Samedi 04 septembre
Aujourd'hui nous fêtons: Rosalie, Irma, Dina, Hermione, Iris.
Les Rosalie sont des femmes toutes de tendresse et de douceur. L'amour est la composante essentielle de leur existence et elles y consacrent toutes leurs forces. Ayant tendance à négliger le côté matériel de la vie, elles se montrent parfois étourdies, voire négligentes dans leur vie professionnelle.La sainte du jour est une vierge du XIIe siècle. Elle aurait vécu en ermite près de Palerme, en Sicile. Elle est devenue la patronne de la ville.
Dicton du jour: Quand il pleut pour les quatre temps, il faut piquer les boeufs et les juments.
Citation du jour: Pardonne beaucoup aux autres ; à toi, rien.
Ausone.
La photo du jour par Doriane:
Quand ciel prend des couleurs flamboyantes AmpusDessin ou histoire du jour:
Devinette:
Pourquoi les banquiers n'épousent jamais leur maîtresse ?
Pour ne pas transformer une action en obligation.
Marchés du jour:
LE SAMEDI LE MARCHE EST A
AUPS
BARJOLS
CALLAS
CLAVIERS
DRAGUIGNAN
TARADEAU
TOURTOUR
Les ARCS SUR ARGENS : Cellier des
Archers.
Marché des PRODUCTEURS 8h 30 à 12h00
INFORMATION DE LA PAROISSE:
MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS
Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC
: Tél: 06 09 18 77 39.
Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.
Notre Dame de Spéluque AMPUS: Tous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).
FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h.
CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.
TOURTOUR: Dimanche à 18h00.
VILLECROZE: Dimanche à 9h15.
AUPS: Dimanche à 11h.
SALERNES: Dimanche à 11h.
ACTIVITES:
Des évènements lors d'un 04 septembre:
4 septembre 1838 : La guerre de la pâtisserie
Le 4 septembre 1838, le saccage à Mexico d'une pâtisserie tenue par un Français entraîne une guerre entre la France de Louis-Philippe et le tout jeune Mexique.
Cette «guerre de la pâtisserie» se soldera par la destruction du port de Veracruz. À cette occasion s'illustreront le prince de Joinville, François d'Orléans, et le général Antonio López de Santa Anna.
Née le 28 août 1824 au 90 rue de Vaugirard à Paris1, Léopoldine Hugo est le deuxième enfant de Victor Hugo et Adèle Foucher. L'aîné Léopold n'a vécu que quelques mois. Son père surnomme sa fille Didine ou Didi.
Léopoldine rencontre Charles Vacquerie (1817-1843), fils d'un armateur du Havre, lors d'une visite de courtoisie que les Hugo font aux Vacquerie dans leur maison de Villequier en 1838.
Léopoldine, qui a 14 ans, et Charles, qui en a 21, s'éprennent l'un de l'autre, mais Victor Hugo, très attaché à sa fille, la trouve trop jeune pour envisager un mariage dès l'année suivante. De plus, plusieurs deuils dans la famille Vacquerie retardent ce désir.
Après avoir patienté cinq ans, Léopoldine épouse Charles Vacquerie le 15 février 1843 en l'église Saint-Paul à Paris, dans la plus stricte intimité.
Le 2 septembre suivant le couple arrive à Villequier. Le lundi matin, 4 septembre, vers dix heures, Charles Vacquerie embarque sur la Seine en compagnie de son oncle, Pierre Vacquerie (1781-1843), ancien marin, et du fils de celui-ci, Arthur (1832-1843), âgé de onze ans. Ils comptent se rendre chez Me Bazire, le notaire de Caudebec, à une demi-lieue de Villequier, où ils avaient affaire. Ils montent dans un canot de course que son oncle venait de faire construire.
Au moment de partir, Charles demande à sa jeune épouse si elle souhaite les accompagner. Celle-ci refuse parce qu'elle n'est pas encore habillée. Les trois voyageurs se mettent en route après avoir promis d'être de retour pour le déjeuner.
Quelques instants plus tard, Charles revient prendre deux lourdes pierres en bas de la maison parce que le canot n’a pas assez de lest. Alors qu'il les met dans le bateau, sa jeune femme s'écrie : « Puisque vous voilà revenus, je vais aller avec vous ; attendez-moi cinq minutes. »
On l'attend, elle monte dans le canot. Madame Vacquerie mère recommande de rentrer pour le déjeuner, regarde le canot s'en aller et pense : « Il fait trop calme, ils ne pourront pas aller à la voile, nous déjeunerons trop tard ». Effectivement, pas une feuille ne tremble sur les arbres. De temps en temps un léger souffle vient un peu gonfler la voile et le bateau avance très lentement. Ils arrivent à Caudebec, où ils rencontrent Me Bazire au sujet de la succession du père de Charles, récemment décédé.
À Caudebec, le notaire veut les persuader de ne pas s'en retourner par la rivière parce qu'il ne fait pas de vent et qu'ils feraient la route trop lentement. Il leur propose donc sa voiture pour les reconduire à Villequier. Les voyageurs refusent et reprennent leur canot.
L'oncle Vacquerie tient la barre du gouvernail lorsque tout à coup, entre deux collines, s'élève un tourbillon de vent qui, sans que rien ait pu le faire pressentir, s’abat sur la voile et fait brusquement chavirer le canot. Des paysans, sur la rive opposée, voient Charles reparaître sur l'eau et crier, puis plonger et disparaître, puis monter et crier encore et replonger et disparaître six fois. Ils croient qu'il s'amuse alors qu'il plonge et tâche d'arracher sa femme qui, sous l'eau, se cramponne désespérément au canot renversé. Charles est excellent nageur, mais Léopoldine s'accroche comme le font les noyés, avec l'énergie du désespoir. Les efforts désespérés de Charles restent sans succès. Alors, voyant qu'il ne la ramènera pas avec lui dans la vie, ne voulant pas être sauvé, il plonge une dernière fois et reste avec elle dans la mort.
Pendant ce temps, Madame Vacquerie, attend dans le jardin. Elle a pris une longue-vue et regarde dans la direction de Caudebec. Ses yeux se troublent, elle appelle un pilote et lui dit : « Regardez vite, je ne vois plus clair, il semble que le bateau est de côté. » Le pilote regarde et ment : « Non, madame, ce n'est pas leur bateau », mais, ayant vu le canot chavirer, il court en toute hâte avec ses camarades. Il est trop tard. Lorsque l'on apporte quatre cadavres à Madame Vacquerie, sur ce même escalier d'où ils étaient partis trois heures auparavant, elle ne veut pas les croire morts, mais tous les soins sont inutiles. Léopoldine n'avait que dix-neuf ans et son mari en avait vingt-six, l'oncle Pierre soixante-deux et le cousin Arthur à peine onze.
Léopoldine Hugo repose au cimetière de Villequier (Seine-Maritime), dans le même caveau que Charles Vacquerie.
4 septembre 1870 : Proclamation de la République
Le 4 septembre 1870, les Parisiens proclament la République (c'est la IIIe du nom). En souvenir de ce jour, de nombreuses rues de France portent le nom du « Quatre Septembre »...
Les dernières heures du second Empire
Lorsque la nouvelle de la capture de Napoléon III suite à la défaite de Sedan arrive à Paris, un certain désespoir s’abat sur les milieux gouvernementaux. Ainsi, dans la nuit du 3 au 4 septembre, le comte de Palikao convoque le Corps législatif. Mais les parlementaires sont dérangés au matin par des groupes d’ouvriers qui les interpellent au cri de « déchéance ! ». Divers attroupements se forment. Les leaders républicains Gambetta et Favre entraînent à leur suite la foule ainsi formée vers l’Hôtel de Ville, où la république est proclamée, en même temps qu’un gouvernement de la défense nationale, constitué de fait et non de droit. La ruine de l’ordre ancien est patente, et l’impératrice fait ses valises pour gagner au plus vite l’Angleterre. Logiquement, la fin de l’Empire se traduit par l’intronisation des opposants à Napoléon III, au premier rang desquels ceux qui seront les piliers de la « République des Jules », soit Grévy, Ferry et bien sûr Simon. S’y joignent aussi Adolphe Crémieux et Gambetta. L’urgence créant l’opportunité de s’emparer des affaires, c’est Jules Ferry qui lance cette idée d’un gouvernement formé de députés républicains parisiens. Cette option a le mérite d’avoir l’assentiment d’une population parisienne fort remuante, que ces démocrates ont d’emblée le souci de canaliser. Le général Trochu, gouverneur militaire de la capitale de tendance conservatrice, se voit aussitôt confier la présidence du gouvernement provisoire, dont il a soin d’exclure les tenants d’idées trop avancées.
4 septembre 1970 : Allende président du Chili
Le 4 septembre 1970, le socialiste Salvador Allende est élu président de la République du Chili. Le candidat socialiste n'obtient cependant que 37% des voix avec une coalition fragile qui va du centre à l'extrême-gauche maoïste. Le reste des voix se partage entre ses deux adversaires de droite. L'opposition au président ne cessera de se renforcer jusqu'à sa mort tragique...4 septembre 1768: Naissance de François-René de Chateaubriand
Avec les romans Atala (1801) et René (1802), le vicomte François-René de Chateaubriand apparaît comme le précurseur du romantisme.
C'est aussi le premier des grands hommes de lettres du XIXe siècle à s'engager activement dans la vie politique. Manifestant son soutien au Premier Consul Bonaparte et au Concordat, il publie en 1802 le Génie du christianisme.Mais il prend ses distances avec Napoléon Bonaparte après l'exécution du duc d'Enghien, se retire à la Vallée-aux-Loups, au sud de Paris. En 1814, il s'érige en champion de la Restauration monarchique. Ministre des Affaires étrangères de Louis XVIII, il prend prétexte d'une insurrection libérale en Espagne pour offrir à l'armée française un succès facile et aux Bourbons une revanche après les humiliations de l'ère révolutionnaire.
L'oeuvre la plus notable qui reste de lui sont les Mémoires d'outre-tombe, écrites en vue d'une publication posthume.
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