vendredi 10 mai 2019

vendredi 10 mai

Aujourd'hui:  Bonne fête! Solange, Job, Gordon, Solveig, Juan.

 Les Solange sont des femmes de nature très enjouée. Insouciantes, elles refusent les complications, dans leur vie professionnelle et sentimentale, pour simplement se contenter de ce qu'elles ont. Elles savent user et abuser de leur charme auprès des hommes.

Sainte Solange était invoquée pour la pluie, elle est patronne du Berry. 

Dicton ou citation du jour: C'est à la Sainte-Solange que l'on ferme la grange.

Ça s’est passé un 10 Mai.

1760 : Naissance de Rouget de Lisle qui écrira en 1792 les paroles de la Marseillaise (mort le 26 juin 1836).
1774 : Le roi Louis XVI monte sur le trône.
1864 : Naissance de Léon Gaumont à l'origine de la société française de production Gaumont (mort le 9 août 1946).
1923 : Naissance du comédien Claude Piéplu (mort le 25 mai 2006).
1940 : Au lancement de l'attaque nazie contre les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg puis la France, Winston Churchill est nommé à Londres à la tête d'un gouvernement de coalition.
1977 : Mort de l'actrice américaine Joan Crawford.
1981 : Election de François Mitterrand à la présidence de la République.
1988 : Michel Rocard est nommé Premier ministre.( mort en 2016).
1990 : Profanation du cimetière juif de Carpentras (Vaucluse).
1994 : Nelson Mandela prête serment comme premier président noir d'Afrique du Sud.
2005 : Inauguration de la nouvelle Agence de biomédecine, chargée de fournir un cadre pour l'application de la loi bioéthique du 6 août 2004.

2015 : François Hollande inaugure à Pointe-à-Pitre le Mémorial ACTe ou centre caribéen d'expressions et de mémoire de la traite et de l'esclavage.
1790 : Suppression de la gabelle, l'impôt sur le sel, en France.
( En espérant qu'elle ne sera pas reprise par le gouvernement pour équilibrer le budget)

*De tous les impôts de l'Ancien Régime, la gabelle (impôt sur le sel) a été le plus honni. Mise au point par Philippe VI (ordonnances de 1341 et de 1343), elle ne cessa d'être perfectionnée jusqu'à la Révolution, qui l'abolit.
Le sel, denrée indispensable, était produit en un nombre limité d'endroits : le Cotentin, Brouage, les côtes charentaises, le littoral languedocien, l'Est (mines). Cette diversité dans l'approvisionnement, jointe aux difficultés des transports et aux différentes coutumes et franchises de provinces incorporées au royaume à des époques et à des conditions variables, eut pour résultat de partager la France en six circonscriptions où le prix de la livre de sel (488 g) allait, vers 1780, d'un denier à treize sols (156 deniers).
C'est ainsi que, dans les provinces frontalières du Nord et du Sud-Ouest ainsi qu'en Bretagne, la gabelle n'existait pas. Très faible dans le Cotentin, elle y était en fait un prélèvement de 25 p. 100 sur les producteurs, les 75 p. 100 restants faisant l'objet d'un commerce libre (régime du « quart-bouillon »). Il y avait aussi les pays rédimés (une partie du centre et du centre-ouest du royaume), où l'impôt était léger, de même que dans les « pays de salines » (Franche-Comté, Lorraine et Alsace). En revanche, dans les régions de « petite gabelle » (sud de la France), l'impôt était beaucoup plus lourd. C'est cependant dans le Bassin parisien qu'il était le plus pesant. Outre un prix excessif, il fallait supporter le temps passé à aller acheter le sel dans des « greniers à sel » souvent lointains et mal gérés, et acheter au moins, sous peine d'amende, une quantité minimale (sauf pour les pauvres).
La disparité des régimes de gabelle entraînait évidemment une contrebande universelle et, à tous les sens du terme, populaire. Malgré la férocité des gabelous chargés de réprimer cette contrebande, les faux sauniers (vendeurs de « faux » sel) ne disparurent qu'avec la gabelle.
—  Françoise MOYEN


Écrit par :
  •  : licenciée en histoire publié su  Encyclopædia Universalis.
Dessin ou histoire du jour:



Elections Européennes: La liste renaissance dévoile son programme.


Emmanuel Macron: «Je mettrai toute mon énergie pour que le RN ne soit pas en tête»

Sacré programme pour sauver l'Europe!.... :Il faut croire qu'il n'y a pas d'autres problèmes à résoudre en France et en Europe.
C'est affligeant.

Activités à Ampus et dans les environs:

Soirée Théâtre avec Emporium:




 Salle Maurice Michel à 20h : Nos femmes, pièce de Eric ASSUS



Le programme sera rappelé pour chaque jour.

AUJOURD'HUI
Explosant le compteur des ventes, elle décide de sortir de son isolement et fait appel à Alessandra Truffa, une coach de vie pour célébrités. Celle-ci promet tout un programme ! À l'insu de sa cliente, elle vend photos et articles la concernant, à la revue Bulba, revue people très en vogue. Or, Alessandra se fait doubler par un autre paparazzi... Qui ose troubler et voler la grande Truffa ? Elles se mettront toutes deux en quête de débusquer l'usurpateur. 

Ces deux femmes que tout oppose, ne se doutent pas un instant de l'aventure commune qui les attend..
A 20h30



FLAYOSC





LA FUSION DES COMMUNES

Halte à la fusion forcée de nos communes!



Chaque année, des centaines de communes sont fusionnées au sein de « communes nouvelles ». Malheureusement, cela se fait trop souvent sans demander l’avis des habitants.
Nos communes ne sont pas seulement des entités administratives. Ce sont des communautés de vie, avec une identité propre et des traditions parfois bien ancrées dans l’histoire.
C’est pourquoi le choix de rattacher une commune à une autre, et donc d’en faire un simple lieu-dit au sein d’une entité nouvelle, n’est pas une décision anodine.
La survie ou la disparition de nos villes et de nos villages ne devrait pas être suspendue au bon-vouloir  d’une poignée d’élus !
Mais en l’état actuel de la législation, rien n’oblige un maire ou un conseil municipal à organiser un référendum pour décider de fusionner une commune avec une autre. Ce sont les conseils municipaux, les intercommunalités ou les préfets qui décident. Et cela, sans que la question ait forcément été débattue lors des élections municipales.
Il faut absolument remédier à cette situation et rendre aux citoyens la maîtrise de leur destin collectif ! Pour cela, vous aussi, signez la pétition : « Halte à la fusion forcée de nos communes ! »
Bien sûr, il y a des cas où des communes partagent une histoire commune, avec des liens suffisamment forts pour bâtir un projet commun, et où leur fusion est tout à fait légitime. Il ne s’agit pas de l’interdire ! Ce que nous refusons, c’est que cela se fasse sans nous, et même contre nous, pour servir des intérêts autres que ceux des habitants. Ce que nous voulons, c’est qu’on en finisse avec les « mariages forcés », et qu’on laisse les citoyens décider !
Le premier gage de réussite d’une commune nouvelle, c’est son appropriation  par les habitants directement concernés. Il est donc urgent de les impliquer dans tous les projets de fusion de communes échafaudés par leurs élus.
Une proposition de loi en cours d’examen au Parlement porte précisément sur la création des communes nouvelles. C’est une occasion à saisir : il faut absolument l’amender afin que toute fusion de communes ou création de commune nouvelle fasse obligatoirement l’objet d’un référendum décisionnel dans chacune des communes concernées.
La commune est l’échelon de base de notre organisation territoriale. Il est très important d’entretenir le sentiment d’appartenance de ses habitants. Et donc de respecter leur volonté pour tout ce qui touche à l’avenir de nos villes et de nos villages.
Le premier gage de réussite d’une commune nouvelle est, sans conteste, une appropriation du projet par les habitants directement concernés. Nous aimons nos villages et souhaitons promouvoir une démocratie vivante. Il est donc urgent de donner aux citoyens les moyens légaux leur permettant de devenir acteurs responsables de leur espace territorial.
Nous demandons donc l’amélioration de la loi actuelle n° 2015-292 du 16 mars 2015.
La première phrase du premier alinéa de l’article L 21113-3 du Code général des collectivités locales serait ainsi rédigée de la manière suivante :
« Une commune n’est pas seulement une entité administrative, elle est avant tout une communauté de vie. L’existence ou la disparition de cette communauté de vie doit être et rester de la seule compétence des citoyennes et des citoyens qui la constituent. En conséquence, toute fusion  de  communes ou création de commune nouvelle doit obligatoirement faire l’objet d’un référendum communal décisionnel sur la base du corps électoral communal concerné. »
Alors, s’il vous plaît, signez la pétition : « Halte à la fusion forcée de nos communes ! »
Pour signer connectez-vous au site web suivant :
https://www.citizaction.fr/petition/halte-a-la-fusion-forcee-de-nos-communes/

Pétition adressée à
Ministre chargé des Collectivités territoriales, Sébastien Lecornu
Halte à la fusion forcée de nos communes !
Nous, citoyennes et citoyens, voulons être "lanceurs d’alerte" pour la sauvegarde de nos villages. Leurs diversités, leurs spécificités, leur chaleur humaine sont en effet des richesses de notre pays, à valoriser pour l’avenir.
Nous refusons que les fusions de communes et les créations de communes nouvelles se fassent sans nous et souvent contre nous. L’existence ou la disparition de nos villages ne sauraient dépendre de la seule décision des élus et autres prérogatives des préfets. Nous voulons en finir avec les "mariages forcés" qui constituent un déni de démocratie !
À ce jour, la loi laisse le pouvoir au maire et au conseil municipal de décider ou de refuser l’organisation de référendums communaux : cette situation est la porte ouverte à tous les abus de pouvoir, puisque les citoyens peuvent être volontairement mis sur la touche, et donc condamnés à subir la décision d’une poignée d’élus.
Le premier gage de réussite d’une commune nouvelle est, sans conteste, une appropriation du projet par les habitants directement concernés. Nous aimons nos villages et souhaitons promouvoir une démocratie vivante. Il est donc urgent de donner aux citoyens les moyens légaux leur permettant de devenir acteurs responsables de leur espace territorial.
Nous demandons donc l’amélioration de la loi actuelle n° 2015-292 du 16 mars 2015.
La première phrase du premier alinéa de l’article L 21113-3 du Code général des collectivités locales serait ainsi rédigée de la manière suivante :
« Une commune n’est pas seulement une entité administrative, elle est avant tout une communauté de vie. L’existence ou la disparition de cette communauté de vie doit être et rester de la seule compétence des citoyennes et des citoyens qui la constituent. En conséquence, toute fusion  de  communes ou création de commune nouvelle doit obligatoirement faire l’objet d’un référendum communal décisionnel sur la base du corps électoral communal concerné. »



POUR LA FÊTE DES MÈRES


Dans quelques jours nous fêtons nos chères mamans. Venez-nous rejoindre pour partager des moments de complicités et amours autour d'une bonne table. Pensez à réserver au 0494822059 ou lespinsblancs@gmail.com.