lundi 25 mars 2019

Aujourd'hui: l'annonciation:  Bonne fête! Annonciade, Dismas, Erblain, Herblain, Humbert, Umbert, Umberto.
Les Humbert savent apporter un peu de modération et de réflexion à leur spontanéité naturelle. En revanche, ils sont incapables de faire face à la solitude, qu'ils refusent comme ils refusent toute introspection.. 

Dicton du jour: S'il gèle le 25 mars, il faut faire provision de grain et de vin.

Ça s’est passé un 25 Mars.

1996 : Les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne signent un traité mettant fin à un demi-siècle d'expérimentations atomiques dans le Pacifique sud. 
 1994 : Les Etats-Unis achèvent leur retrait militaire de Somalie. 
1975 : Les Sud-Vietnamiens perdent Hué. Le roi Fayçal d'Arabie saoudite est assassiné à Riyad par son neveu; son frère, le prince Khaled, lui succède. 
 1969 : Le président pakistanais Ayoub Khan remet le pouvoir aux militaires, après 11 ans de règne. 
1962 : La France rappelle son ambassadeur à Moscou pour protester contre la reconnaissance par l'URSS du Gouvernement provisoire de la République algérienne. 
1957 : La Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas, la France, l'Allemagne et l'Italie signent le Traité de Rome, à l'origine de l'Union européenne. 
1941 : La Yougoslavie adhère à l'axe Berlin-Rome-Tokyo. 
1924 : Une seconde République est proclamée en Grèce. 
 1918 : Décès du compositeur français Claude Debussy, né en 1862. 
 1871 : Menacé par des éléments républicains, socialistes et révolutionnaires, le chef de l'exécutif français Adolphe Thiers évacue Paris, encerclé par les Prussiens. 
1833 : Révolution en Haïti. 
 1821 : Soulèvement des patriotes grecs contre la domination ottomane; il durera 12 ans et aboutira à l'indépendance. 
 1815 : L'Autriche, la Grande-Bretagne, la Prusse et la Russie s'allient contre Napoléon. 
1802 : Signature de la Paix d'Amiens avec l'Angleterre, qui met fin à la seconde coalition. 
1799 : Le général Jourdan bat les Autrichiens à la bataille de Stockach. 
 1507 : Guerres d'Italie: les troupes de Louis XII interviennent à Gênes pour ramener l'ordre civil. 
1306 : Robert Ier Bruce se fait couronner roi d'Ecosse, mais son pays reste sous la tutelle de l'Angleterre. 
 1199 : Le pape Innocent III institue une procédure de lutte contre les hérétiques, qui servira de base à la future Inquisition. 
 1005 : Défaite et décès du roi d'Ecosse Kenneth III à Monzievaird. Son rival et cousin Malcolm lui succède. 



Activités à Ampus et dans les environs:

Sainte Maxime:




Organisée par les jardins partagés du Golfe de Saint - Tropez, la journée de la graine propose qu'on se retrouve pour échanger les graines ou en acheter, mais aussi se rencontrer et partager un moment de convivialité autour de projets communs. Un beau moment de partage en perspective...

Chateaudouble:



Chers membres,
Une assemblée générale extraordinaire se déroulera au Cercle Saint Martin de Châteaudouble le samedi 30 mars à 18h30 dans les locaux du cercle.
Au programme:
- Élection d’un nouveau bureau
- Un nouveau bilan de 2018 sera dressé
Les potentiels candidats devront s’inscrire avant le 29 mars
Les candidats et les votants devront avoir la carte du Cercle 2018 et (ou) 2019
L'équipe du Cercle vous invite vivement à participer à cette assemblée générale extraordinaire.
Amicalement,
L'équipe du Cercle Saint Martin

LES MUNICIPALES A TOURTOUR

Gilbert Giraud évoque l'élection municiple 2020 à TOURTOUR avec un interview du Maire et ses commentaires.

Pour avoir le texte complet avec les photos et commentaires allez sur le blog de Gilbert Giraud

Le maire de Tourtour prépare l’élection municipale de 2020 : pour lui .... ou pour qui ..?!....

Pour l’élection municipale de 2020 des bruits avaient couru mais ont perdu très vite de leur ampleur, d’autres rumeurs courent encore mais sans avoir toutes les garanties de crédibilité... Certaines hypothèses avaient été avancées mais se sont révélées aventureuses pendant que d’autres ont été proposées mais ne semblent pas encore bien réalistes... Autrement dit, le flou s’est bien installé au village concernant les candidats éventuels et le scrutin municipal conserve pour l’instant son mystère...
En bon stratège manipulateur, notre maire Pierre Jugy a voulu profiter de ce vide apparent pour venir participer à cette morosité ambiante locale en s’adressant à la sphère médiatique...
Article de Var-Matin du samedi 19 janvier 2019  :
titre : Pierre Jugy : « Les maires sont écrasés et humiliés »
sous-titre : Le maire fustige la cassure entre un Etat soumis aux diktats de l’Europe et les Français
Voeux, ambitions politiques, comment s’annonce cette année 2019 pour le maire de Tourtour, Pierre Jugy.
Vos voeux pour 2019 ?
P.J : Comme la plupart des maires, je veux faire en sorte que la population vive heureuse, dans la joie, avec un emploi. Depuis que nous avons été élus en 2008, nous n’avons jamais augmenté les impôts, pas plus qu’on les augmentera cette année. Je formule aussi le voeu que le calme revienne dans notre pays et notre région. Mais qu’il
revienne pour les bonnes raisons. Qu’on finisse par entendre ce que les gens expriment haut et fort.
C’est-à-dire ?
P.J : Quand le gouvernement annonce des mesures prises pour faire plaisir aux gens, ils ressentent qu’ils n’ont pas été entendus.
Que pensez-vous de la concertation nationale ?
P.J  : Je crains qu’elle ne soit pas ressentie par nos populations comme quelque chose de productif. Les gens ont la certitude que ce que l’on veut les pousser à dire n’a de but que de les calmer et pas du tout d’aller dans leurs revendications. J’ai ouvert la mairie en tout début de crise des gilets jaunes, pour que les gens formulent leurs doléances. Très peu sont venus à cette permanence.
Vous comprenez les GJ ?
P.J : Je condamne les destructions, la violence, mais il faut comprendre aussi que, quand on n’a plus d’autres moyens pour se faire entendre, certains aillent jusqu’à ces extrémités. La méthode douce, les maires veulent continuer de la maintenir. Mais arrivé un moment, si on n’a pas la compréhension de l’Etat, on rendra les clés.
Que sentez-vous chez vos confrères ?
P.J  : Une volonté de baisser l’écharpe et de dire que puisque l’on n’est pas entendu on s’en va.
Et vous l’écharpe ?
P.J :Je vais la garder jusqu’au bout. Après, on verra.
Vous avez eu des ambitions électorales, êtes-vous découragé ou stimulé par ça ?
P.J  : Cela me décourage totalement.
Mélenchon ?
P.J  : On me demande qui je vais soutenir. C’est amusant. J’ai fait une campagne des législatives où j’appelais tous ceux qui avaient, et c’est étrange, les revendications portées par les gilets jaunes aujourd’hui. Je prônais le fait que le parti politique était bien moins important que ce que l’on voulait accomplir. J’ai demandé à la France insoumise, EELV, le Rassemblement National, ceux qui avaient envie de porter notre territoire à l’Assemblée nationale de voter pour moi. Seul le RN a décidé de pousser des gens qui, comme moi, portaient ce discours. Aujourd’hui, parmiles gilets jaunes, il y a des gens de tous les partis. C’est bien la preuve qu’il y a un message de la population qui a besoin de s’exprimer. Certains le font d’une façon violente parce qu’ils sont en train de mourir de faim.
Est-ce que les maires doivent mettre le feu ?
P.J  : Ce n’est pas mettre la panique qui est important mais de se faire entendre. On ne se fait pas entendre car il y a eu une razzia électorale phénoménale et exceptionnelle dans l’histoire de notre République, qui a investi le Président des pleins pouvoirs à l’AN, lui permettant de faire passer tout ce qu’il veut. Cela génère un sentiment de mépris chez les populations qui estiment que les lois votées, à tort ou à raison, favorisent une partie de la population la plus riche. Ils ne sont pas d’accord. Et la réponse "c’est comme ça, nous avons été élus pour ça", est perçue comme de l’arrogance
Où en sont vos ambitions politiques ?
P.J  : Je n’en ai pas. Je voudrais arriver à mener à son terme ce mandat avec toutes les difficultés supplémentaires qui tombent chaque jour. Avec notre volume financier, mais sans les subventions. Il n’y a plus qu’une marge de manoeuvre : l’augmentation des impôts. Mais ça va contre mon engagement, alors on commence à tirer la langue.
Que faire ?
P.J  : La révolution ! Il y a aujourd’hui un abandon des maires de droite comme de gauche, qui avaient jusqu’à ce jour réussi à travailler parfaitement ensemble. A ce jour, beaucoup ne souhaitent plus se représenter. Ils n’ont plus plus les moyens de maintenir la qualité de vie de leurs administrés, ni d’aboutir sur leurs projets, ils se demandent à quoi ils servent. Humiliation supplémentaire, le préfet écrase sous sa semelle les décisions votées par le conseil municipal. L’Etat et le préfet viennent de prendre deux décisions ridicules, vexantes et humiliantes pour les représentants de la République. Il nous a été demandé à la fois de délibérer sur le maintien du rattachement administratif à la sous-préfecture de Draguignan, dont nous dépendions, et pour la dissolution du syndicat mixte du haut Var, alors que plus de 16 communes ont délibéré pour le maintenir. Le préfet les a balayées. C’est un véritable camouflet. Si on ne sert à rien, autant rendre les clés de nos mairies. Pourtant, les intercommunalités sont censées produire des économies ? Qu’on nous les montre ! Nos employés communaux s’occupaient de dossiers, de la facturation de l’eau, l’urbanisme, le tourisme... Ils restent employés communaux et on embauche de nouveaux personnels pour faire ce travail au sein des intercommunalités. C’est une aberration. On rajoute des couches et on multiplie les coûts.
Que faire ?
P.J : Il faudrait adapter les lois votées pour les grosses intercommunalités, aux territoires où ce n’est pas possible. On supprime des compétences qui étaient gérés en bon père de famille par des élus parce que des fonctionnaires ont décidé de faire des grosses patates sur la carte. C’est lamentable !
Comment s’y opposer ?
P.J  : Il pourrait y avoir une action gilet jaune de l’écharpe tricolore. Sauf que l’engagement d’un élu est de maintenir la sécurité des populations, leur sérénité, et de ne pas mettre de l’huile sur le feu auprès des institutions administratives. Mais plutôt d’amortir les lois votées par les députés pour qu’elles soient applicables avec le moins de dommages au plan local. Mais on se rend compte qu’on n’y arrive plus car les décisions prises en haut lieu ne le sont pas en fonction des besoins de l’Etat français, mais pour respecter les engagements de Bruxelles afin que les 27 pays suivent la même ligne de marche.
L’eau est le prochain sujet brûlant ?
P.J : Tourtour maîtrise son eau d’une façon ancestrale. Nous avons formé nos équipes pour ne pas avoir d’interventions extérieures. Le simple fait que les députés décident de nous prendre cette gestion va exactement à l’opposé de nos délibérations. Une grande société dont je tairais le nom va venir, parce qu’elle en a reçu le mandat par l’Etat, nous expliquer dans notre village comment livrer et facturer au prix qu’elle voudra et réparer des canalisations dont elle ne connaît même pas les emplacements, avec du personnel hors-zone et des coûts qui vont se rajouter. C’est une épée de Damoclès qui va nous tomber dessus. C’est un désastre économique, sanitaire et financier.
Conclusion ?
P.J : Les grands élus français ont des salaires très importants et sont pratiquement obligés de garder leur mandat tant ils ont des avantages. Les 36 000 petites communes sont gérées par des maires qui n’ont pas de carrières politiques. Ils ont une autre vie. Ce qui fait que nous pouvons dire ce que nous voulons, quand nous le voulons. Les gens ont le sentiment que si leurs maires ne sont pas entendus, ils ne le sont pas eux-mêmes.
Interview recueilli par Isabelle Dert-Bono
Commentaires du site "Tourtour, notre village" : (Ndlr)
Le but est donc manifestement de décourager les bonnes volontés qui auraient envie se présenter tête de liste 2020 dans le "village dans le ciel "... Les décourager en leur expliquant son propre découragement (ou supposé tel !)...Belle tactique pour une démarche aussi vicieuse que contraire à la morale et à la démocratie...Mais.....mais.... Si Pierre Jugy a adopté cette posture, c’est évidemment qu’il a une petite idée derrière la tête (à moins que ce soit de chaque côté !). Son comportement lors des vœux sous la salle polyvalente plastifiée avait mis la puce à l’oreille de certains mais aussi la blatte dans la narine gauche de plusieurs autres... Ce jour-là, sous le beau soleil de midi et demi, Pierre Jugy a largement donné l’impression qu’il pensait à l’élection municipale prochaine... L’article de Var-Matin conforte encore plus cette hypothèse... Néanmoins, rien ne permet -pour l’instant- de savoir si Pierre y pense comme candidat à un troisième mandat ou s’il y pense en tant que passeur de flambeau à son successeur qu’il adoubera bientôt... La famille Révelli (au sens large) sera-t-elle concernée ? Le couple Le Tinnier continuera -t-il à avancer ses pions pour faire une "dame" ? Le successeur deviendrait-t-il alors une "successeuse" ? Quel rôle sera joué par la nouvelle égérie du maire ? (si vous ne voyez pas de qui il est question, il est temps de consulter les pages Jaunes à la rubrique "Ophtalmologues" !..). Un candidat (ou une..) venant d’un domaine sur la route d’Ampus peut-il émerger et créer une surprise ?...Mais.....mais.... Ne nous précipitons pas ! Ne nous affolons pas ! Il reste environ 14 mois : les événements vont se préciser, les langues se délier, les hypothèses se vérifier, les suppositions se confirmer ou les prévisions se contredire ...Nul doute que l’on a devant nous quelques belles semaines de rigolades et plusieurs mois de galéjades électorales. En un mot, on ne va pas pouvoir éviter de se régaler !!..
Il semble bien clair, contrairement aux affirmations estivales de Jean-Louis Le Tinnier (qui n’avait pas de doutes mais des certitudes !!), que Pierre Jugy sera candidat en 2020... Pour lui ?... ou pour qui Il reste quelques perles dans l’article (en particulier la fabuleuse question : "et Mélanchon" ?) et j’avoue ne pas résister à l’envie d’y revenir bientôt....

PRECISIONS SUR SAINTE CATHERINE

Des lecteurs ont été étonnés que le blog mentionnait la Sainte Catherine le 24 mars pensant qu'il s'agissait d'une erreur.

En fait il y a plusieurs "Sainte Catherine" dont les dates de fête sont différentes parmi lesquelles Catherine d'Alexandrie fêtée le 25 novembre, Sainte Catherine de Suède, fêtée le 24 mars, Catherine Labouré, fêtée le 28 novembre.


Le 25 novembre, nous fêtons Catherine d'Alexandrie, vierge et martyr du IVème siècle.

Catherine est la patronne des jeunes filles et des philosophes. Elle est l'une des plus célèbres martyres des premiers siècles. La plus jolie et la plus savante des jeunes filles de tout l'Empire. Mystiquement fiancée à la Sagesse éternelle, elle écarte avec succès les objections apportées contre la foi par les philosophes, chargés de la convaincre de l'inanité du christianisme. Sa légende a masqué son existence historique, recouverte de broderies fabuleuses. Ainsi peut-être le récit de son martyre qui la fait mourir déchiquetée par quatre roues armées de pointes. Très populaire au Moyen Age, elle fut l'une des "voix" de sainte Jeanne d'Arc. Son culte reste très vivant au monastère situé au pied du Mont-Sinaï où des anges l'auraient portée.

  Le 24 mars , nous fêtons Sainte-Catherine-De-Suède et les Adhémar. 


Sainte-Catherine-de-Suède (1331-1381) Née en Suède, quatrième enfant de Sainte Brigitte, elle épouse Edgar Lydersson, un invalide avec qui elle vit en continence et qu'elle soigne avec grand dévouement. De concert avec son mari, elle rejoint sa mère à Rome et l'accompagne à Jérusalem. Après la mort de son mari et de sa mère, elle regagne la Suède et devient abbesse de Watzen. De 1375 à 1380, elle habite à nouveau à Rome pour obtenir l'approbation de l'ordre du Très Saint Sauveur (les brigittines) et pour presser la canonisation de sa mère.

le 28 novembre, nous fêtons Catherine Labouré (1806-1876)

 Catherine Labouré  est surtout connue pour les apparitions de la Vierge Marie qu‘elle a eues dans son couvent de la rue du Bac, lors de son noviciat. Catherine Labouré était la huitième des dix enfants du fermier Pierre Labouré et de son épouse Louise Gontard. Ayant perdu sa mère à l'âge de neuf ans, Catherine, que sa famille appelle Zoé, développe une affection particulière pour la Vierge Marie. Étant donné les circonstances familiales, elle travaille très jeune à la ferme de son père et ne va pas à l'école. Adolescente, elle choisit d'entrer plus tard chez les Filles de la Charité à la suite d'un rêve la faisant rencontrer saint Vincent de Paul qui a fondé cet ordre.