samedi 31 juillet 2021

 Samedi 31 juillet

Aujourd'hui nous fêtons:  Ignace, Ignatius, Fabio, Germain, Evrard, Misha, Mickaël, Sidonie.

Les Ignace sont des êtres profondément passionnés à l'immense charisme. S'ils sont parfois difficiles à vivre tant ils veulent faire mille et une choses, on ne peut s'empêcher de les aimer et de les admirer car ils apportent à autrui tout l'amour qu'ils ont dans le cœur.

C'est sa fête : Ignace

Ignace de Loyola est le fondateur de la Compagnie de Jésus. Gentilhomme basque, il se convertit suite à une blessure de guerre puis va étudier la théologie à Paris. Là, il rédige ses Exercices spirituels et rencontre ses premiers disciples, tel saint François Xavier, le plus illustre des missionnaires jésuites. Avec eux, il fait voeu de convertir les infidèles et constitue sa Compagnie en 1540.

La première règle est une obéissance exclusive au pape. Elle ne va pas de soi. La papauté est sortie déconsidérée des excès de la Renaissance et des tourments de la Réforme luthérienne. L'appui efficace des jésuites va restaurer son autorité morale et lui donner des armes pour mener la Contre-Réforme catholique.

Dicton du jour: Le jour de la Saint-Ignace, *métivez quelque temps qu’il fasse.

*Récolter les céréales, moissonner.


La photo du jour: par Gégé Photographie

Bonjour

Eh bien voilà après les champs de lavande et de tournesols nous voilà arrivés village de Valensole, un endroit plein de charme aux pieds des montagnes
Par cette chaleur mon époux et moi nous avons pris place un instant sur une petite terrasse à l'ombre d'un parasol pour y déguster une délicieuse glace à la lavande. Nous étions face à cette magnifique fontaine où nous nous sommes rafraîchis avant de reprendre la route. Mais avant nous avons fait une petite halte dans ce magasin face à nous pour acheter quelques bouquets de lavande que j'ai suspendus chez nous en rentrant à la maison.



Marchés du jour:

LE SAMEDI LE MARCHE EST A

AUPS

BARJOLS

CALLAS

CLAVIERS

DRAGUIGNAN

TARADEAU

TOURTOUR

Les ARCS SUR ARGENS : Cellier des Archers.

Marché des PRODUCTEURS 8h 30 à 12h00




POUR SE DETENDRE: 
 VEUILLEZ VERIFIER LE MAINTIEN DES MANIFESTATIONS





INFORMATION DE LA PAROISSE: 

MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS

 

 

Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.

Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.

Notre Dame de Spéluque AMPUSTous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

 

AUX ALENTOURS:

FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h
.

CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.

TOURTOUR: Dimanche à 18h00.

VILLECROZE: Dimanche à 9h15.

AUPS: Dimanche à 11h.

SALERNES: Dimanche à 11h.


A table:

REGALEZ-VOUS

 DANS LES MEILLEURS  RESTAURANTS DE LA REGION
Avant le pass sanitaire ou un nouveau confinement........

 



ETOILE GUIDE MICHELIN  
TOQUE GULT ET MILLAU



BIB MICHELIN



CALLAS

 L’HOSTELLERIE LES GORGES DE PENNAFORT – 8660 Route Départ 25   Tel : 04 94 76 66 51

LES ARCS

LE RELAIS DES MOINES- 
www// relaisdesmoines.com. Tel : 04 94 97 40 93 

LE LOGIS DU GUETTEUR- Place du château Tel: 04 94 99 51 10


LORGUE

 BRUNO- 2350 Route des Arcs  Tel : 04 9485 93 93

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 LE JARDIN DE BERNES – Chemin des Imbert

 Tel 04 94 60 49 79

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   VIGNA- Château de la Martinelle- 4005 Route de la Martinelle Tel : 04 12 35 40 80

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LE CHRISSANDIER- 18 Cours de la République 
Tel 04 94 67 15

MONTFERRAT

 LE CLOS PIERREPONT – 56 Route de Draguignan

Tel : 04 94 50 21 30

FLAYOSC

 


LE NID – Tel : 04 94 68 09 96

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LA SALLE A MANGER- Place de la République-
 Tel 04 94 84 66 04

TOURTOUR

 


 LES CHÊNES VERTS – Route de Villecroze Tel : 04 94 70 55 06

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LA TABLE – Traverse du Jas les Ribas Tel : 04 94 70 55 95

 

   CARRE 2 VIGNE



FAYENCE:

LE CASTELLARAS: 
461 Chemin de Peymeyan Tel: 04 94 76 13 80

L'ESCOURTIN: Moulin de la Camandoule
 Tel: 04 94 76 00 84


LA FARIGOULETTE- 1 Place du château 
Tel 04 94 99 51 10

LA TABLE D'YVES - 


AUPS:
LES GOURMETSTel: 04 94 70 14 97

MONTAUROUX:

LE CARRE D'ANGE - Quartier de Narbonne 
Tel: 04 94 47 71 65




Des évènements lors d'un 31 juillet:

31 juillet 1358 : Assassinat d'Étienne Marcel

Le 31 juillet 1358, Jean Maillard, un échevin fidèle à la royauté, fait assassiner le prévôt des marchands Étienne Marcel devant la porte Saint-Denis alors qu'il s'apprêtait à livrer les clés de Paris à Charles le Mauvais. Le surlendemain, le Dauphin Charles, futur Charles V, rentre sous les acclamations dans sa capitale, dont il avait dû fuir en catastrophe quelques mois plus tôt.

31 juillet 1843 : Bugeaud maréchal de France

Tandis que l'émir Abd el-Kader se réfugie au Maroc avec ses derniers fidèles, le général Bugeaud (59 ans) est fait Maréchal de France en récompense de ses succès dans la soumission de l'Algérie.

Sa casquette est légendaire : une nuit, surpris par une attaque ennemie, il serait sorti de sa tente sabre au clair et encore coiffé de son bonnet de nuit en guise de casquette !

31 juillet 1914 : Assassinat de Jean Jaurès

Le soir du 31 juillet 1914, Jean Jaurès est tué d'un coup de revolver dans le café du Croissant, rue Montmartre, à Paris (2e arrondissement), alors qu'il dînait avec deux collaborateurs, Jean Longuet et Pierre Renaudel...

31 juillet 1914: Naissance de Louis de Funès

31 juillet 1914 à Courbevoie - 27 janvier 1983 à Nantes

Ce descendant d'une famille de l'aristocratie espagnole est devenu l'un des plus talentueux comiques français.


Louis de Funès, de son nom complet Louis de Funès de Galarza, est un acteur français né le 31 juillet 1914 à Courbevoie et mort le 27 janvier 1983 à Nantes.

Ayant joué dans plus de cent quarante films, il est l'un des acteurs comiques les plus célèbres du cinéma français de la seconde moitié du xxe siècle et réalise les meilleurs résultats du cinéma français, des années 1960 au début des années 1980. Il réalise également les meilleures audiences télévisées. Très peu récompensé, il reçoit toutefois un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.

Après presque vingt ans sur les planches ainsi que devant les caméras dans de nombreux seconds rôles, il impose son personnage de Français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux verbigérations et mimiques parfois muettes. C'est dans les années 1950 qu'il se fait connaître tardivement du public avec La 
Traversée de Paris (1956), ses premiers rôles principaux et le triomphe au théâtre
d'Oscar. Dans les deux décennies qui suivent, on le retrouve dans une suite de succès populaires, parmi lesquels : Pouic-Pouic (1963), Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) et ses cinq suites, la trilogie Fantômas (1964 à 1967), Le Corniaud (1965), Le Grand Restaurant et La Grande Vadrouille (1966), Oscar et Les Grandes Vacances (1967), Le Petit Baigneur (1968), Hibernatus (1969), Jo et La Folie des grandeurs (1971), Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), L'Aile ou la Cuisse (1976), La Zizanie (1978) et La Soupe aux choux (1981). Il a également participé à l'écriture de quelques scénarios de ses films et co-réalisé L'Avare avec Jean Girault en 1980.

Outre la France, les films de Louis de Funès ont connu un grand succès dans divers pays européens, et notamment en Russie, du temps de l'URSS. Sa popularité ne s'étendra que très peu dans le monde anglo-saxon, à l'exception du succès outre-Atlantique de Rabbi Jacob, nommé pour un Golden Globe en 1975. Le souvenir de l'acteur est entretenu par deux musées : le musée Louis-de-Funès à Saint-Raphaël et le musée de la Gendarmerie et du Cinéma, dans l'ancienne gendarmerie de Saint-Tropez.

31 juillet 1886: Mort de Franz Liszt

22 octobre 1811 à Raiding (Autriche) - 31 juillet 1886 à Bayreuth (Allemagne)

Biographie Franz Liszt

Pianiste virtuose, inventeur du récital et compositeur d'avant-garde très fécond, avec 700 œuvres recensées, Franz Liszt est parfois limité à l'archétype du bel artiste romantique, capable de déclencher une véritable hystérie auprès du public féminin.

Incarnation du dionysiaque selon Nietzsche, Liszt était pourtant aussi un excellent pédagogue et un homme vivant avec intensité les événements de son siècle...

LES METHODES DE LA CHINE COMMUNISTE

 



Nos élus rêvent de reproduire les méthodes de la Chine communiste

Constance Prazel a décrypté pour Liberté politique le rapport sénatorial sur la crise sanitaire et les outils numériques pour y répondre. Ce rapport donne l’état d’esprit de nos élus et ce n’est pas rassurant pour nos libertés :

[…] Le rapport se fonde sur un constat de départ : la gestion de la pandémie n’a pas permis de réduire de manière significative les morts, et elle a mis le pays sous cloche avec des conséquences économiques dramatiques. Pour éviter la reproduction d’un tel scénario, il préconise d’envisager un recours massif aux outils numériques, et d’envisager des méthodes toujours plus intrusives, estimées plus efficaces, mais limitées dans le temps. Une fois posé ce cadre de réflexion, tout devient permis – ou presque.

Un paradoxe initial n’a pas échappé aux rédacteurs du rapport : « les outils numériques peuvent théoriquement permettre un ciblage précis, individuel et en temps réel des mesures ou des contrôles, même si la plupart n’ont eu ni cette finalité, ni cet effet. » Mais par une sorte de scientisme béat, les rapporteurs demandent qu’un chèque en blanc soit signé pour l’avenir. Aucune conclusion n’est tirée de ce constat de départ. La conclusion est même strictement inverse : il faut toujours plus d’outils numériques.

Analyse des pays asiatiques

Dans un premier temps, le rapport propose une analyse détaillée, sous forme d’étude de cas, d’un panel de pays asiatiques ayant eu massivement recours aux outils numériques pour gérer la crise sanitaire. Dans ce panel, le « modèle » chinois occupe une place toute particulière.

Il est assez consternant de constater que la mise en avant de la Chine ne pose pas de problèmes majeurs aux rédacteurs. Il y a une précaution oratoire rhétorique visant à contextualiser, voire à mettre en garde vis-à-vis de la spécificité du régime chinois, mais elle reste très discrète et est vite balayée en termes pudiques. A la lecture du texte sénatorial, on pourrait presque oublier que la Chine est une dictature communiste à parti unique : une fois passée la discrète mise en garde initiale, la Chine est présentée quasiment sur le même plan que les démocraties coréenne et taïwanaise, par exemple.

Le discours vis-à-vis de la Chine s’avère globalement extrêmement positif. La Chine s’est distinguée par « le recours intensif aux outils numériques sous toutes leurs formes et avec tous les types de finalités, y compris les plus intrusives, avec une ampleur inégalée non seulement dans le monde, mais aussi dans l’histoire. » Ceux qui s’en offusqueraient sont comptés pour peu de choses. On lit plus loin : « « Si le modèle chinois n’est évidemment pas transposable aux pays occidentaux, on ne peut pas, pour autant, se satisfaire d’une simple posture d’indignation : la stratégie chinoise est, globalement, une grande réussite. » La Chine a ouvertement privilégié la lutte contre la menace sanitaire par rapport à la protection des libertés individuelles, en particulier la liberté d’aller et venir et celle d’avoir une vie privée, mais cela ne doit pas poser de cas de conscience. « À Chongqin, on compte une caméra pour six habitants, contre une pour 130 à Nice, la ville la plus équipée de France. », s’émerveille le rapport.

Avec aveuglement et complaisance, les rapporteurs accordent une confiance sans discernement à la propagande gouvernementale chinoise : « les chiffres officiels sont douteux, bien sûr, mais la maîtrise de la situation ne l’est pas – et, avec elle, la levée des restrictions et le retour à une vie économique et sociale normale. » Mais comment juger de la maîtrise de la situation en l’absence de chiffres officiels fiables ? Nous ne le saurons pas.

Les sénateurs évoquent également la mise en place d’un contrôle social par les pairs : le rapport note que ces pratiques ont pu, ponctuellement, en Occident, susciter la désapprobation, mais se garde bien de les juger… puisqu’elles sont efficaces. Le système de « crédit social » n’a que peu été utilisé dans le cadre du covid ; il ne faut pas « caricaturer », ou faire d’amalgame, nous dit le rapport. Nous voilà rassurés : les intentions des autorités chinoises étaient pures. Pratiqué de manière très artisanale, il reste difficile à estimer, il serait donc malhonnête de lui accorder trop d’importance : 1% de la population aurait figuré sur les listes noires. Ce qui représente tout de même, à l’échelle de la Chine, plus de 10 millions de personnes…

[…]

Les rapporteurs arrivent à ce constat après leur première partie descriptive : les potentialités du numérique restent très largement sous-exploitées. Un parallèle est établi entre l’action des Etats et la collecte de données réalisée par les GAFA. A travers l’utilisation de Google ou des réseaux sociaux, les citoyens acceptent sans broncher de divulguer un nombre très important de leurs données personnelles. Pourquoi sont-ils aussi réticents à faire de même avec un organisme public ?

La question est intéressante et mérite d’être posée. Toutefois, il est malhonnête d’exercer un parallèle. Certes, en utilisant Facebook ou Google Maps, je consens à donner un certain nombre d’informations sur mon compte. Mais je reste libre de me déconnecter à tout moment, et il n’y a pas de caractère obligatoire à cette utilisation. Le parallèle s’arrête donc là.

Le plus grave est que les rapporteurs envisagent en toute bonne conscience de déléguer la surveillance à ces organismes privés. A titre d’exemple, ils expliquent que l’analyse de Google Maps et Google Trends, pouvait permettre de mesurer que le passage au télétravail, à l’aune des données communiquées par Google Maps, était insuffisant et inférieur aux recommandations gouvernementales. L’analyse des liens sociaux permise par les infos divulguées sur Facebook permet aussi beaucoup de développements : « la possibilité existe, les algorithmes se perfectionnent, et les capacités de calcul augmentent : à terme, cette perspective n’a rien d’irréaliste techniquement. » Les rapporteurs sont très tranquilles vis-à-vis de cela : oui, c’est attentatoire aux libertés, mais il serait « criminel » de ne pas envisager ces développements dès maintenant. Dès que l’homme songe à quelque chose, il le fait…

Dans le même ordre d’idées, nos auteurs envisagent des possibilités extrêmement inquiétantes : « – le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du pass pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d’immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants, etc.

– le contrôle de l’état de santé, via des objets connectés dont l’utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées à des fins de contrôle ;

– le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l’on est contagieux ;

– le contrôle des transactions, permettant par exemple d’imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions. »

Tout cela adossé aussi à un système assurantiel, permettant de mesurer le risque que l’on fait « prendre aux autres. »

[…]

Nos sociétés occidentales, et plus particulièrement la France, doivent assumer cet usage du numérique contre les libertés individuelles car « si nous ne le faisons pas, d’autres le feront pour nous. Et, face à une crise majeure, nous n’aurons pas d’autre choix que de leur demander leur aide, et il sera alors trop tard pour défendre nos principes démocratiques. » Le raisonnement frise l’absurde. « Si nous le faisons pas, d’autres le feront », sous-entendu, qui ne sont politiquement pas recommandables comme nous le sommes. Mais si nous faisons la même chose, où se trouve notre supériorité de valeurs ? Elle reste putative et désincarnée. Nous ne valons pas plus qu’une dictature si nous agissons comme elle, mais avec, à la différence, des intentions « pures » et démocratiques. Dans ces conditions, le « réfléchir avant pour ne pas subir ensuite » n’est qu’une posture. […]