> > > Il appelle son météorologue et lui demande l'évolution
> > > pour les heures suivantes.
> > > Celui-ci le rassure en lui affirmant qu'il pouvait y aller.
> >
> > Le roi va tranquillement à la pêche car pas de pluie prévue.
> > > Pour plaire à la reine, il met ses plus beaux atours.
> > > Sur le chemin, il rencontre un paysan monté sur son âne,
> > > qui , en voyant le roi , dit :
> > > "Seigneur, mieux vaut que vous rebroussiez chemin
> > > car il va beaucoup pleuvoir dans peu de temps !"
> > >
> > > Bien sûr, le roi continue en pensant :
> > >
> > Comment ce gueux peut-il mieux prévoir le temps
> > > que mon spécialiste diplômé grassement payé,
> > > qui, lui, m'a indiqué le contraire
> >
> > Poursuivons…
> >
> > Et c'est ce qu'il fait..
> > > Mais il se met bientôt à pleuvoir à torrents.
> >
> > Le roi rentre trempé, la reine se moque de le voir
> > > dans un si piteux état.
> > > Furieux, le roi revient au palais et congédie illico son météorologue,
> > > puis il convoque le paysan lui offrant le poste vacant…
> > >
> > > Mais le paysan refuse en ces termes :
> > >
> > > « Seigneur, je ne suis pas celui qui comprend quelque chose dans ces affaires de météo et de climat, mais je sais que si les oreilles de mon âne sont baissées, cela signifie qu'il va pleuvoir... ! »
> >
> > Et le roi embauche l'âne...
> > >
> > > C'est ainsi que commença en FRANCE la coutume de recruter
> > > des ânes pour les postes de conseillers les mieux payés.
> >
> > C'est depuis ce moment, que fut décidé de créer une école :
> > >
> > > - l' E.N.A. (l'École Nationale des Ânes) et ses diplômés,
> > > dont nous pouvons mesurer, tous les jours, les brillantes compétences.
> > >
> > > Le plus rigolo,
> > > c'est qu' en lisant le nom de cette école à l'envers :
> >
> > > E.N.A devient A N E.
> >
> > Que dire de plus ?
> > > pour les heures suivantes.
> > > Celui-ci le rassure en lui affirmant qu'il pouvait y aller.
> >
> > Le roi va tranquillement à la pêche car pas de pluie prévue.
> > > Pour plaire à la reine, il met ses plus beaux atours.
> > > Sur le chemin, il rencontre un paysan monté sur son âne,
> > > qui , en voyant le roi , dit :
> > > "Seigneur, mieux vaut que vous rebroussiez chemin
> > > car il va beaucoup pleuvoir dans peu de temps !"
> > >
> > > Bien sûr, le roi continue en pensant :
> > >
> > Comment ce gueux peut-il mieux prévoir le temps
> > > que mon spécialiste diplômé grassement payé,
> > > qui, lui, m'a indiqué le contraire
> >
> > Poursuivons…
> >
> > Et c'est ce qu'il fait..
> > > Mais il se met bientôt à pleuvoir à torrents.
> >
> > Le roi rentre trempé, la reine se moque de le voir
> > > dans un si piteux état.
> > > Furieux, le roi revient au palais et congédie illico son météorologue,
> > > puis il convoque le paysan lui offrant le poste vacant…
> > >
> > > Mais le paysan refuse en ces termes :
> > >
> > > « Seigneur, je ne suis pas celui qui comprend quelque chose dans ces affaires de météo et de climat, mais je sais que si les oreilles de mon âne sont baissées, cela signifie qu'il va pleuvoir... ! »
> >
> > Et le roi embauche l'âne...
> > >
> > > C'est ainsi que commença en FRANCE la coutume de recruter
> > > des ânes pour les postes de conseillers les mieux payés.
> >
> > C'est depuis ce moment, que fut décidé de créer une école :
> > >
> > > - l' E.N.A. (l'École Nationale des Ânes) et ses diplômés,
> > > dont nous pouvons mesurer, tous les jours, les brillantes compétences.
> > >
> > > Le plus rigolo,
> > > c'est qu' en lisant le nom de cette école à l'envers :
> >
> > > E.N.A devient A N E.
> >
> > Que dire de plus ?
Je ne connaissais pas cette histoire...
RépondreSupprimerDécidément, moi qui pensai que l'ENA avait été créé en 45 par De Gaulle et son gouvernement provisoire pour former des fonctionnaires dans un contexte où la majeure partie des fonctionnaires existants alors étaient des collaborateurs de Vichy et qu'il fallait former de nouveaux fonctionnaires pour relever la France...
Ca alors... et dire que je me trompais et que ça venait d'un Roi (lequel?) qui a embauché un ane??...
POUR ÊTRE UN PEU PLUS SÉRIEUX:
SupprimerL’École nationale d'administration (ENA) est une grande école d'application française située à Strasbourg et créée en 1945 pour démocratiser l'accès à la haute fonction publique de l'État grâce à des concours. Elle est chargée aujourd'hui d'assurer la sélection et la formation initiale et continue des hauts fonctionnaires de l'État.
L'école accueille chaque année à Strasbourg 80 à 100 élèves en formation initiale auxquels il faut ajouter un tiers d'étrangers, une soixantaine d'élèves de masters et mastère spécialisé ainsi qu'une centaine d'élèves étrangers dans le cadre des cycles internationaux. À ces promotions, il faut ajouter des sessions courtes de formation continue à Paris et à Strasbourg pour des fonctionnaires français et étrangers, soit presque 11 000 personnes par an.
Les 6 500 anciens élèves de l'école sont communément appelés « énarques ». Au cours de la Ve République, les énarques jouent un rôle central dans la vie politique française (quatre présidents de la République, huit Premiers ministres, de nombreux ministres et secrétaires d'État, etc.).
Jouissant d'un certain prestige dans l'enseignement supérieur en France, l'ENA est souvent associée à l'élitisme et à la technocratie qui sont sources de critiques depuis sa création. Ainsi, la question de sa suppression ou de sa transformation est à l'étude.