lundi 25 mai 2020

LUNDI 25 MAI

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS: Sophie, Bède, Madeleine, Sofia, Géry.

Les Sophie n'ont rien à voir avec les petites filles sages que leur prénom laisse supposer. Elles agissent poussées par des forces que les autres ne peuvent pas comprendre ou jugent irrationnelles. Les Sophie sont capables d'un courage insoupçonné qui les pousse à rechercher les situations périlleuses, les excès.. 

Saint-Patron et intercesseur du jour

Saint Urbain, patron des viticulteurs en Bourgogne, en Champagne et en Lorraine il est également le patron des tonneliers et des jardiniers.
Saint Urbain. On l'invoque pour obtenir une récolte de fruits abondante.
Sainte Sophie, patronne des mères seules.


DICTON DU JOUR: Soleil à la Saint-Urbаin, рrésagе une année de vin.

CITATION DU JOUR: Chacun a son défaut, où toujours il revient.La Fontaine.

DESSIN OU HISTOIRE DU JOUR:
SUPER VACANCES!




MARCHES DU JOUR:

FLAYOSC:

REOUVERTURE DU MARCHE LE LUNDI 18 MAI DE 7H30 à 12H30



Avec l’ensemble des marchands habituels, le marché du LUNDI MATIN se tiendra exclusivement sur la Place du 8 mai 1945 dite place du jeu de boules, conformément aux directives sanitaires en vigueur actuellement et afin notamment de respecter les mesures de distanciation physique imposées par les consignes préfectorales ainsi que les espaces entre les chalands et le sens de circulation piétonne.


C’est donc un marché dans de bonnes conditions qui se tiendra dans un premier temps sur cet emplacement pour tous les flayoscais.

Disparition: Jean-Loup Dabadie

Il était entré à l’Académie Française en avril 2008, au fauteuil de Pierre Moinot. On lui doit également les paroles de la chanson "On ira tous au paradis".


L’artiste et académicien Jean-Loup Dabadie est décédé ce dimanche 24 mai à Paris a annoncé son agent à l’AFP. Scénariste, parolier, homme de lettres et ancien journaliste, il s’est éteint à l’âge de 81 ans. Il était entré à l’Académie Française en avril 2008, au fauteuil de Pierre Moinot.
L’artiste qui a exercé ses nombreux talents dans des domaines variés dont la littérature, le journalisme, le cinéma et la chanson, est mort à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, d’une maladie autre que le Covid-19, a précisé son agent Bertrand de Labbey.

“Jean-Loup Dabadie est décédé aujourd’hui à 13h. C’était un artiste complet, il avait réussi dans tous les arts : le sketch avec Guy Bedos (pour lequel il avait écrit de nombreux textes, ndlr); la chanson avec Polnareff (“Lettre à France”) et Julien Clerc (“Femmes je vous aime”); et également le cinéma en tant que scénariste et adaptateur”, a-t-il rappelé.

CA S'EST PASSE UN 25 MAI:

25 mai 1543: Mort de l'astronome polonais Nicolas Copernic, né en 1473.

25 mai 1720 : Le retour de la peste à Marseille


Le 25 mai 1720, un navire, le Grand-Saint-Antoine, entre dans le port de Marseille. Il ramène de Syrie un passager clandestin, le bacille de la peste. En quelques mois, la ville de Marseille va perdre la moitié de ses 100.000 habitants.

Parmi les secouristes s'illustrent l'évêque Henri-François-Xavier de Belsunce de Castelmoron et le chevalier Nicolas Roze..

25 mai 1846 : Évasion de Louis-Napoléon

Le 25 mai 1846, le prince Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon 1er, s'évade du fort de Ham, déguisé en ouvrier avec une solive sur l'épaule, après six ans de captivité pour cause de complot contre l'État. Deux ans plus tard, le révolutionnaire sera le premier président de la République française et cinq ans plus tard, il restaurera à son profit le titre d'empereur et règnera sous le nom de Napoléon III !

25 mai 1864 : Loi Ollivier sur le droit de grève

La loi du 25 mai 1864, dont le député républicain Émile Ollivier est le rapporteur, instaure le droit de grève et supprime le délit de coalition tout en maintenant la grève dans d'étroites limites. Il s'agit de ne pas empêcher le travail des non-grévistes et ne pas commettre d’acte de violences...

25 mai 1913 : Manifestation contre la loi des trois ans

Au Pré-Saint-Gervais, près de Paris, Jean Jaurès et la SFIO réunissent 150.000 personnes pour protester contre la loi qui doit porter de deux à trois ans le service militaire obligatoire... Dans les casernes de l'Est, des soldats menacent de se mutiner à la perspective de rester un an supplémentaire en service.

La loi sera en définitive votée malgré l'hostilité de la majorité de l'opinion publique le 19 juillet 1913, sous l'égide du président Raymond Poincaré et du président du Conseil Louis Barthou.

ELECTION DU MAIRE

Les premiers seront les derniers



Evangile selon Matthieu (20.16 ~ Traduit du grec) :



« Ainsi les derniers seront premiers,


et les premiers seront derniers. »


Ce précepte a fait l'unanimité lors du vote pour l'installation sans surprise du nouveau conseil municipal ce dimanche 24 mai.


Ainsi le maire sortant est le dernier de la liste


Pour les adjoints ce n'est guère plus brillant:



Le premier adjoint sortant est 13ième

Un seul adjoint se place dans le 1er tiers ( le nouveau)

Deux adjoints sortant sont dans le second tiers.



À Ampus, lors des élections municipales 2020, 15 candidats se sont présentés pour autant de sièges au conseil municipal. Tous les conseillers municipaux sont élus avec la majorité absolue des suffrages dès le premier tour :

  • Roger MALAMAIRE, 96,86 %
  • Nadine MARION, 94,67 %
  • Julie LUCCIONI, 94,35 %
  • Michel MANISCALCO, 94,04 %
  • Roland NARDELLI, 94,04 %
  • Virginie MICHEL, 94,04 %
  • Alain POILPRÉ, 93,41 %
  • Carmen FERNAGUT, 93,1 %
  • Nathalie FORESTIER, 92,47 %
  • Aude ABIME, 92,16 %
  • Claire CANDELA, 92,16 %
  • Christian CHILLI, 91,22 %
  • Raymond BORIO, 88,71 %
  • Fabien MICHEL, 88,71 %
  • Hugues MARTIN, 87,46 % 
 Notre Maire est le bonnet d'âne de la classe. Le bonnet d’âne était un couvre-chef dont ont hérité des générations de petits élèves quand leurs résultats étaient médiocres ou qu’ils se montraient un peu trop indisciplinés.

Le taux d'abstention affiché est de 57,05 % dans la municipalité d'Ampus. Ce résultat est plus élevé que celui du premier tour des élections municipales 2014 (27,02 %).
Sur l'ensemble des votes, 4,07 % sont blancs et 3,2 % sont jugés nuls
Avec une forte abstention due en partie à cause du covid 19 mais aussi par l'absence de choix , le maire sortant est élu avec seulement un tiers des inscrits. 
Certains pensent que l'après épidémie sera différent. il faut donc espérer que le maire prenne conscience qu'il n'est pas plébiscité par la majorité des électeurs et devienne plus modeste dans ses actions pour d'une part ne plus gaspiller l'argent public dans des actions futiles et d'autre part pour rendre à Ampus sa véritable authenticité.
Il doit faire preuve d'humilité et se comporter comme Maire de tous par une écoute digne d'une réelle démocratie.
Je doute que ce soit le cas.

Le blog de Gilbert Giraud à Tourtour relate le message d'adieu de Pierre Jugy. Il termine son article comme suit:


"Souhaitons bonne route à Pierre et prospérité pour son auberge... Après douze ans de mandat, il va retrouver la vie tourtouraine avec moins de poids sur les épaules... Personnellement, je tiens sincèrement à le remercier d’avoir toujours eu, à mon égard, une attitude franche et loyale, sans aucune trace de rancune, de revanche ou d’animosité...(Olivier, son premier adjoint a fait tout le contraire...!).
Que Saint-Denis protège Pierre ! (et Olivier aussi, s’il lui reste un peu de temps !)."

J'admire l'attitude de Pierre JUGY digne d'un maire qui accepte l'adversité et fait preuve d'intelligence.
Un élu doit s'attendre à des critiques et je regrette le comportement indécent et injuste de notre maire à mon égard. Je le respecte et mes propos sont nettement moins cinglants que ceux de Gilbert. Qu'il sache que je n'ai aucune haine à son encontre.

L'AUTRE LECON ALLEMANDE




Deutsche qualität

L’autre leçon allemande

Par

Renault, Alinéa, Naf Naf, La Halle, André… La liste des entreprises contraintes de fermer des magasins, des usines ou, pire, d’être placées en redressement judiciaire s’allonge de jour en jour. Redoutées, les conséquences économiques de la crise sanitaire se font désormais durement sentir. Et encore, il ne s’agit que de la partie émergée de l’iceberg. Derrière ces grandes marques, combien de TPE ou de PME mettant la clé sous la porte ?
Aucune grande économie n’échappe à cette lame de fond. Pas même la puissante Allemagne. Nonobstant le plan de relance européen proposé avec Paris, Berlin n’a pas hésité à mettre 1200 milliards d’euros sur la table pour secourir ses entreprises. Pour l’instant, c’est trois fois plus que ce qu’a annoncé la France. Mais la comparaison entre nos deux pays ne se résume pas qu’à des chiffres.

Coresponsabilité. En Allemagne, pas de débat sur l’ISF pour faire payer les grands méchants loups capitalistes soupçonnés de profiter des mesures de soutien aux entreprises sur le dos des travailleurs. Outre-Rhin, pas de lutte idéologique entre les syndicats (un seul par branche) et le patronat. Il peut y avoir des frictions, chacun défendant ses intérêts, parfois farouchement. Mais, in fine, le principe de coresponsabilité l’emporte, compromis n’étant pas synonyme de compromission comme le claironnent les dinosaures de la CGT ou de Sud, arc-boutés sur une stratégie d’opposition quasi caricaturale.
Ce modèle partenarial typiquement germanique est encore trop rare en France. A l’heure où tout le monde est appelé à se retrousser les manches, l’Allemagne, après avoir été quasi irréprochable dans la gestion de l’épidémie, risque donc de nous donner une nouvelle leçon. Car c’est ce dialogue social de qualité et cette aptitude des partenaires sociaux à s’entendre qui constitue l’une des grandes forces de son économie. Et une carte maîtresse dans l’après crise.