Aujourd'hui nous fêtons: Ambroise, Ambre, Ambroisine, Fare, Benoîte.
Tout en rigueur et en austérité, les Ambroise sont résolument acquis à la cause des faibles et des malheureux. La générosité est la ligne de conduite de ces hommes droits, honnêtes, consciencieux, qui vont souvent jusqu'à négliger leur vie sentimentale pour mieux accomplir ce qu'ils tiennent pour leur devoirAmbroise (340-397) fut évêque de Milan au IVe siècle, sous le règne de l'empereur romain Théodose. Il combattit l'hérésie arienne et développa le culte des reliques. Il baptisa aussi le futur saint Augustin. Comme ce dernier, Ambroise figure parmi les grands Docteurs de l'Église catholique.Une légende veut qu'un jour, Augustin demandât à Ambroise si le repos hebdomadaire devait se célébrer le samedi comme à Milan ou le dimanche comme à Rome. Il s'était attiré une réponse devenue proverbiale : « A Rome, fais comme les Romains ».
Dicton du jour: Quand Saint-Ambroise voit neiger, de dix-huit jours de froid sommes en danger.
Citation du jour: Créer, c'est vivre deux fois"
écrit Albert Camus.
En mimant, en répétant, en recréant la réalité, on n'explique rien mais on parcourt, on enrichit, on agrandit le lieu où il faut bien vivre.La photo du jour: Notre Provence
Dessin ou histoire du jour:
Marchés du jour:
LE LUNDI LE MARCHE EST A
FLAYOSC
Des évènements lors d'un 07 novembre:
7 décembre 1936 : Mermoz décolle de Dakar pour le Brésil
Le 7 décembre 1936, Jean Mermoz décolle de Dakar en direction de Natal, au Brésil, sur un hydravion Laté 300 baptisé Croix-du-Sud. À 10h47, l'hydravion émet un signal : « Coupons moteur arrière droit » avant de disparaître dans l'Atlantique Sud avec son équipage : Pichodou, Ezan, Lavidallie et Cruveilher. Le 30 décembre, ces pilotes de légende auront droit à des funérailles nationales.
7 décembre 1970 : Willy Brandt à genoux à Varsovie
Le 7 décembre 1970, le chancelier allemand Willy Brandt se rend en Pologne et signe le traité de Varsovie.
Par ce traité, la République Fédérale d'Allemagne reconnaît la frontière germano-polonaise de l'Oder-Neisse, imposée par les vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale (ce traité sera confirmé et complété à Moscou le 12 septembre 1990 par le traité dit 2+4).
Après la signature, le chancelier se rend au Mémorial du résistant juif du ghetto, pour un dépôt de gerbe. Il se recueille et s'incline, puis, à la surprise générale, contre toutes les règles protocolaires, ploie les jambes et se met à genoux. Pendant de longues minutes, il demeure dans cette attitude d'humilité inhabituelle aux hommes d'État, faisant acte de contrition au nom du peuple allemand.
Ce geste et plus généralement sa politique d'ouverture à l'Est lui vaudront de recevoir le Prix Nobel de la Paix un an plus tard, à Oslo.
7 décembre 1936: Mort de Jean Mermoz
9 décembre 1901 à Aubenton (Aisne) - 7 décembre 1936
Par son physique d'archange, son audace et son endurance, Jean Mermoz fut le plus populaire des pilotes de « La Ligne ». Ce nom mythique désigne la compagnie créée en 1918 à Toulouse par Pierre-Georges Latécoère et reprise en 1927 par Marcel Bouilloux-Lafont sous le nom d'Aéropostale. Elle s'illustra entre les deux guerres en établissant au prix d'immenses efforts les premières liaisons postales aériennes entre la France et l'Amérique du Sud.
Issu d'un milieu modeste, Mermoz est, après la Grande Guerre, engagé dans l'armée comme pilote. Il entre chez Latécoère en 1924.
Il devient immensément célèbre après sa capture par les Maures le 22 mai 1926, suite à un atterrissage forcé de son Breguet XIV dans le désert au cours d'un vol Casablanca-Dakar. Son interprète et lui sont libérés contre une rançon de... mille pesetas. Abandonné en plein désert, Mermoz doit gagner à pied par ses propres moyens le poste d'escale de Cap-Juby, tenu par Antoine de Saint-Exupéry.
Avec une ténacité à toute épreuve, le pilote ouvre ensuite les liaisons aériennes directes de Toulouse à Dakar sans escale, puis jusqu'en Amérique du Sud. Franchissant la Cordillère des Andes, il atteint le Chili.
Après l'absorption de l'Aéropostale au sein d'Air France (1933), Mermoz ne se laisse pas abattre et poursuit ses vols. Il disparaît dans l'Atlantique sud le 7 décembre 1936 avec ses quatre hommes d'équipage.
Il a droit à des funérailles nationales le 30 décembre 1936. Nul ne songe à lui reprocher son engagement politique à droite, dans les Croix-de-Feu puis en 1936 dans le Parti social français, aux côtés du colonel de La Roque.
9 décembre 1901 à Aubenton (Aisne) - 7 décembre 1936
Par son physique d'archange, son audace et son endurance, Jean Mermoz fut le plus populaire des pilotes de « La Ligne ». Ce nom mythique désigne la compagnie créée en 1918 à Toulouse par Pierre-Georges Latécoère et reprise en 1927 par Marcel Bouilloux-Lafont sous le nom d'Aéropostale. Elle s'illustra entre les deux guerres en établissant au prix d'immenses efforts les premières liaisons postales aériennes entre la France et l'Amérique du Sud.
Issu d'un milieu modeste, Mermoz est, après la Grande Guerre, engagé dans l'armée comme pilote. Il entre chez Latécoère en 1924.
Il devient immensément célèbre après sa capture par les Maures le 22 mai 1926, suite à un atterrissage forcé de son Breguet XIV dans le désert au cours d'un vol Casablanca-Dakar. Son interprète et lui sont libérés contre une rançon de... mille pesetas. Abandonné en plein désert, Mermoz doit gagner à pied par ses propres moyens le poste d'escale de Cap-Juby, tenu par Antoine de Saint-Exupéry.
Avec une ténacité à toute épreuve, le pilote ouvre ensuite les liaisons aériennes directes de Toulouse à Dakar sans escale, puis jusqu'en Amérique du Sud. Franchissant la Cordillère des Andes, il atteint le Chili.
Après l'absorption de l'Aéropostale au sein d'Air France (1933), Mermoz ne se laisse pas abattre et poursuit ses vols. Il disparaît dans l'Atlantique sud le 7 décembre 1936 avec ses quatre hommes d'équipage.
Il a droit à des funérailles nationales le 30 décembre 1936. Nul ne songe à lui reprocher son engagement politique à droite, dans les Croix-de-Feu puis en 1936 dans le Parti social français, aux côtés du colonel de La Roque.