutté contre l’esclavage.

 Voilà donc les « décoloniaux » en plein complexe existentiel devenus les « esclaves de l’esclavage » selon la formule de Franz Fanon, lui qui refusait de se « laisser engluer par le déterminisme du passé ».

Ce livre remettant totalement à plat l’histoire de l’esclavage était donc une nécessité. Loin des nuées et des incessantes manœuvres culpabilisatrices, cet ouvrage enrichi de plusieurs dizaines de cartes et illustrations, d’une bibliographie détaillée et d’un index est le manuel de réfutation de cette histoire devenue officielle dont la finalité est de paver la route de la repentance afin de faire des Européens des étrangers sur leur propre sol.

Le nouveau livre de Bernard Lugan est disponible sur son site.