Aujourd'hui nous fêtons: Mélaine, Basilisse, Tiphaine, Fanny.
Dicton du jour: Si le soir des Rois beaucoup d'étoiles tu vois ; auras sécheresse en été et œufs au poulailler.
Citation du jour: Les diamants ont leur prix ; un bon conseil n'en a pas".
Proverbe espagnol.La photo du jour:
Dessin ou histoire du jour:
Daniel Balcaen pour la lettre patriote
Sans doute, avec Macron ne sommes-nous pas loin de toucher le fond
Emmanuel Macron, Président de la République, a donc envie « d’emmerder » les Français non vaccinés.
La première réaction est d’être choqué par l’expression d’un tel mépris envers une partie des Français qui restent dans leur droit en refusant une vaccination que M. Macron ne veut pas, par ailleurs, imposer. D’autant que cette sortie calculée (un entretien dans un journal écrit est toujours relu avant publication par l’interrogé) sert aussi à masquer la gestion calamiteuse de la crise sanitaire : destruction du stock de masques en début de crise, manque de gel hydroalcoolique, continuation des suppressions de lits de ranimation pendant la crise, désertion de la ministre de la santé en pleine bataille sanitaire, mesures inefficaces et incompréhensibles et j’en passe.
La deuxième réaction est de se rappeler que le locataire de l’Élysée est coutumier des formules méprisantes envers les Français, en particulier les plus pauvres et les plus fragiles. Les « pauvres qui déconnent » (janvier 2019) ; la rue qu’il suffirait de traverser pour trouver du travail (septembre 2018) ; les « gaulois réfractaires au changement » que nous serions (août 2018, à l’étranger de surcroît !) ; le « pognon de dingue » que coûteraient les pauvres (juin 2018) ; les syndicalistes qui « foutent le bordel » (octobre 2017) ; les « fainéants » qui protestent contre sa réforme du Code du travail (septembre 2017) ; et les « gens qui ne sont rien » (juin 2017). Quel contraste avec le tout début de son quinquennat : la fête de la victoire dans la cour du Louvre ou la réception de Poutine au Grand Trianon.
M. Macron semblait vouloir revêtir les habits de Louis XIV. Emmanuel porte finalement la redingote du margoulin.
La troisième réaction est de se souvenir qu’il n’est pas le seul à s’être laissé aller à des formules méprisantes envers le peuple français. On se souvient de Hollande qualifiant les pauvres de « sans dents » ou de Sarkozy lançant à un opposant « casse-toi pauv’ con ». Après Mitterrand, le niveau de langage des présidents s’est sacrément relâché. Sans doute, avec Macron ne sommes-nous pas loin de toucher le fond. Tout en lui renvoie à Rastignac, mais un Rastignac revu et corrigé par Virginie Despentes.
Marchés du jour:
LE JEUDI LE MARCHE EST A
BARGEMON
Le MUY
LES ARCS
LES SALLES
VILLECROZE
AUPS : Marché hebdomadaire à la Tuber Melanosporum, truffe noire
d'hiver. Vente aux particuliers de truffes d'hiver par le Syndicat des
trufficulteurs du Var.
Du
25/11 au 10/03, tous les jeudis de 9h30 à 12h.
Traiteur Ampus
Le Labo de Frédo
Adresse : 56 Rue Neuve 46, 83111 AmpusVente à emporter : 12:00–14:00, 19:00–22:00 ·
Téléphone : 06 60 74 87 88
Activités:
Les activités sont indiquées à titre d'information. Compte tenu des nombreuses annulations encore constatées , nous vous conseillons de vérifier le maintien avant de vous engager.
Des évènements lors d'un 06 janvier:
6 janvier 1410: Naissance de Jeanne d'Arc
6 janvier 1412 à Domrémy (Lorraine, France) - 30 mai 1431 à Rouen
1429 ! La France est endeuillée par la guerre contre les Anglais que l'on appellera plus tard «guerre de Cent Ans». Quand Jeanne d'Arc se présente à Chinon devant Charles VII, que l'on appelle par dérision le «petit roi de Bourges», personne n'est prêt à parier sur cette paysanne illettrée de 19 ans qui prétend restaurer la monarchie capétienne. Cette dernière n’a plus d’autorité que sur le centre et le sud du royaume. L'ouest et le nord, y compris Paris, sont ralliés au roi anglais.
La jeune paysanne de Domrémy rend confiance au roi, se met à la tête de quelques troupes, délivre Orléans assiégé par les Anglais et, fort intelligemment, convainc Charles VII de se faire sacrer sans délai à Reims pour consolider sa légitimité. Abandonnée quelques mois plus tard par le roi qui n'a plus besoin d'elle, elle est capturée à Compiègne et brûlée vive comme sorcière à Rouen.