mardi 26 janvier 2021

 Mardi 26 janvier

Aujourd'hui nous fêtons: Timothée, Timéo, Mélanie, Mélusine, Paule, Paulette, Albéric.

Les Paule n'aiment rien tant que la solitude et la méditation. Elles sont sérieuses et ambitieuses. Calmes, posées, elles ne se lancent jamais sans réfléchir dans une entreprise. Ce sont des femmes d'une grande fidélité et d'excellentes mères de famille.

C'est sa fête : Paule
Mère de famille dans l'aristocratie romaine du IVe siècle, la sainte du jour s'établit à Bethléem près de la grotte de la Nativité et se consacra à la méditation de la Bible.

Dicton du jour: La sainte-Mélanie, de la pluie en veut mie.

Citation du jour: Il n'y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix.

Benjamin Franklin.

Photo Pascal Belhomme Photography:

Quelques fleurs (vous remarquerez que je n'ai pas lésiné sur la taille du bouquet 😂); juste pour vous remercier d'être là, parfois depuis plus de 5 ans, plus de 13000 maintenant 😮 Merci ! Merci !
(les fleurs ont été photographiées sur la presqu'île de Giens ce matin)



Dessin ou histoire du jour:




Marchés du jour:

LE MARDI LE MARCHE EST A

AIGUINES

FIGANIERES

LORGUES





A table:

Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88
Plats à emporter

Mardi 26 janvier
-Ravioles au boeuf/trompettes de la mort sauce forestière et dessert 12€
-Kanibal et frites 14€
-Kanibalon et frites 10€
-Pizza de 8 à 16€
Mercredi 27 janvier
Fermé
Jeudi 26 janvier
-Couscous royal 15€

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Boulangerie artisanale, pains cuits au feu de bois. Tous nos produits sont faits maison et non pas issus de catalogues de produits surgelés
Tel: 06 16 12 83 42

La boulangerie ouvre le matin de 6h 45 à 13 h du mardi au dimanche inclus

Pendant la fermeture des restaurants: Vente de plats à emporter préparés par FANFAN

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RESTAURANT-PIZZERIA
LE BISTRONOMIQUE
56 Rue Neuve 83111 AMPUS
Tel: 06 95 07 64 00
Plats à emporter

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Des évènements lors d'un 26 janvier:


1611 : Sully quitte le gouvernement

Le 26 janvier 1611, Maximilien de Béthune, duc de Sully démissionne de ses fonctions à la tête du gouvernement. Parce qu'il est protestant, l'ancien Premier ministre du roi Henri IV, assassiné l'année précédente, n'est guère aimé à la Cour. Devenu suspect à l'entourage de la régente Marie de Médicis, il doit abandonner ses charges. Il va se consacrer à la rédaction de ses mémoires, dans sa propriété de Sully-sur-Loire et son hôtel du Marais, à Paris.

La postérité gardera de Sully l'image d'un gestionnaire rigoureux. Attaché aux traditions agricoles et dédaigneux de l'industrie, il a encouragé les recherches menées par Olivier de Serres, auteur en 1600 du premier ouvrage d'agronomie scientifique : Théâtre d'agriculture et mesnage des champs. On prête au ministre lui-même la formule : « Les labourage et pastourage [pâturage] sont les deux mamelles dont la France est alimentée et les vraies mines et trésors du Pérou ».

 1926 : Naissance de la télévision

John Baird présente sa télévision (1925)
Le mardi 26 janvier 1926, des membres de la Royal Institution assistent à la première séance de télévision véritable.

Il ne s'agit que d'une petite image animée en noir et blanc de 30 lignes verticales, mais elle permet de distinguer clairement la silhouette d'un personnage transmise à partir d'un émetteur situé dans la pièce voisine.

La séance a lieu à Londres, 22 Frith Street, dans le laboratoire de l'inventeur, un ingénieur et entrepreneur écossais du nom de John Logie Baird (38 ans). Après de longues recherches, il avait présenté une première fois son procédé en octobre 1924 dans le magasin Selfridges, sur Oxford Street, mais le résultat avait été trop médiocre pour être pris en considération.

Un long chemin

La télévision de John Baird est l'aboutissement d'une longue chaîne d'innovations. Tout commence en 1875 quand l'Américain G. R. Carey suggère l'emploi du sélénium, un matériau dont la résistivité varie en fonction de l'éclairement, pour la transmission d'images à distance. Quelques années plus tard, en 1883, l'Allemand Paul Nipkow invente et fait breveter un disque tournant analyseur d'images, le « télescope électronique » (Elektrisches Teleskop). John Baird en tirera parti pour son dispositif.

Le mot télévision lui-même apparaît avant la chose, en 1900, lors de l'Exposition universelle de Paris !

En 1923, le chercheur américain d'origine russe Vladimir Zworykin invente une caméra électronique (l'« iconoscope ») à l'origine de la télévision électronique et le 18 novembre 1929, alors qu'il travaille pour Westinghouse, il présente le premier récepteur de télévision entièrement électronique. Enfin, en concurrence avec John Baird, l'inventeur américain Charles Francis Jenkins fait en juin 1925 une démonstration publique de transmissions d'images animées selon un principe similaire à base de disque tournant analyseur d'images.

En juillet 1928, l'infatigable John Baird procède à de premiers essais de télévision en couleur. Un peu plus tard enfin, le 30 septembre 1929, il effectue en association avec la BBC (la radio britannique) les premières émissions régulières télévisées à partir de l'émetteur de Daventry.
Camille Vignolle

1824: Mort de Théodore Géricault

26 septembre 1791 à Rouen - 26 janvier 1824 à Paris

Biographie Théodore Géricault


Théodore Géricault a acquis la célébrité avec le Radeau de la Méduse (1819). Passionné de chevaux, sensible à la folie des hommes (folie mentale, folie guerrière, folie politique, ce grand peintre de l'école romantique, mort à 32 ans seulement des suites d'un accident de cheval, eut lui-même un destin des plus... romantiques !




Le Radeau de La Méduse

Le Radeau de La Méduse est une peinture à l'huile sur toile, réalisée entre 1818 et 1819 par le peintre et lithographe romantique français Théodore Géricault (1791-1824). Son titre initial, donné par Géricault lors de sa première présentation, est Scène d'un naufrage. Ce tableau, de très grande dimension (491 cm de hauteur et 716 cm de largeur), représente un épisode tragique de l'histoire de la marine coloniale française : le naufrage de la frégate Méduse. Celle-ci est chargée d'acheminer le matériel administratif, les fonctionnaires et les militaires affectés à ce qui deviendra la colonie du Sénégal. Elle s'est échouée le  sur un banc de sable, un obstacle bien connu des navigateurs situé à une soixantaine de kilomètres des côtes de l'actuelle Mauritanie. Au moins 147 personnes se maintiennent à la surface de l'eau sur un radeau de fortune et seuls quinze embarquent le  à bord de L’Argus, un bateau venu les secourir. Cinq personnes meurent peu après leur arrivée à Saint-Louis du Sénégal, après avoir enduré la faim, la déshydratation, la folie et même l'anthropophagie. L’événement devient un scandale d'ampleur internationale, en partie parce qu'un capitaine français servant la monarchie restaurée depuis peu est jugé responsable du désastre, en raison de son incompétence.

(Texte de Wikipédia)


1855:Mort de Gérard de Nerval

22 mai 1808 à Paris - 26 janvier 1855 à Paris

Biographie Gérard de Nerval

Gérard Labrunie, plus connu sous son nom de poète, Gérard de Nerval, est l'une des figures les plus émouvantes de la poésie française. Naviguant entre réalité et rêve, il a évoqué en des mots immortels les troubles de l'adolescence... et les charmes du Valois. Mais il souffrait de troubles mentaux et, à l'aube du 26 janvier 1855, on l'a retrouvé pendu dans la rue de la Vieille-Lanterne, dans le quartier du Châtelet, à Paris. Il avait 46 ans. La plus belle part du romantisme s'est éteinte avec lui.




Il a vécu tantôt gai comme un sansonnet,
Tour à tour amoureux insouciant et tendre,
Tantôt sombre et rêveur comme un triste Clitandre.
Un jour il entendit qu'à sa porte on sonnait.

C'était la Mort ! Alors il la pria d'attendre
Qu'il eût posé le point à son dernier sonnet ;
Et puis sans s'émouvoir, il s'en alla s'étendre
Au fond du coffre froid où son corps frissonnait.

Il était paresseux, à ce que dit l'histoire,
Il laissait trop sécher l'encre dans l'écritoire.
Il voulait tout savoir mais il n'a rien connu.

Et quand vint le moment où, las de cette vie,
Un soir d'hiver, enfin l'âme lui fut ravie,
Il s'en alla disant : «Pourquoi suis-je venu ?»

(Gérard de Nerval, Épitaphe)

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