samedi 11 septembre 2021

Samedi 11 septembre

Aujourd'hui nous fêtons:  Adelphe

C'est sa fête : Adelphe

Le saint du jour est un Lorrain du VIIe siècle. Il entre au couvent bénédictin de Luxeuil (aujourd'hui Luxeuil-les-Bains, en Hautes-Saône) avant d'être élu abbé de Remiremont, dans les Vosges

Dicton du jour: Tu peux semer sans crainte, quand arrive la saint Hyacinthe.

Citation du jour: Où serait le mérite, si les héros n'avaient jamais peur ?

Alphonse Daudet.

La photo du jour: Alibabuy est à Bormes Village.

Les ruelles fleuries de Bormes-les-Mimosas, de vraies beautés


Bormes-les-Mimosas est une commune du département du Var. La commune abrite le fort de Brégançon, résidence d'État utilisée comme lieu officiel de villégiature (principalement estivale) du président de la République française.
Patrimoine du 12ème siècle, référencé parmi les plus beaux sites de France, le village de Bormes les Mimosas constitue une étape incontournable pour les amoureux des vieilles pierres et les passionnés d’histoire !
Un des charmes de Bormes les Mimosas est sa bordure maritime et l’apparence sauvage qui s’en dégage- Criques et plages de sable fin alternent sur plus de 22km !

Dessin ou histoire du jour:

Deux blondes papotent à un arrêt de bus.

La première: - Quel numéro tu attends ?
La seconde: - Le N°3. Et toi ?
La première: - Moi, c'est le N° 5.
Quelques minutes plus tard, un bus portant le N°53 fait son apparition.
Les deux blondes en chœur :
- Oh, chouette, on va pouvoir faire la route ensemble !!


Marchés du jour:

LE SAMEDI LE MARCHE EST A

AUPS

BARJOLS

CALLAS

CLAVIERS

DRAGUIGNAN

TARADEAU

TOURTOUR

Les ARCS SUR ARGENS : Cellier des Archers.

Marché des PRODUCTEURS 8h 30 à 12h00


AVIS:



INFORMATION:




Chers amis,

Samedi 11 septembre, c'est la manifestation la plus importante, de très loin, depuis le début du mouvement contre le pass liberticide.

Faites tout votre possible pour y être, et faire venir vos proches, le moment est DÉCISIF !

Mercredi prochain, le 15 septembre, les soignants non vaccinés seront mis à pied, sans salaire.

Mercredi prochain, votre médecin généraliste non vacciné sera interdit d'exercer.

Et un mois plus tard, le 15 octobre, les tests PCR deviendront payants - ce qui revient à une obligation vaccinale déguisée !

C'est le moment ou jamais de créer une vague IMMENSE de résistance en descendant TOUS dans la rue.

Regardez la courbe des contaminations : le pic de l'épidémie Delta est derrière nous !

Descendons dans la rue pour le dire haut et fort : 

Nous, vaccinés et non-vaccinés, ne voulons pas du QR CODE PERMANENT ni de l'ABONNEMENT VACCINAL.

Nous voulons vivre normalement, dans une société libre, et pas dans un état policier.

Nous ne voulons pas de la 3ème dose bientôt obligatoire, puis de la 4ème, 5ème, etc..

Nous ne voulons pas injecter une substances expérimentales à nos enfants et petits-enfants, qui ne risquent rien du virus.

C'est LE MOMENT OÙ JAMAIS DE DESCENDRE DANS LA RUE TOUS ENSEMBLE, et dire STOP.

Ensemble, nous allons faire de ce samedi 11 septembre LA PLUS GRANDE MOBILISATION POPULAIRE DE LA DÉCENNIE ! 

Je compte sur vous, c'est LA manifestation qui peut tout changer !

Et d'ici là, transmettez ce message partout autour de vous, à vos contacts email, sur Facebook, Whats'app et tous les réseaux !

A demain dans la rue,

Guillaume Chopin

Où se retrouver

Draguignan: sous- préfecture ou hôpital à 14h
Fréjus: Base nature 14h
Fréjus: Minigolf de St Raphaël: 14h
Brignoles: Rue du 8 mai 1945 15 h
Cannes: Mairie à 10h30 et Kiosque à musique à 14h
Toulon: Place de la liberté à 14h
Nice: Place Garibaldi à 14h et Place Masséna ( politique) à 14h30
Marseille: Vieux port à 14h
Monaco: Place des moulins à 14h.

INFORMATION DE LA PAROISSE: 

MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS

 

 

Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.

Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.

 Notre Dame de Spéluque AMPUSTous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

 

AUX ALENTOURS:

FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h
.

CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.

TOURTOUR: Dimanche à 18h00.

VILLECROZE: Dimanche à 9h15.

AUPS: Dimanche à 11h.

SALERNES: Dimanche à 11h.

 


Des évènements lors d'un 11 septembre:

11 septembre 910 : Fondation de l'abbaye de Cluny



Le 11 septembre 910, le duc d'Aquitaine Guillaume 1er fonde l'abbaye de Cluny. L'ordre clunisien va très vite essaimer dans tout l'Occident. Ses abbés (Odon, Mayeul, Odilon, Hugues,...) vont remettre sur pied l'Église et préparer la réforme grégorienne...
L’abbaye bénédictine de Cluny a connu un exceptionnel rayonnement sur l’Europe.

Fondée en 910, l’Abbaye bénédictine de Cluny a connu un exceptionnel rayonnement sur l’Europe, aussi bien politique, artistique que religieux. A la fois cité et abbaye, Cluny, même privée de sa grande abbatiale, témoigne de la grandeur du mouvement de réforme monastique du Moyen- Âge.
Un empire monastique

Entre le 10ème et 12ème siècle, l’Abbaye de Cluny devient le centre d’un empire monastique européen dont l’autorité s’étendra sur plus de 1100 prieurés et plus de 10 000 moines. Un dicton rapporte que « Partout où le vent vente, l’Abbé de Cluny a rente ». Pendant trois siècles, de Bernon à Pierre le Vénérable, des abbés remarquables s’imposent comme médiateurs et conseils auprès des rois, du Pape, influençant la politique et l’histoire.La puissance temporelle et l’autorité spirituelle de Cluny à son apogée lui permettent de lancer de grands projets comme la reconquête de l’Espagne, l’organisation des grands pèlerinages et d’intervenir dans le domaine des Arts.
© Philippe Berthé CMN, Paris
L’abbaye étend son influence dans les domaines de la musique, de la peinture et surtout de l’architecture et ce, au service d’une liturgie inégalée. Des nefs hautes voutées en berceaux, une élévation sur trois étages, des chapiteaux historiés, Cluny crée et diffuse le style clunisien dans toute l’Europe. En 1130 est consacrée « Cluny III », la Major Ecclesia est un édifice gigantesque, étonnant dans l’harmonie de ses volumes. Avec 5 nefs, un chœur à déambulatoire entouré de 6 chapelles, l’église émerveille les visiteurs du Moyen- Âge qui la qualifient de « promenoir des anges ».


11 septembre 1789 : Naissance de la droite et de la gauche

Le 11 septembre 1789, les députés de l'Assemblée constituante, réunis pour délibérer sur le droit de veto accordé au roi Louis XVI, se répartissent spontanément de part et d'autre du président : à droite, aux places d'honneur, s'installent les « monarchiens » guidés par Jean-Joseph Mounier. Ils sont partisans d'un veto absolu qui permettrait au roi de rejeter définitivement toute loi. À gauche s'installent les opposants qui préfèrent un simple veto suspensif (ils auront finalement gain de cause).

Cette répartition s'enracine lorsqu'à partir d'octobre 1789, les députés délibèrent dans la salle du Manège des Tuileries. Les uns, hostiles à la Révolution ou soucieux de la contenir, s'assoient sur le côté droit de la salle, par rapport au président de l'Assemblée (ce côté réputé honorable est dit le « côté de la reine »). Les autres plus ou moins favorables à la Révolution, s'assoient à la gauche du président (le « côté du Palais-Royal »). Ils se disent « patriotes » et qualifient leurs opposants d'« aristocrates ».
De cette répartition des députés français par affinités datent les clivages entre une droite et une gauche (l'une réputée conservatrice, l'autre révolutionnaire ou réformiste) qui rythment aujourd'hui encore la vie politique dans toutes les démocraties
.

11 septembre 1917 : La dernière mission de Georges Guynemer

Le 11 septembre 1917, l'As de l'aviation Georges Guynemer est abattu par un adversaire allemand après 53 victoires. Il a 22 ans...

11 septembre 1973 : Mort tragique de Salvador Allende

Le gouvernement d'Union populaire du Chili est renversé dans des conditions dramatiques le 11 septembre 1973 par une junte militaire aux ordres d'Augusto Pinochet, commandant de l'armée de terre...
Le président socialiste Salvador Allende, élu trois ans plus tôt, est conduit au suici
de.

11 septembre 2001 : Attentats à New York et Washington


Le 11 septembre 2001, pour la deuxième fois de leur Histoire après la guerre anglo-américaine de 1812, les États-Unis sont agressés sur leur propre sol.

Quatre avions de ligne sont détournés par des terroristes islamistes de la mouvance Al Qaida. Deux s'écrasent avec leurs occupants sur les tours jumelles du World Trade Center, à New York, et un troisième sur le Pentagone (le ministère des armées), à Washington. Le quatrième s'écrase dans un bois de Pennsylvanie, les passagers ayant tenté au sacrifice de leur vie de maîtriser les terroristes. Au total, environ 3000 morts et disparus.

L'effondrement des tours ayant été filmé en direct, l'émotion est immense dans le monde...


DROITES: IL EST ENCORE TEMPS D'ARRÊTER LA MACHINE A PERDRE;




Politique

Droite: il est encore temps d’arrêter la machine à perdre

Par David Angevin

Sans candidat unique pour 2022, la droite offrira sa réélection à Emmanuel Macron et sa vision communautariste du monde.

Chaque élection est importante pour la démocratie, mais la présidentielle et les législatives qui approchent seront décisives pour l’avenir de la France, ses valeurs, sa culture, et ses pépites économiques. Nous sommes, en tant que peuple, à la croisée des chemins : il nous reviendra d’accepter ou de refuser le « changement de civilisation » woko-progressiste et infantilisant dans lequel nous entraîne Emmanuel Macron depuis son accession au pouvoir. Un mandat de plus de « déconstruction », comme aime à le dire le chef de l’État, et il n’y aura plus de retour en arrière possible. Sa politique techno-étatique et son modèle anglo-saxon à la Justin Trudeau — communautariste, woke, écolo punitif par intérêt électoral — auront eu la peau de ce que nous avons collectivement mis des siècles à construire. Il est crucial que chaque Français, quel que soit son bord politique, son milieu social, son origine, sa religion, mesure l’importance de ce qui va se jouer en 2022.


Face à l’effondrement économique, industriel, éducatif, culturel et civique qui délite notre pays depuis quarante ans, face à l’explosion anxiogène de la violence et des incivilités, face au complotisme, au terrorisme, à l’emprise grandissante de l’islamisme dans les territoires perdus de la République, Emmanuel Macron, comme son prédécesseur François Hollande, se sont concentrés sur l’anecdotique et le statu quo, de Léonarda à la calamiteuse Convention citoyenne, de Greta Thunberg à l’Assemblée Nationale aux récentes gesticulations marseillaises. Comme si l’immobilisme, masqué par des déclarations théâtrales bien-pensantes, pouvait créer autre chose que des Gilets jaunes. Comme si les plus modestes, en première ligne face à l’insécurité générée par l’immigration massive, pouvaient résister à la tentation populiste face à un pouvoir aveugle pour qui l’ensauvagement de la société n’existe pas. Signe des temps : au pays des Lumières, les sociologues et climatologues d’extrême gauche ont désormais plus d’influence que les intellectuels et les scientifiques.

Une présidence complaisante avec le wokisme



Confrontée à cet effondrement global qui menace ses fondations, la France ne peut s’offrir le luxe de poursuivre ces politiques pseudo progressistes qui semblent avoir pour unique ambition de se situer, au gré des sondages ou des cibles électorales, dans le « camp du bien » autoproclamé. Une poignée d’hurluberlus crient au racisme systémique de la France, pays de l’universalisme et des droits de l’homme ? Le président, comme le proposait son précédent ministre de l’Intérieur, pose quasiment un genou à terre et promet sur une chaîne américaine de « déconstruire notre propre Histoire ». Une erreur de la police, après avoir laissé les forces de l’ordre se faire caillasser chaque samedi de manifestation ? Le garant de l’autorité de l’État enchaîne les génuflexions, et déclare toute honte bue « je n’ai pas de problème à répéter le terme de violences policières » [Brut, décembre 2020 NDLR]. Une poignée d’écologistes décroissants exigent de mettre à mal notre indépendance énergétique ? Le pouvoir promet, en dépit de toute rationalité scientifique, de fermer des réacteurs nucléaires supplémentaires. Le business des éoliennes coûte des milliards et massacre nos paysages ? Greta Thunberg est à la mode ? Le pouvoir promet donc de transformer les paysages de France, 4ᵉ pays le plus vert au monde, en zone industrielle avec des milliers d’éoliennes. Les Français les plus modestes roulent dans des voitures anciennes ? On leur interdira bientôt l’accès aux centres-villes faute de pouvoir s’offrir un véhicule neuf – la version LREM du fameux et sinistre « s’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche ». Une majorité de Français est rétive à ce « changement de civilisation » délirant pour lequel personne n’a voté ? Il suffira de rééduquer les masses à l’écologie punitive, y compris par le biais de l’Éducation nationale, comme l’a déclaré Madame Pompili. Nous pourrions poursuivre ce grotesque inventaire à l’infini, y compris sur le terrorisme, quand Emmanuel Macron, alors en précampagne, déclarait après les attentats du 13 novembre 2015 : « la France doit assumer une part de responsabilité quant au terreau sur lequel prospère le djihadisme ». Le terroriste qui tue au Bataclan est avant tout une victime des injustices sociales qui le frappent. L’autoflagellation woke poussée jusqu’à l’indécence…

Résultat de cette politique de la communication permanente, de la grandiloquence, de la bien-pensance et du déni du réel, une polarisation des positions, un manichéisme violent et vide de raison critique, une abstention galopante et la désillusion des Français. Bilan de cette politique de la dureté avec les faibles — ceux qui respectent la loi ou sont solvables — et de la lâcheté avec les forts — criminels, dealers, tenants des zones de non droit —, une démagogie d’extrême droite aux portes du pouvoir. Notre pays souffre de ces injustices criantes, de ce « en même temptisme » désastreux et cynique, qui n’a d’autre but que de se maintenir au pouvoir « quoi qu’il en coûte ». Y compris en centaines de milliers d’emplois quand il s’agit de sacrifier nos principaux atouts, les industries automobile (400 000 emplois en France), aérienne et nucléaire (200 000 emplois hautement qualifiés), sur l’autel d’une vision mystique de la lutte contre le réchauffement climatique. La France, pays exemplaire en matière d’émission de CO2, doit cesser dès 2022 de se tirer balle sur balle dans les pieds. Dans le seul domaine automobile, la mue accélérée vers le tout électrique en 2035, contre l’avis de nos constructeurs, produira plus de chômeurs que de bienfaits pour la planète, et renforcera encore la Chine au détriment de l’Europe. Pékin peut se gondoler devant tant de naïveté.

Constats accablants



La vérité, que l’exécutif s’échine à masquer en surjouant la crise du Covid depuis 18 mois, est que la France est au bord de l’effondrement dans beaucoup de domaines. Fermer le pays pendant un an et accumuler une covidette potentielle de 400 milliards d’euros aura permis au pouvoir de détourner l’attention, tout en hypothéquant l’avenir des générations futures. Mais le déni du réel à ses limites, et tous ceux qui vivent dans le monde réel ne sont pas dupes. Nous sommes au bord de l’effondrement économique, avec une dette publique à 120% du PIB, qui rend possible un scénario catastrophe à la grecque en cas de hausse des taux d’intérêt. Délitement social et moral, avec une société française rongée par les faillites d’entreprises, le chômage de masse, et une jeunesse désespérée par l’absence de perspective : plus de 25 % de chômage chez les jeunes adultes. Signe d’une société anémique et sans perspectives, nos jeunes diplômés et nos plus brillants chercheurs en sont réduits à quitter la France pour trouver un travail à la hauteur de leurs qualifications. Recul des libertés, et de la première d’entre elle, la sécurité de vivre tranquillement sur notre territoire national. Le niveau d’insécurité a atteint des niveaux inédits, les atteintes aux personnes et aux biens connaissant une hausse exponentielle partout dans l’hexagone.

Il existe une majorité dans le pays, se situant à droite comme à gauche, pour partager ce constat accablant et refuser la déconstruction de la France. Nous sommes une majorité à aimer la France, sa culture — qui existe, n’en déplaise au président de la République —, sa langue et son Histoire. Si Emmanuel Macron ne porte évidemment pas seul la responsabilité du déclassement de notre pays entamé il y a quarante ans, sa réélection verrait se poursuivre son projet, mélange de centralisme archaïque et de doctrine anglo-saxonne écolo-woke, dont la majorité silencieuse du pays ressent l’absurdité et la dangerosité.

Benoît Hamon a achevé la gauche républicaine en 2017, et Marine Le Pen « ne gagnera jamais » comme l’a compris Eric Zemmour. Tous les sondages indiquent que la France n’a jamais autant penché à droite. Si Xavier Bertrand comprend qu’il a enclenché la machine à perdre, et accepte de débattre dans une primaire avec les autres prétendants tout aussi légitimes que lui, il reviendra au vainqueur la lourde responsabilité de convaincre les Français de l’urgence vitale d’un changement de cap radical. La victoire de la droite est possible. Il faudra proposer une vraie vision de la société (forte), du charisme pour convaincre (beaucoup), et du courage pour mener les réformes indispensables (énormément). La poursuite du déclin de La France n’est pas (encore) une fatalité.