lundi 7 mars 2022

 lundi 07 mars


Aujourd'hui nous fêtons:  Félicité

C'est sa fête : Félicité

L'esclave Félicité, son amie Perpétue, une jeune mère, et trois compagnons furent condamnés pour propagande religieuse.

Le 7 mars 203, sous le règne de l'empereur romain Septime Sévère, ils furent livrés aux fauves puis déchiquetés par des gladiateurs, dans l'arène de Carthage. Leur martyre a donné lieu à un récit célèbre, en grande partie véridique, la Passio Perpetuae, et l'Église d'Afrique (la Tunisie actuelle) célébra longtemps leur souvenir.

Dicton du jour: Le jour de la sainte Félicité se voit venir avec gaieté.

Citation du jour:  Promet peu, et fais le plus qu'il dépend de toi pour être utile.

Proverbe arabe ; Les proverbes et pensées arabes (1838)


Dessin ou histoire du jour:



Air de campagne:

Marion Maréchal rejoint enfin Éric Zemmour

Dès les 500 signatures du candidat de Reconquête! officiellement validées par le Conseil Constitutionnel, Marion Maréchal a rejoint Éric Zemmour lors d’un grand meeting à Toulon devant plus de 8.000 personnes. 

 Valérie Pécresse, une campagne dans la tourmente. En baisse continue dans les sondages, la candidate LR peine à marquer les esprits. Elle va miser sur les débats pour faire entendre sa voix et tenter d’égratigner ses adversaires. Mais dans son camp, certains ne cachent pas leur inquiétude.

 Primaire populaire. Après le retrait de Taubira, la Primaire populaire a décidé de soutenir Jean-Luc Mélenchon. Alors que Yannick Jadot, candidat écologiste à la présidentielle, était arrivé second de ce vote populaire ayant réuni plus de 400 000 votants, les organisateurs ont décidé de soutenir le patron de La France insoumise.


Marchés du jour:

LE LUNDI LE MARCHE EST A

FLAYOSC







Des évènements lors d'un 07 mars:

7 mars 1792: Le docteur Louis, chirurgien célèbre, préconise la mise au point d’une machine à lame oblique afin d’exécuter tous les condamnés à mort rapidement et avec sûreté. La guillotine sera utilisée pour la première fois le 25 avril de la même année.

À l’instar du docteur Guillotin, qui, à son insu, a donné son nom à la machine, la France révolutionnaire ne se doutait pas qu’une simple réforme du code pénal allait engendrer l’un des plus redoutables instruments de mort. Une histoire, comme tant d’autres, née à Paris…
Contrairement à une croyance répandue, le docteur Guillotin n’est pas l’inventeur de la guillotine. Député de Paris en 1789, ce médecin de formation participa activement aux débats de l’Assemblée Constituante sur la réforme du code pénal, et demanda notamment que soient révisées les exécutions capitales.
Avant la Révolution, plusieurs modes d’exécution existaient selon la nature du crime, et le statut du condamné . Le noble était décapité au sabre, le bandit roué vif en place publique, le régicide écartelé… Des différences de traitement que souhaitait abolir le docteur Guillotin, pour que, même en matière d’exécution, chaque citoyen soit égal devant la loi. Une manière également d’éviter des tortures inutiles aux condamnés. En effet, il était fréquent que la décapitation échoue à la première tentative, ou qu’il soit nécessaire d’interrompre l’écartèlement pour sectionner quelques nerfs réfractaires…

À la suite de nombreux débats, l’Assemblée décréta en 1791 (via l’article 3 du Code Pénal) que « tout condamné aura la tête tranchée ».

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Antoine Louis et Joseph Guillotin dessinèrent alors les premiers plans d’une machine placée sur un échafaud. 

7 mars 1995: Mort de Paul-Émile Victor

28 juin 1907 à Genève (Suisse) - 7 mars 1995 à Bora-Bora (Polynésie)

Biographie Paul-Émile Victor

Né dans la famille d'un riche industriel, le jeune Paul-Émile Victor cherche longtemps sa voie. Élève-ingénieur à l'École Centrale de Lyon, il réalise l'exploit de s'en faire expulser avant la remise du diplôme.

Après une expérience dans la Marine puis dans l'aviation, il rencontre en 1934 le très célèbre explorateur Jean-Baptiste Charcot et le convainc de l'emmener sur le Pourquoi pas ? jusqu'au Groenland...


7 mars 1966: Charles de Gaulle, président de la République française, annonce le retrait du pays de la structure militaire de l’OTAN.

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Lettre de Charles de Gaulle du 7 mars 1966

Le 7 mars 1966, Charles de Gaulle adresse au président américain Lyndon B. Johnson une lettre pour l'informer de la décision de la France de recouvrer l'entier exercice de sa souveraineté sur le sol national et de son intention de se retirer des commandements intégrés de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord.« [...] La France considère que les changements accomplis ou en voie de l'être, depuis 1949, en Europe, en Asie et ailleurs, ainsi que l'évolution de sa propre situation et de ses propres forces, ne justifient plus, pour ce qui la concerne, les dispositions d'ordre militaire prises après la conclusion de l'alliance soit en commun sous la forme de conventions multilatérales, soit par accords particuliers entre le gouvernement français et le gouvernement américain. C'est pourquoi la France se propose de recouvrer sur son territoire l'entier exercice de sa souveraineté, actuellement entamé par la présence permanente d'éléments militaires alliés ou par l'utilisation habituelle qui est faite de son ciel, de cesser sa participation aux commandements « intégrés » et de ne plus mettre de forces à la disposition de l'OTAN. [...] »