mercredi 31 octobre 2018
Aujourd'hui: Bonne fête! Wolfgang, Quentin, Quitilien, Alphonse, Alphonsine.
Dicton du jour: À la saint Quentin, cheminée allumée tu seras bien.
Dessin ou histoire du jour:
Une nouvelle taxe dans l'air?
Activités à Ampus:
Dessin ou histoire du jour:
Une nouvelle taxe dans l'air?
Un amendement, soutenu par l'Association des maires de France, a été déposé au projet de loi de Finances pour créer une taxe d'un euro sur chaque colis livré à domicile. Les fonds récoltés serviraient à alléger les charges des magasins, qui souffrent de la concurrence du commerce en ligne. (D'après BFMTV)
Information sur Ampus:
Activités à Ampus:
Flayosc:
FOTOVAR 2018 : DORIANE RECOIT LE PREMIER PRIX DU PUBLIC.
A L'EXPOSITION DE FOTOVAR 2018
LES TALENTS DE DORIANE RECONNUS
PAR LE PUBLIC
Ce dernier Week-end, le samedi et dimanche 27 et 28 février, près de 500 habitants de la Dracénie
sont venus admirer les œuvres de plus de 70 photographes.
En effet, comme chaque année depuis 6 ans, le 7ème festival FOTOVAR a ouvert ses portes au
complexe Saint Exupéry de Draguignan à 35 photographes amateurs confirmés ou professionnels
venant principalement de notre région PACA, ainsi qu’à 20 lycéens principalement de Draguignan et
1 collégienne de Figanières.
Cette manifestation est organisée par ‘Les amis d’HAMAP du VAR’, association qui a été créée afin
d’apporter des ressources financières à l’ONG HAMAP-HUMANITARE qui œuvre sur le long terme
tant en Afrique qu’en Asie. Ainsi cette année, les sommes récoltées durant ce festival permettra de
creuser des puits d’eau potable au Cambodge, et de participer à la formation d’enseignants d’école
primaire au Burkina-Faso.
C’est pourquoi les entrées à ce festival sont payantes (3€) ainsi que la location des surfaces
d’exposition pour les photographes (gratuites pour les lycéens).
Les trois photographes lauréats via les votes du Public, sont dans l’ordre Doriane Boilly d’Ampus, et
Emmanuelle Monsieur et Gaël Delaite de Draguignan, seconds ex-aequo.
Du côté des lycéens, la 1ère
lauréate est Sidonie Triboulet, suivie d’Elisa Lacambre, puis de Léane Terpereau.
Si vous désirez avoir un aperçu du plaisir qu’ont eu les visiteurs à contempler toutes ces
photographies, chaque exposant est présenté via une des photographies représentant le thème de
son exposition sur le site de FOTOVAR : www.fotovar.net.
Et si par ailleurs vous désirez participer en tant qu’exposant au prochain festival qui aura lieu à
l’automne 2019, signalez-vous dès maintenant, afin que nous puissions vous contacter en temps
utile : festival@fotovar.net.
Pour agrandir les photos: cliquez dessus.
Le Darnaga adresse ses félicitations à Doriane mais aussi à tous les bénévoles qui consacrent leur temps au service d'une association caritative sans ménager leur effort et en faisant partager leur passion de la photo.
Grand bravo également aux jeunes des lycées et collèges qui ont fait preuve, à travers l'art, d'une magnifique générosité en s'impliquant dans cette aventure. Bel exemple désintéressé qui donne une espérance d'un avenir plus humain.
En attendant la prochaine édition en 2019, vous pourrez admirer des expositions de Doriane à la mairie de Draguignan et au musée des ATP. ( dates non encore précisées).
Mot de DORIANE:
En attendant la prochaine édition en 2019, vous pourrez admirer des expositions de Doriane à la mairie de Draguignan et au musée des ATP. ( dates non encore précisées).
Mot de DORIANE:
Une grande fierté pour
moi d'avoir reçu ce premier prix.
C'est l
'aboutissement d 'un long travail ,l'envie surtout de continuer avec autant de
plaisir et de passion .
Je remercie Fotovar , le club de Fignières Gael Delaite, Caroline Parlanti, Frédérique Tic Tic,
tous mes potes photographes à qui j 'avoue j 'ai vraiment rien lâché cette année ils se reconnaitront
tous mes potes photographes à qui j 'avoue j 'ai vraiment rien lâché cette année ils se reconnaitront
De magnifiques
rencontres, on se donne tous rendez- vous l'année prochaine.
Je remercie les
personnes de mon village qui ont eu la gentillesse de se déplacer pour
venir à ma rencontre.
Merci à Bernard et
Luc
mardi 30 octobre 2018
EXPOSITION FOTOVAR 2018
EXPOSITION FOTOVAR
LES NOUVELLES CRÉATIONS DE DORIANE
Photo BG |
Au festival FOTOVAR qui
s’est déroulé ce week-end au complexe St Exupéry à Draguignan, parmi la
cinquantaine de photographes de talents qui exposaient leurs œuvres, notre amie
ampusianne Doriane Boilly présentait ses nouvelles créations photos sur le
thème des reflets.
Photo BG |
La photo de reflet permet à l’infini de composer des œuvres
qui semblent surréalistes, mais qui sont bien réalistes puisqu’il s’agit de la
vision qu’a le photographe d’une image qu’il veut sublimer. Inclure un reflet
dans une photo apporte de la profondeur, donne de la dimension, permet de
doubler un sujet, transforme une image en tableau, crée un mystère. Ces
nouvelles expressions photographiques de Doriane, nous entrainent dans un
tourbillon de couleurs, elles nous éblouissent. L’œil de la photographe nous
fait alors plonger dans une autre dimension, celle de l’observation, de la
création, qu’elle se fait une joie de nous transmettre.
B.G.
Photo BG |
Photo BG |
Photo BG |
lundi 29 octobre 2018
TARA PACIFIC
LA GOÉLETTE SCIENTIFIQUE TARA EST RENTRÉE
A LORIENT
Le vendredi 8 septembre 2017, dans le cadre des conférences d'Emporium, Le Professeur Denis ALLEMAND avait fait un excellent exposé très instructif sur les expéditions du navire TARA. Cela avait permis de découvrir ou de comprendre davantage le but de ces expéditions.
Photo extraite du Toupin |
Vous pouvez revoir l'article de Rosette sur le Toupin du 9 septembre 2017.
Après deux ans et demi passés à explorer des récifs coralliens dans le Pacifique et à mesurer l'impact du changement climatique, la goélette scientifique rentre ce samedi riche de dizaine de milliers d'échantillons.
Après avoir sillonné l'océan Pacifique trente mois durant, une nouvelle boucle maritime s'achève pour Tara. La goélette, qui a parcouru 100.000 kilomètres, rentre aujourd'hui à Lorient. Deux ans et demi d'une épopée scientifique concentrée sur un objectif: mieux comprendre le fonctionnement des récifs coralliens, dont le rôle est essentiel pour l'océan comme pour les hommes. «On a vu des récifs de toute beauté, mais aussi des récifs très dégradés et je ne m'attendais pas à de tels contrastes», raconte Serge Planes, directeur du Criobe (centre de recherches insulaires et observatoire de l'environnement, CNRS-PSL) et directeur scientifique de l'expédition.
Une vision d'ensemble qui a permis aux chercheurs (23 laboratoires, 6 pays) de mieux comprendre les causes de ces variations dans l'état des différents récifs coralliens. Si le réchauffement climatique est bien sûr à l'œuvre par de grandes vagues de blanchissement, il n'est pas seul responsable du mauvais état de certains récifs. «Les sites en bon état sont clairement très éloignés de la civilisation humaine, souligne le scientifique. Cela ne veut pas dire que la présence des hommes entraîne nécessairement une dégradation, mais cela induit une relation avec la gestion du littoral. On se rend compte que la résilience du corail tient beaucoup aux mesures de lutte contre la pollution menées à terre.»
Obtenir une vision globale
Mais l'enjeu de l'expédition était aussi de se placer sur une «échelle microscopique plus que macroscopique», poursuit-il. Ce qui représente un champ assez nouveau d'investigation. Pour ce faire, plus de 30.000 échantillons ont été prélevés. Il s'agit d'obtenir une vision globale des écosystèmes et de comprendre les liens des coraux avec les microbactéries, les champignons, les virus et bien sûr les algues, dont les zooxanthelles, qui vivent en symbiose avec eux… «On s'intéresse à la microbiodiversité des coraux un peu comme au microbiote chez l'homme», poursuit le chercheur.
Une part des travaux va concerner la génétique. La diversité corallienne étant immense, les chercheurs se sont intéressés à trois espèces de coraux parmi les plus répandues dans le Pacifique, et qui jouent des rôles très différents (Pocillopora, une espèce branchue, Porites, un corail très massif, et enfin Millepora, plus connu sous le nom de corail de feu). «On va voir comment, avec différents génotypes -les différentes constitutions génétiques d'une même espèce-, ces coraux réagissent par rapport à leur environnement», souligne Patrick Winckler, directeur du Genoscope (CEA) et membre de l'expédition. Les chercheurs espèrent ainsi obtenir une image du récif corallien sur les deux années écoulées et, au fil du temps, voir son évolution dans le cadre du changement climatique, notamment par rapport à d'autres récifs.
«On s'attend à des découvertes essentielles comme lors de Tara Océan (précédente expédition, NDLR) qui a permis des avancées majeures sur le plancton», confirme Serge Planes. Reste que les premiers grands résultats et les publications scientifiques qui les accompagneront verront le jour «au mieux dans deux ans». Certains programmes de recherche sont même prévus sur une dizaine d'années.
La question du plastique
«On a pu faire quasiment tout ce que l'on avait programmé», se félicite Romain Troublé, directeur général de la fondation Tara Expéditions, même si certains pays, l'Indonésie notamment, ont refusé de collaborer à cette étude pan-pacifique. Et même s'il reste encore 200.000 euros à réunir pour boucler le budget. «Chaque don compte, il y a toujours un déficit majeur dans le mécénat climatique, mais cela bouge depuis la COP21», assure-t-il.
Tara Pacific, onzième expédition du genre et quatrième de cette envergure, ancre un peu plus la fondation Tara comme l'un des acteurs majeurs de la connaissance scientifique sur l'océan. À titre d'exemple, 70 publications sont issues de la seule Tara Océan (2009-2013).
Avec un plus indéniable: la collaboration des mois durant des chercheurs et de l'équipage crée un lien humain très fort entre tous «que l'on ne trouve dans aucun autre projet européen», souligne Romain Troublé, les yeux déjà tournés vers le prochain rendez-vous: le tour des grandes villes européennes qui se trouvent au bord de l'eau, pour sensibiliser à la question essentielle du plastique. «En dix ans, nous ne nous sommes pas arrêtés plus de six mois», se félicite-t-il. De toute évidence, cela va continuer.
dimanche 28 octobre 2018
Aujourd'hui: Bonne fête! Simon, Jude.
Dicton du jour: Quand saint Simon et saint Jude n'apportent pas la pluie, elle n'arrive qu'à sainte Cécile.
Dessin ou histoire du jour: DRÔLE DE MALADIE
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d'une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l'exercice du pouvoir.... "C'est le syndrome d'hubris".
Ces personnes sont-elles victimes de ce syndrome? je ne sais pas.
Dessin ou histoire du jour: DRÔLE DE MALADIE
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d'une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l'exercice du pouvoir.... "C'est le syndrome d'hubris".
Ces personnes sont-elles victimes de ce syndrome? je ne sais pas.
Draguignan: FOTOVAR
Les 27 et 28 Octobre je participerais à la 7 éme édition de Fotovar.. faisant parti du bureau j 'y serais très heureuse de vous y retrouver avec toute l 'équipe nous vous y attendons avec grand plaisir ..
Venez découvrit une nouvelle série "reflets et Ombre
Doriane BOILLY
Revoir l'article du 02 octobre sur FOTOVAR pour plus d'informations.
Revoir l'article du 02 octobre sur FOTOVAR pour plus d'informations.
Fréjus: Festival de l'air ( voir programme sur le blog le 27 octobre)
UN PEU D'HUMOUR
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