jeudi 1 avril 2021

DES FLICS PARTOUT, DU BON SENS NULLE PART

 


Vaccination, ségrégation, pouvoir.

par H16


À mesure que la coercition généralisée se met en place afin d’obtenir un troupeau d’humains consentants (ou sinon…), il est intéressant de constater le malaise qui s’installe et la distance prise chez ceux qui furent les plus vocaux à réclamer cette coercition irraisonnée.

On découvre ainsi, dans un récent papier publié sur The Lancet (cette revue qui fut un jour vénérable), que la position de certains médecins évolue de façon sensible face à leurs déclarations et actions publiques pourtant médiatiques au sein du Conseil scientifique français qui décida, il n’y a pas si longtemps, de confiner, reconfiner et re-reconfiner à tour de bras.

Apparemment, pour le docteur Delfraissy , il est peut-être temps de reconsidérer les options choisies par le gouvernement : l’immunité de groupe ne semble plus si désirable, d’autant que les mutations virales se multiplient gentiment et que les stratégies employées jusqu’ici montrent leur peu d’impact réel sur l’épidémie. Au passage, on ne pourra s’empêcher de noter la façon dont la responsabilité des choix opérés est habilement reportée, en totalité, sur le pouvoir politique qui fut pourtant trop heureux d’écouter les sachants, eux-mêmes bien disposés à dispenser leurs conseils moyennant célébrité.

Peut-être certains commencent-ils à comprendre qu’on (i.e. les aigrefins au pouvoir, essentiellement) utilise leur renommée et leur expertise comme paravent à leur désir de tout contrôler, pour faire passer un nombre croissant de lois liberticides et mettre en place une forme de moins en moins douce de dictature sanitaire à laquelle ils auront, de fait, donné leur aval. C’est encore un peu voilé, confus même, mais ces experts et ces sachants sentent qu’à l’heure des comptes, leur addition personnelle pourrait être salée s’ils continuent dans la même voie.

On pourra se réjouir de ce timide retour à la réalité. Pourtant, les critiques des actions entreprises ne sont pas nouvelles et certains (trop rares) pays qui ont choisi la raison et la pondération prouvent amplement qu’ils ont eu raison.

 


En pratique, sans la propagande acharnée des médias en cheville avec le pouvoir politique qui ont tout fait pour gommer les dissidences, les critiques raisonnables et les avis contradictoires, il est probable que l’assentiment silencieux d’une partie du peuple se serait déjà évaporé.

Ce qui est arrivé à la déclaration de Great Barrington  est assez typique : des sommités mondiales présentent un état des lieux et des solutions raisonnables (qu’on peut critiquer mais qui ne sont ni lunaires, ni idiotes, ni dépourvues d’antécédents historiques convaincants), mais sont rapidement ridiculisées et ostracisées, voire carrément bloquées par les médias et les « Big Techs » dont l’Histoire montrera qu’elles n’ont pas été purement instrumentales dans l’asservissement progressif des peuples. Peu importe la signature apposée par plus de 50.000 médecins sur cette déclaration : elle ne cautionne pas les solutions collectivistes et mérite donc l’opprobre.

Au final, le texte de Delfraisy et al. rappelle qu’il n’y a pas lieu de vacciner systématiquement tout le monde. Cette solution n’est pas une panacée, loin s’en faut (la stratégie débile du « zéro COVID » est complètement chimérique), mais semble servir à imposer de plus en plus de bricolages sociétaux délétères pour lesquels on ne s’étonnera plus de trouver une brochette de médecins parler de « contrat social », décidable et pilotable à volonté, dans une démarche constructiviste assez consternante.

Finalement, chacun devrait être libre de faire comme bon lui semble d’autant que, les données s’accumulant, la comparaison avec le passé laisse de plus en plus perplexe sur les choix imposés par le gouvernement.

En réalité, le bilan de l’action publique en matière de santé dans les pays occidentaux en général et en France en particulier est particulièrement visible actuellement… Et il est catastrophique : il apparaît maintenant que des dizaines de milliers d’individus sont morts par négligence et désorganisation, par contamination (en hôpital et en EHPAD), que des dizaines, centaines (?) de milliers d’autres mourront de n’avoir pas été suivis médicalement pendant cette période, contrebalançant largement les mesures de sauvegarde prises et que les impacts économiques, sociaux, psychiques de ce qui a été mis en place seront phénoménalement malsains.

« Primum non nocere » semble avoir été oublié au profit d’intérêts économiques, politiques ou personnels peu reluisants. L’étape suivante, l’obligation vaccinale récurrente et le traçage permanent des populations se met doucement en place.

Il devrait encore être évident et normal que chacun doit pouvoir choisir ou non une procédure médicale dont le rapport coût/bénéfice n’est évaluable qu’à titre individuel. Il devrait encore être évident et normal qu’on ne peut imposer de partager ses données de santé, pourtant éminemment privées, pour autoriser des déplacements.

Il devrait aussi être évident que partager ses données personnelles à la puissance publique, que laisser sa liberté de mouvement aux politiciens et administrations en place et que leur accorder un tel pouvoir ne peut pas aboutir à une amélioration de la situation. Si l’Histoire doit nous apprendre quelque chose, c’est bien cela. Seule une naïveté qui confine à la complicité permet à certains de réclamer l’avènement de ces mesures en applaudissant idiotement des deux mains et des deux pieds.

De façon générale, introduire l’État (aux forceps) dans le domaine de la santé a toujours été une hérésie qui ne conduit, comme dans les autres secteurs, qu’à des pénuries, des gabegies, un effondrement de la qualité des services prodigués et une évaporation de la liberté avec, au bout, des obligations, des interdictions et des sanctions pour ceux qui refusent de plier sous le joug.

La santé n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais un bien commun. Tenter d’imaginer des situations qui justifient le piège dans lequel nous sommes tombés (en France depuis un moment, et plus récemment ailleurs dans le monde) est une erreur qui ne se terminera que très mal.

 Jeudi 01 avril

Aujourd'hui nous fêtons: Hugues, Hugo, Valéry, Valérie, Valériane.


Les Hugues sont des créateurs marginaux et rêveurs, tendres mais révoltés. Ils sont en fait partagés entre le goût de la réflexion, de la méditation, et celui de l'action. Leur grande liberté spirituelle les mènent souvent à des recherches ésotériques ou métaphysiques. En amour, ce sont des fidèles.. 

C'est sa fête : Hugues

Hugues vécut un siècle avant Aliénor d'Aquitaine, à l'époque où la papauté se préoccupait de tirer l'Occident des ténèbres. Il participa à la réforme des mœurs ecclésiastiques dans son diocèse de Grenoble. En particulier, il accueillit Bruno qui fondera dans la solitude des montagnes le couvent de la Chartreuse.


Poisson d'avril 

Depuis près d'un demi-millénaire, le 1er avril donne lieu en France et dans quelques autres pays à d'aimables farces surtout pratiquées par les enfants et leurs parents.

Cette tradition remonte au roi Charles IX. Avant son édit de Roussillon (9 août 1564), en France, l'année calendaire commençait le 25 mars, et, de ce jour jusqu'au 1er avril, les Français avaient coutume de se faire des cadeaux pour célébrer le passage à l'année nouvelle.

En souvenir des temps anciens, les Français et les autres francophones n'en continuent pas moins à se faire des cadeaux « pour rire » à l'occasion du 1er avril. Comme le 1er avril coïncide aussi avec la fermeture de la pêche, le mois d'avril étant la période du frai (reproduction) pour beaucoup de poissons de rivière, on qualifie ces amusements de « poissons d'avril » car ils sont aussi peu sérieux que de pêcher un poisson en avril !...

Dicton du jour: Le 1er avril on fait courir les sots.

Citation du jour:  La hâte est la mère de l'échec.

Hérodote.

Les photos du jour:   Photos de ALENDA Philippe ( groupe en dracénie)

 Les tulipes de la Lurs et la Brillane sont sorties et nous en font voir de toutes les couleurs!

Difficile de voir un peu de couleurs ces derniers jours en période de confinement et pourtant lorsqu'on regarde par la fenêtre ou dans son jardin on voit que la nature de son côté est loin d'être confinée et c'est même plutôt le contraire.

Premiers signes de l'installation du printemps, malgré le ciel gris de ce début de semaine, les tulipes sont bien là et elles commencent déjà à nous offrir de belles couleurs de quoi nous faire oublier quelques instants la période dans laquelle nous sommes,

Champ de tulipes entre Lurs et La Brillanne (Alpes de Haute Provence)
Les bulbes provenant de Hollande sont plantés dans nos terres de Haute Provence afin de bénéficier de notre climat et de grossir plus vite. Une fois fleurie, la tulipe est coupée et le bulbe est renvoyé dans sa terre natale.



Perché en balcon au-dessus de la moyenne vallée de la Durance, le village jaillit d'une cascade d'oliviers. Lurs s'étire en éperon entre le château au nord et le séminaire au sud.

Les historiens s'accordent à attribuer à Charlemagne la fondation de Lurs. Au début du IXème siècle, l'empereur plaça les lieux sous la tutelle des évêques de Sisteron, lesquels y construisirent leur résidence d'été puis un séminaire: ce bâtiment, rectangulaire, massif, résulte de plusieurs campagnes de constructions.

L'église, attestée dès le IXème siècle, a été maintes fois remise au goût du jour et agrandie pour s'adapter à l'évolution démographique de la population. Le portail monumental de l'église est assorti d'une porte ouvragée.

Le patrimoine bâti domestique, sauvé des ruines depuis quelques décennies dénote une restauration de bon goût qui valut au site d'être classé par les Monuments historiques. La tour de l'horloge couronnée d'un campanile en fer forgé, enjambe la ruelle qui commande l'accès au vieux village. Des portes aux linteaux monolithes, des fenêtres à meneaux, des encorbellements sont autant d'éléments d'architecture ancienne à découvrir au fil des rues. 



 









 

Dessin ou histoire du jour:

L'église St Denis de TOURTOUR

au centre du village?


Cette église romane s'élève à l'extrémité orientale du village. Isolée auprès du cimetière, elle domine toute la région et une table d’orientation permet de découvrir ce superbe panorama (on peut voir jusqu'à la côte).
Normalement, l'église est au milieu du village et cela pose un problème qui est en voie d'être résolu. En effet, il a été décidé de déplacer l'Eglise St Denis sur la place du village à l'endroit de la fontaine pour remédier à cette anomalie.

Étymologiquement l'expression "garder l'église au milieu du village", ou la variante "remettre l'église au milieu du village", est assez facile à deviner. Autrefois, les villages étaient construits autour de l'église. Mais sa signification, elle, est plus complexe. Et ce pour une raison toute simple, plusieurs pays francophones utilisent la même expression, mais elle ne traduit pas la même idée.

En France, cette expression est notamment employée en Alsace où elle veut dire faire en sorte que les convenances et les traditions soient respectées. En Suisse, elle veut dire donner tous les détails, toutes les précisions possibles, afin d'expliquer clairement quelque chose à quelqu'un qui ne comprend pas ou ne veut pas comprendre.

Et enfin, en Belgique, le sens est encore différent. Elle signifie garder la tête froide. Faire en sorte qu'il n'y ait pas de conflits ou, s'il y en a, ramener la sérénité.

 


Marchés du jour:

LE JEUDI LE MARCHE EST A

BARGEMON

LES ARCS

LES SALLES

VILLECROZE




A table:

Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88
Plats à emporter

Jeudi : Tagliatelles sauce au choix : poivre, cèpes, trompettes de la mort ou bolognaise 10€
Vendredi : paella 13€
Samedi : Lasagnes 10€
Dimanche : Risotto de poulet au curry
Et tous les jours : Kanibals, Kanibalons, pizza
Livraison sur un rayon de 15km jusqu'à 22 h


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Boulangerie artisanale, pains cuits au feu de bois. Tous nos produits sont faits maison et non pas issus de catalogues de produits surgelés
Tel: 06 16 12 83 42

La boulangerie ouvre le matin de 6h 45 à 13 h du mardi au dimanche inclus

Pendant la fermeture des restaurants: Vente de plats à emporter préparés par FANFAN

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Des évènements lors d'un 01 avril:

 1878 Des mineurs découvrent 29 squelettes d’iguanodons à 322 mètres de profondeur dans une mine de Bernissart en Belgique.

Photo by paleopeter

1921 La Cordillère des Andes est traversée pour la première fois en avion par Adrienne Bolland, une aviatrice française sur son Caudron G3.

Adrienne Bolland, née le  à Arcueil et morte le  à Paris, est une aviatrice et résistante française célèbre pour avoir été la première femme à effectuer la traversée par avion de la Cordillère des Andes.
caudron g3 photo

NOUVELLES REGLES DU CONFINEMENT

 

Déplacements limités partout en France, fermeture des écoles, vaccination...



Les restrictions de déplacement étendues à l'ensemble du territoire

C'est la fin des mesures «localisées». «Plus aucune région n'est épargnée», a assuré le chef de l'État, insistant sur la puissance du variant anglais. En conséquence, la limitation des déplacements en journée, qui concernait depuis le 18 mars 19 départements en zone rouge, va être étendue à l'ensemble du territoire métropolitain. À partir de samedi soir, et pour quatre semaines, il ne sera plus possible de se déplacer dans un périmètre de plus de 10 km, sauf motif impérieux, a annoncé le chef de l'État.

L'attestation ne sera pas nécessaire pour ces déplacements dans un périmètre de 10 km en journée. Pendant les horaires du couvre-feu, de 19h à 6h, ou pour des déplacements dépassant les 10 kilomètres, une attestation sera en revanche exigée.

Une tolérance pour se déplacer pendant le week-end de Pâques

Les Français pourront choisir leur lieu de confinement. Qu'il s'agisse d'un changement de région ou d'un retour en France depuis un pays étranger, une tolérance sera de mise pour les déplacements qui se feront durant ce week-end de Pâques. Les «contrôles et sanctions» seront en revanche «renforcés sur la voie publique pour limiter les rassemblements» et pour «encadrer la consommation d'alcool».

 Les écoles fermées pendant trois semaines, les vacances de printemps unifiées

C'est le retour des cours à distance. Un an après une fermeture inédite des écoles, les établissements scolaires n'accueilleront plus d'élèves la semaine prochaine. Jusqu'au samedi 10 avril, les cours pour les élèves de primaire, collèges et lycées se feront en «distanciel». Les vacances de printemps débuteront ensuite le 12 avril pour une durée de deux semaines pour toutes les zones. Enfin, à partir du 26 avril et pour une semaine, les cours reprendront en «présentiel» à l'école primaire et en maternelle, et à distance dans pour les collégiens et les lycéens. Le 3 mai marquera la réouverture générale des établissements scolaires avec des jauges adaptées.

De leur côté, les étudiants pourront continuer à se rendre à l'université pour une journée par semaine.

Tous les dispositifs maintenus pour les parents qui doivent garder leurs enfants

En conséquence de la fermeture des crèches, écoles, collèges et lycées pendant trois semaines, le chef de l'État a rappelé que les parents concernés qui doivent garder leurs enfants et ne peuvent pas télétravailler «auront droit au chômage partiel». Pour les salariés, commerçants, indépendants, entrepreneurs et entreprises, «tous les dispositifs seront prolongés».

La vaccination étendue aux plus de 50 ans le 15 mai

«Vacciner, vacciner, vacciner sans répit.» Une fois encore, Emmanuel Macron souhaite accélérer sur la vaccination en fixant de nouveaux objectifs : les personnes de plus 60 ans pourront se faire vacciner le 16 avril, celles de plus de 50 ans y auront accès au 15 mai. Enfin, tous les Français qui souhaitent se faire vacciner pourront le faire dès la mi-juin. Une «stratégie spécifique» sera aussi adoptée pour «toutes les professions les plus exposées», comme les enseignants et les forces de l'ordre.

 Des renforts supplémentaires en réanimation

Emmanuel Macron a salué «l'action remarquable de nos soignants, en particulier des équipes de réanimation et de soins critiques», et annoncé qu'ils «sont et seront appuyés dans les prochains jours par des renforts supplémentaires». Le nombre de lits en réanimation, qui a déjà été porté à 7000, devrait atteindre un peu plus de 10.000, a-t-il ajouté.

Tous les commerces non essentiels fermés en France

Conséquence de l'élargissement à tout l'Hexagone des mesures de restriction imposées dans 19 départements, tous «les commerces seront fermés dans tout le territoire métropolitain selon la liste déjà définie», a précisé Emmanuel Macron. Seuls resteront ouverts les commerces considérés comme essentiels.

Le télétravail doit être «systématisé»

Concernant le télétravail, qui «est sans doute la mesure la plus efficace» selon le chef de l'État, il sera «systématisé». «J'appelle tous les travailleurs et employeurs à y avoir recours à chaque fois qu'ils le peuvent», a déclaré Emmanuel Macron.

Culture, bars, restaurants... Une réouverture progressive à partir de la «mi-mai»

Lieux de culture et de sport, bars, restaurants, cafés, commerces… Grâce aux «efforts d'avril» et au «déploiement de la vaccination», Emmanuel Macron souhaite «rouvrir progressivement le pays» à partir de la «mi-mai». «Nous allons bâtir, entre la mi-mai et le début de l'été, un calendrier de réouverture progressive», assorti de «règles strictes», promet-il, afin de «retrouver progressivement une vie normale».