samedi 18 décembre 2021

LE DARNAGA VOUS SOUHAITE DE BONNES FÊTES DE NOËL

La Nativité

NON SIGNE





 samedi 18 décembre


Aujourd'hui nous fêtons:  Gatien, Gratien, Gratiane.

. Les porteurs de ce prénom tourangeau se caractérisent généralement par leur sagesse et leur mesure. Généreux et affectueux, les Gatien sont par ailleurs des compagnons gais et charmants et des amants heureux

C'est sa fête : Gatien

Le saint du jour est envoyé en mission en Gaule par le pape au IIIe siècle. Il devient évêque de Tours. Après sa mort, sa dépouille est transférée par saint Martin dans la basilique de Saint-Lidoire

Dicton du jour: A la Saint-Gatien, les jours rallongent du pas d’un chien.

Citation du jour: Faites des bêtises, mais faites-les avec enthousiame.

Colette.

La photo du jour: Laurence photography

Artignosc dans le Var au mois de juillet
Hâte de retrouver tous ces petits villages 🤗

Bon après-midi à tous !



Dessin ou histoire du jour:



Marchés du jour:

LE SAMEDI LE MARCHE EST A

AUPS

BARJOLS

CALLAS

CLAVIERS

DRAGUIGNAN

TARADEAU

TOURTOUR


INFORMATION DE LA PAROISSE: 

MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS

 

Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.

Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.

 

Notre Dame de Spéluque AMPUSTous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

 

AUX ALENTOURS:

FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h
.

CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.

TOURTOUR: Dimanche à 18h00.

VILLECROZE: Dimanche à 9h15.

AUPS: Dimanche à 11h.

SALERNES: Dimanche à 11h.

Activités:

Les activités sont indiquées à titre d'information. Compte tenu des nombreuses annulations encore constatées , nous vous conseillons de vérifier le maintien avant de vous engager.











Des évènements lors d'un 18 décembre:

18 décembre 1737 : Mort de Stradivarius

Le 18 décembre 1737, le célèbre luthier Antonio Stradivarius meurt à Crémone, dans la vallée du Pô, à 93 ans.

Le secret du « Stradivarius »

Héritier d'une lignée de « facteurs » de violons, Antonio Stradivari, dont le nom a été latinisé en Stradivarius, a laissé derrière lui environ 1100 instruments de musique à la sonorité incomparable et encore jamais égalée. Il en reste environ 500 qui font le bonheur des virtuoses.

Le luthier a été formé dans l'atelier de la famille Amati. L'ancêtre Andrea aurait inventé le violon vers 1560 en développant une variante de la viole médiévale.

Le mystère demeure sur la perfection des violons de Crémone. On l'a attribuée au vernis ou à la forme de l'instrument. On l'a aussi attribuée à la qualité particulière du bois à l'époque du célèbre facteur. La dernière hypothèse en date vient d'un biochimiste texan : il incrimine un champignon local qui poussait sur le bois lors de son flottage sur les rivières de Lombardie et lui conférait après séchage d'exceptionnelles qualités vibratoires.



18 décembre 1994 : Découverte des peintures paléolithiques de Chauvet-Pont d'Arc


Le dimanche 18 décembre 1994, le spéléologue Jean-Marie Chauvet, accompagné de deux amis, explore une falaise, près du village de Vallon-Pont-d'Arc et des magnifiques gorges de l'Ardèche.

Les trois amis découvrent une grotte aux parois décorées de dessins aux teintes ocres, parmi lesquels de nombreuses représentations animales. Immédiatement alerté, le préhistorien Jean Clottes authentifie les peintures. Elles font de la grotte de la Combe d'Arc, ou grotte Chauvet,  l'un des trois plus beaux témoignages de l'art pariétal du Paléolithique européen, avec Altamira et Lascaux. Les unes et les autres sont l'oeuvre de l'homme de Cro-Magnon...

La grotte ornée du Pont d'Arc, grotte Chauvet-Pont d'Arc ou simplement grotte Chauvet, est une grotte ornée paléolithique située sur le territoire de la commune de Vallon-Pont-d'Arc (sud de l'Ardèche, France). Découverte en 1994, elle a d'abord été nommée grotte ornée de la Combe d'Arc (du nom du lieu-dit où elle se trouve) mais porte aujourd'hui le nom de son inventeur Jean-Marie Chauvet.

Elle fait partie d'un ensemble de grottes ornées attribuées au Paléolithique supérieur qui s'égrènent le long des gorges de l'Ardèche et parmi lesquelles figurent la grotte Chabot, le Figuier, les Deux-Ouvertures, la grotte aux Points d'Aiguèze et la grotte de la Tête-du-Lion.

Le site comporte un millier de peintures et de gravures, dont 447 représentations d'animaux de 14 espèces différentes. Plusieurs datations directes par la méthode du carbone 14 sur les charbons de

Ours (d’après le front)
 et panthère (d’après la queue
)
bois, de la datation U-Th sur les planchers de calcite, de thermoluminescence de traces de feu sur les parois ou de la datation cosmogénique par le 36Cl au niveau du porche ont donné des résultats cohérents qui indiquent que la grotte a connu deux phases d'occupation, l'une à l'Aurignacien (37 à 33 500 ans avant notre ère en âge calibré), l'autre au Gravettien (31 à 28 000 ans avant notre ère en âge non calibré). Les peintures et les gravures, réalisées pendant la première phase, comptent parmi les plus anciennes au monde. La diversité et la maîtrise des techniques (gravure, préparation des parois par raclage, dessin digité ou au fusain souvent suivi d'une estompe en écrasant la couleur avec les doigts pour obtenir des nuances diverses, détourage des contours, utilisation de techniques mixtes) dont elles témoignent ont profondément remis en cause l'idée d'un art préhistorique évoluant très lentement et de manière linéaire et ascendante.

La grotte est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 

18 décembre 1947: Naissance de Steven Spielberg

18 décembre 1947 à Cincinnati (Ohio, États-Unis)

Steven Spielberg, le papa d'Indiana Jones, a été révélé à 21 ans par le film Duel.

Le cinéaste réalise en 1981 une curieuse parodie de l'Évangile, ET : un extra-terrestre fait irruption dans un cercle d'enfants et de personnes simples. Il les séduit par son humanité mais n'a de cesse de leur parler du Ciel, vers lequel il aspire à revenir. Poursuivi par les méchants, il souffre et meurt. Mais quand son plus fidèle disciple se penche sur le sarcophage de verre et lui murmure : «I love you», l'extra-terrestre ressuscite, le coeur rougeoyant (on pense aux représentations sulpiciennes du Christ-Roi). Après une ultime course-poursuite, le nouveau Messie fait ses recommandations à ses amis, bénit la mère de son disciple puis monte au Ciel !...

Depuis lors, Steven Spielberg aligne les succès populaires dans des registres très différents, distrayants comme la série des Indiana Jones mais aussi moralisateurs et bien-pensants : The Color Purple (1985), sur la condition noire, La liste de Schindler (1993), sur la persécution des juifs... Le film consacré à Lincoln (2012) demeurera peut-être comme son plus grand chef-d'oeuvre.


18 décembre 1970: Création d’Airbus, par la restructuration de Aerospatiale, créée en début d’année, et Deutsche Airbus.

airbus a300b photo

18 décembre 2013: Implantation pour la première fois d’un coeur artificiel total à l’hôpital Georges Pompidou de Paris.

le premier cœur artificiel a été implanté chez un patient insuffisant cardiaque. Cette prothèse définitive "made in France", conçue par le Pr Alain Carpentier, est une vraie révolution en chirurgie cardiaque, alors que les cœurs artificiels implantés étaient jusque-là des prothèses transitoires chez des patients en attente de greffes.
coeur artificiel photo

Un cœur artificiel est une prothèse intra-corporelle (ou para-corporelle) conçue pour se substituer au cœur natif et exécuter les fonctions motrices de la circulation sanguine du corps humain, afin de traiter les personnes présentant de l'insuffisance cardiaque et autres maladies cardio-vasculaires graves. La recherche et les tentatives de production de cet organe artificiel ont montré que les principaux obstacles à surmonter sont l'autonomie, la taille de la prothèse qui, lorsque cette dernière est intra-corporelle, doit être anatomiquement compatible à la cage thoracique, les risques d'infections liés au câble percutanés d'alimentation, et les risques thromboemboliques.

Il existe deux types de cœur artificiel :

  • le cœur artificiel total, réservé aux malades graves, qui remplace totalement le cœur biologique. Le chirurgien laisse généralement les oreillettes en place et y connecte les ventricules automatiques ainsi que les vaisseaux. Au contraire d'une transplantation cardiaque, l'implantation d'un cœur artificiel ne présente aucun risque de rejet par le système immunitaire puisqu'il s'agit de matériaux biologiquement inertes. En revanche, d'autres risques prévalent, notamment les risques thromboemboliques. Le chirurgien cardiaque français Alain Carpentier a été pionnier dans ce domaine avec le cœur totalement artificiel de la société CARMAT, qui réussit une première implantation en décembre 2013 ;
  • le cœur artificiel provisoire, de type Jarvik-7 (cœur pneumatique à diaphragme du nom de Robert Jarvik), dans l'attente d'une transplantation cardiaque.

Les dispositifs d'assistance ventriculaire représentent environ 4 500 opérations annuellement en France, (même s'il faut, pour cela, que la partie droite du cœur fonctionne normalement). En revanche, Il est important de noter que les assistances ventriculaires ne sont pas des cœurs artificiel en vertu du fait qu'elle ne remplacent pas le cœur natif du corps humain mais viennent se greffer à ce dernier de manière à l'assister dans l'exécution de ses fonctions moteur et circulatoire. Tout comme nous ne n’appellerions pas un pacemaker un cœur artificiel, il en est de même inconcevable pour les assistances ventriculaires.

Naissance de





ARRÊTER DE TRAITER LA POPULATION SAINE COMME SI ELLE ETAIT MALADE

ARTICLE QUE L'ON A PAS BEAUCOUP VU DANS LES MEDIAS DE LA METROPOLE





 Pr Alexandra Henrion Caude : « Il faut arrêter de traiter la population saine comme si elle était malade »

La Pr Alexandra Henrion Caude est une généticienne, directrice de recherche de l’Institut SimplissimA à Maurice et ancienne directrice de recherche de l’hôpital Necker à Paris. De France où elle vit l’expérience du Covid-19 au quotidien, elle a bienveillamment répondu aux questions de Week-End comme elle l’avait fait en février 2020 et en janvier 2021. Elle évoque l’évolution de l’épidémie du Covid-19 et regrette que les autorités locales n’aient pas entendu son message de se concentrer uniquement sur la population malade.

La pandémie globale du Covid-19 n’arrête pas de rebondir. On en est à la cinquième vague. Préconisez-vous de ne s’occuper que des malades ?

Je vous avais répondu en janvier 2021 sur la situation globale en matière de Covid-19. À l’époque, j’insistais sur l’urgence de redonner toute l’attention du ministère de la Santé sur sa population malade et uniquement les malades, et d’arrêter de traiter la population saine comme si elle était malade. Cela reste ma recommandation. Sans compter qu’une telle recommandation permet de diminuer grandement la quantité de stress qui met en danger gravement la population, et notamment les diabétiques.

Mon appel d’aujourd’hui reste donc le même, mais avec beaucoup plus d’insistance ! En traitant la population saine comme si elle était malade, on l’a fait entrer dans une étude expérimentale dont les résultats à travers le monde, et sans aucune exception, sont non seulement décevants d’après le consensus, voire catastrophiques d’après certains scientifiques et des médecins, qu’on tente de faire taire par la censure ou le travestissement de leurs propos. J’en sais quelque chose étant en contact avec des collègues du monde entier… Certains ont accepté de perdre leur travail au nom de la vérité. Récemment, un médecin allemand s’est tragiquement donné la mort justifiant par une lettre qu’il ne supportait plus de devoir travailler avec tant de mensonges.

En quoi la campagne de vaccination est-elle décevante ?

Si on reprend l’histoire récente pour la justifier, la communauté scientifique s’est reposée sur une idée totalement théorique d’immunité collective (herd immunity), et qui s’est trouvée totalement démentie. Aux États-Unis, les scientifiques comme le Dr Anthony Fauci la qualifient volontiers de « mystique ». Je le cite : « Je dis toujours qu’il y a cette terminologie insaisissable et quelque peu mystique d’”immunité collective” et de “seuil d’immunité collective”. » Ainsi, la justification de la vaccination collective a été fondée sur une croyance théorique qui ne repose sur aucune réalité tangible. Ces idées non-scientifiques ont aussi amené la communauté à douter de l’existence même d’une immunité naturelle, alors que tous les articles s’accordent maintenant à admettre que cette immunité naturelle existe bel et bien, et qu’elle reste d’ailleurs la plus durable et la plus efficace contre une réinfection par de nouveaux variants !

Une deuxième raison pour laquelle cette campagne a déçu, c’est qu’on s’est rendu compte que ces injections n’empêchaient pas du tout la transmission, qu’elles n’empêchaient pas les double-vaccinés d’avoir le Covid-19 ni d’en mourir, et enfin, qu’elle devenait inefficace si rapidement (en 5-6 mois) qu’il fallait injecter les populations chroniquement. N’est-on pas déjà arrivé à la troisième dose et dans certains pays, la quatrième… C’est bien une histoire sans fin, sans l’assurance que l’immunité ne continue de baisser entre deux injections, et donc finisse par ne plus marcher du tout. C’est une question que de nombreux immunologues se posent, car ils sont surpris par cette baisse si rapide de la défense. Pour moi, il faudrait considérer le pass comme ce qu’il est : un outil de contrôle politique qui, du point de vue sanitaire, s’apparente à un AVC, c’est-à-dire un Abonnement Vaccinal Chronique. Ce serait plus exact.

À Maurice comme ailleurs, plus on est vacciné, plus il y a de cas positifs, plus il y a de morts. Y a-t-il vraiment un lien de cause à effet ?

Alors que Maurice s’affole de la montée des cas, interrogeons-nous sur le lien très fort de concomitance entre vaccination et augmentation des cas et des décès. Et en quoi cette campagne de vaccination pourrait-elle être qualifiée de dangereuse ? Si l’on fait deux groupes des pays européens et africains, d’une part, ceux qui ont injecté complètement plus de 65% de leur population et, d’autre part, ceux qui en ont injecté moins de 20%, on comprend d’un coup d’œil cette dangerosité. Plus les ronds sont placés haut, plus on a vacciné. Plus les ronds sont gros, plus le nombre de décès totaux en 2020-21 est important (voir figure 1).



 Et sur ce schéma, on voit ainsi que la situation de Maurice est pour le moins préoccupante parmi les pays africains. Or, en approfondissant ce qui s’est passé dans d’autres îles, les Seychelles, la Nouvelle Calédonie, Maurice, on s’aperçoit que ces îles qui avaient été épargnées jusqu’alors, parfois avec zéro décès comme en Nouvelle-Calédonie, dès qu’ils ont commencé à injecter de façon rapide et massive, les cas et les décès n’ont fait qu’augmenter, avec des vagues successives, qu’on peut attribuer à chaque nouvelle dose. Une autre caractéristique terrifiante des pays qui ont massivement injecté est que la population qui se retrouve touchée est de plus en plus jeune. Cette observation devrait être une alerte suffisante pour stopper toute campagne d’injection de ces populations jeunes qui, pourtant, n’étaient pas à risque du Covid-19. Pour comprendre cette dangerosité des différents types de vaccin (classiques comme Sinopharm, OGM comme AstraZeneca ou Janssen, ou injections d’ARNm comme Pfizer et Moderna), j’ai proposé la notion de maladie de Spike, ou de “spikopathy”. Tant que ces vaccins nous feront produire du Spike, nous pouvons nous attendre à des résultats similaires quel que soit le vaccin.

Les résultats de la vaccination ne serait donc pas si efficace ?

A-t-on déjà vu un médicament (vaccin) anti-Covid-19 dont on vous dit qu’il ne vous protège pas du Covid-19 ? Que dans les 15 premiers jours qui suivent la prise du médicament c’est comme si vous n’aviez pas pris ce médicament ? Qu’il faut en prendre une dose tous les 5-6 mois, car il devient inefficace ? Qu’il met en danger les jeunes par des myocardites ? De toute l’histoire moderne des médicaments, on n’en a jamais vu un causant autant de décès dans les bases de données américaines du VAERS, comme le montre l’histogramme qui le compare avec le vaccin contre la grippe (voir figure 2).



Et on ne sait pas du tout s’ils ne risquent pas de provoquer des cancers (comme nous l’a confirmé l’Agence du Médicament Européen avec laquelle nous nous sommes entretenus) ni s’ils modifient la fertilité (sachant, par exemple, que de nombreux troubles des règles sont rapportés) ?

Très tôt, j’avais pourtant souligné le fait qu’on ne connaissait pas de stratégie vaccinale qui ait marché avec un coronavirus, et qu’il convenait donc d’être extrêmement prudent et d’informer les “cobayes” de cela. Quelques mois après, on se retrouve dans la situation que j’aurais tant aimé éviter pour Maurice. Celle où, en croyant bien faire, et en vaccinant sa population, on arrive à la situation terrible qu’avec le nombre de vaccinés qui augmente, la situation sanitaire ne fait que se détériorer, alors que tout devrait être mis en œuvre pour prévenir et traiter. Pourtant, de nombreuses solutions par les molécules et des plantes connues des Mauriciens ont montré une efficacité. Mais si on admettait cette efficacité, on n’aurait plus eu le droit d’injecter ces produits qui n’ont pas suivi le parcours des autorisations classiques de mise sur le marché. C’est pour cela qu’on parle si peu de traitements. En janvier dernier, vous évoquiez la problématique des diabétiques et les événements à Maurice vous ont donné raison… Plusieurs études récentes agitent considérablement le monde médical et en particulier nos collègues vaccinateurs. L’une concerne très spécifiquement les diabétiques sur lesquels j’alertais encore une fois dans vos colonnes dès janvier 2021. Paru dans les revues du groupe Nature, la vaccination cause chez les injectés (vaccin chinois) une augmentation du marqueur du diabète HbA1c. Les résultats de cette étude indiquent que la vaccination, en plus de stimuler la génération d’anticorps neutralisants, aggravent les marqueurs du diabète, des problèmes de rein, de cholestérol, de coagulation, « comme si les volontaires subissaient une infection », indiquent les auteurs. Un autre abstract paru dans la revue Circulation conclut que les injections augmentent considérablement l’inflammation de nos vaisseaux et du muscle cardiaque, pouvant expliquer les observations des thromboses, des cardiomyopathies et d’autres événements plus nombreux. Puisque tout se passe « comme si il y avait une infection », et que cela se passe quel que soit le vaccin.

Existe-t-il des mesures préventives efficaces ?

Parmi les mesures de prévention qui semblent démontrer un intérêt clinique, l’utilisation de l’azythromycine, du zinc, de l’ivermectine, de N-acétylcystéine, mais aussi de la povidone iodée (Bétadine) semble intéressante à plusieurs égards. C’est un groupe de scientifiques et de cliniciens américains (Front Line Covid-19 Critical Care Alliance — FLCCC) qui a inclus dans son protocole de prévention et de soins ambulatoires l’utilisation de cette méthode simple et peu coûteuse à la portée de tous qu’est la Bétadine. Toute une série d’études ont été publiées et semblent démontrer une diminution de la charge virale au niveau de la sphère naso-oropharyngée et une inhibition de la réplication du SARS-COV-2. Certaines études retrouvent une diminution de l’incidence de l’infection à SARS-COV-2 chez les professionnels de santé qui utilisent la povidone iodée à titre préventif, et une diminution du taux d’hospitalisation chez les patients qui l’utilisent en plus du traitement prescrit à la maison.

Nous avons l’impression que le monde scientifique est perdu et que les gouvernants ne savent plus que faire. Y aura-t-il une fin à tout cela ?


En fait, cela fait plus de 18 mois que les populations partout dans le monde sont écrasées et soumises à la peur, aux menaces de la maladie, aux injonctions inédites, à la censure et aux déclarations contradictoires qui soufflent le chaud et le froid. Ne dit-on pas à Maurice que « lera soufle-morde » en créole ! Cet ensemble contribue à déstabiliser tout esprit critique, avec autant de soignants traumatisés que de patients perdus… Pourquoi se vacciner quand on a eu la maladie ? Pourquoi prendre des doses multiples quand on a déjà les anticorps ? Pourquoi ne tester que les anticorps et pas l’immunité cellulaire qu’on sait encore plus efficace ? Pourquoi injecter des enfants ou des adolescents qui ne sont pas à risque alors que cela n’empêche pas la transmission ? Pourquoi prendre le risque de multiplier les fausses couches par 7 ou 8 en injectant les femmes enceintes ? Ces fausses couches sont bien le signal que des anomalies se produisent ! Pourquoi avoir porté ce masque depuis tant de mois ? Pourquoi depuis 18 mois toutes nos défenses naturelles, des barrières de la peau, des voies respiratoires, de notre système immunitaire ne fonctionneraient plus contre ce virus comme avec tous les autres virus et bactéries ?

Pourquoi vivre dans la peur, alors que l’on sait que le Covid-19 fait mourir de façon écrasante uniquement ceux qui ont une comorbidité ? Pourquoi on appelle confinement, un enfermement des populations saines ? Pourquoi mettre des masques dehors quand on sait qu’ils n’ont pas d’efficacité ? Ou laisser les enfants dans cet environnement masqué quand on en voit les désordres psychiques, les suicides, l’échec des apprentissages, en un mot le stress généré ? Non, cette crise Covid-19 n’a jamais permis de revoir ces premières images qui nous venaient de Chine, qui n’ont jamais été confirmées, et où on enjambait les cadavres dans les rues.

Et pourtant, que de mal fait-on à nos civilisations, au bonheur d’être ensemble si propre à Maurice, comme à celui d’accueillir ! Que s’est-il passé pour que tout d’un coup, ce qui nous paraissait acquis — la liberté, la santé, la démocratie, les Droits de l’homme et du citoyen — volent ainsi en éclats ? Pour qu’un monde entier se mette à tanguer et à douter de ses propres convictions passées, de son rapport à sa propre réalité…

Le mot de la fin ?

Pour finir, je pose ici quelques rêves si simples ! Celui de laisser les personnes saines libres d’aller et venir. Celui de faire attention lors des repas, qui semblent la source la plus importante de contamination par SARS-Cov-2. Celui de laisser les médecins prescrire. De laisser libre la prescription d’antibiotiques quand on sait qu’on ne connaît pas de pandémie virale dont la cause des décès ne soit pas en fait les infections bactériennes. D’écarter les protocoles non fondés comme à base de Rivotril pour les patients âgés, ou de ces stratégies vaccinales plus expérimentales les unes que les autres, avec ce mélange de types de vaccins : des vaccins classiques, avec des vaccins OGM et des injections à ARNm, le tout comme s’ils étaient interchangeables… alors même que personne n’en sait rien.

L’OMS n’a-t-elle pas d’ailleurs renoncé à l’objectif d’immunité collective, à la troisième dose systématique, comme à l’injection des enfants ? Si l’enjeu n’était pas politique mais était uniquement sur le soin des populations, tout serait mené différemment, car le focus porterait sur la définition de la santé de l’OMS qu’il est important de rappeler, car nous en sommes si éloignés en portant toute notre attention sur le Covid-19 et quasi-uniquement : « la santé est définie comme un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. » Je laisse à mon collègue et ami, le très éminent professeur de médecine interne et de cardiologie américain, le professeur Peter Mac Cullough, qui, la gorge nouée par l’émotion, disait récemment à propos de cette crise : «Cette crise est une crise de la compassion…» Une crise de la compassion à tous égards. En revenant à nos principes de base d’il y a 18 mois seulement, notre santé globale devrait s’en trouver grandement améliorée…