dimanche 14 juin 2020

DIMANCHE 14 JUIN 

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS: Elisée

Elisée, ils aiment le combat pour le plaisir de se mesurer avec quelqu'un mais peu leur importe au fond de gagner ou de perdre. Toujours actifs, ils finissent par être épuisants à force de virevolter sans cesse. Comme ils sont ennemis du mariage et de la vie de famille, leur vie sentimentale se réduit à sa plus simple expression. Ils ne veulent pas d'entraves par peur de perdre leur liberté.

Le saint du jour est à vrai dire peu chrétien. C'est un prophète hébreu qui hérita d'Élie ses pouvoirs surnaturels. Il vécut 9 siècles avant Jésus-Christ.

Célébrations & évenements du jour
. Journée mondiale du Don de sang.

DICTON DU JOUR: À Saint-Rufin, cerises à plein jardin.

CITATION DU JOUR: Quand j'étais jeune, on me disait : "Vous verrez quand vous aurez cinquante ans". J'ai cinquante ans, et je n'ai rien vu.Erik Satie.

DESSIN OU HISTOIRE DU JOUR:




Sentier dans la réserve naturelle du Zingaro, Italie


C'est un endroit grandiose que la Sicile a choisi pour fonder sa première réserve naturelle en 1981. La Riserva Naturale dello Zingaro (réserve naturelle du Zingaro) est un paysage de falaises abruptes se terminant par les eaux bleues limpides du Golfe de Castellammare. Un certain nombre de criques sont creusées dans le littoral, et quelques-unes offrent des plages petites, mais splendides. Des chemins sur des falaises escarpées mènent au littoral, et lorsque la météo est chaude et que la journée est claire, le parfum des fleurs sauvages se mélange à l'air marin et un soleil sicilien scintille sur la grande baie. En plus d'être une réserve naturelle, Zingaro abrite l'un des premiers villages de Sicile : la Grotta dell'Uzzo, où les humains paléolithiques vivaient il y a plus de 10 000 ans.

MARCHES DU JOUR:

PAROISSE FLAYOSC-AMPUS:

Pour voir les offices dans les environs cliquez sur la page d'accueil " Paroisse Flayosc-Ampus

Eglise St Laurent FLAYOSC
Eglise St Michel Ampus

Eglise Saint Laurent FLAYOSC: Père Daniel NTIGULIRWA: Tél:  04 89 90 53 64.
Messe les samedi à 18h et le dimanche à 11h.
En semaine: Lundi, mercredi jeudi à 9h. 
Mardi et vendredi à 18h.
Dernier vendredi du mois à la maison des Restanques à 17h30. 

Eglise Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.
Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.

Notre Dame de Spéluque AMPUS: Tous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

CA S'EST PASSE UN 14 JUIN:

14 juin 1994
: Décès de Marcel Mouloudji, 71 ans


Marcel Mouloudji est un chanteur, auteur-compositeur-interprète, peintre et acteur français, né le à Paris 4ème et mort le à Neuilly-sur-Seine.

Ses chansons, tour à tour engagées et sentimentales, évoquent l'amour, la guerre, la nostalgie entre tristesse et solitude. Il a notamment interprété des poètes tels que Boris Vian, Louis Aragon et Philippe Pauletto. 

14 juin 1830 : Les Français débarquent en Algérie

Le 14 juin 1830, les troupes françaises débarquent sur la plage de Sidi Ferruch, à 25 km d'Alger...

14 juin 1791 : Le Chapelier interdit les associations professionnelles

Le 14 juin 1791, dans un souci de cohérence avec le décret d'Allarde qui proclame la liberté d'entreprendre et interdit les corporations, l'Assemblée constituante française interdit la reconstitution de toute association professionnelle tant de patrons que de salariés. L'article second de la loi du député Isaac Le Chapelier énonce : « Les citoyens d'un même état ou profession, les entrepreneurs, ceux qui ont boutique ouverte ne pourront, lorsqu'ils se trouveront ensemble, se nommer ni présidents, ni secrétaires, ni syndics, tenir des registres, prendre des arrêtés ou délibération, former des règlements sur leurs prétendus intérêts communs ».
Cette loi révolutionnaire est bienvenue à l'origine car elle met fin aux dérives corporatistes de l'Ancien Régime : protection des nantis, entraves à l'épanouissement professionnel des ouvriers et compagnons. Mais au XIXe siècle, par un effet pervers, elle entravera la création de syndicats. Elle sera pour cette raison abolie sous la IIIe République, le 21 mars 1884.

14 juin 1873 : Schliemann découvre le Trésor de Priam

Le 14 juin 1873, l'archéologue amateur Heinrich Schliemann et sa jeune femme découvrent un fabuleux trésor sur le site de la colline d'Hissarlik, en Turquie, qu'ils auront vite fait d'attribuer à Priam, le roi de Troie, selon Homère, l'auteur de L'Iliade.

ACTIVITES A AMPUS ET DANS LES ENVIRONS:

BROCANTES ET VIDE-GRENIERS


Les Arcs (83) : Vide-grenier et Brocante : le port du masque est recommandé 

Montauroux (83) : Vide-greniers à côté du collège Léonard de Vinci 

Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83) : Cave de Cantarelle Vide Grenier Brocante tous les dimanches. 

Draguignan (83) : Vide grenier,Marché aux puces,Brocante 

Flassans-sur-Issole (83) : Vide Grenier, Marché aux Puces, Brocante

 Vide-greniers et marché aux puces    ANNULÉE

Fréjus (83) : Vide-Grenier, Brocante, marché 

Hyères (83) : Puces St Nicolas 

Hyères (83) : les bonnes puces 


** le dimanche 14 juin : Brocante 


C’est la première rencontre avec les chineurs venus de tous les horizons : outils anciens, vaisselle, livres, faïences, bronzes, chandeliers, lampes à huile...
Pour l’apéro de midi, sur la place de TOURTOUR, animation musicale avec Rukya et Adrien.

 

L'AFFAIRE ADAMA TRAORE INSTRUMENTALISEE ET MANIFESTATIONS DES POLICIERS




Comment l’affaire Adama Traoré est-elle instrumentalisée ?
L’opinion de Nicolas Beytout 

La famille Traoré et le comité «La vérité pour Adama» appellent à de nouvelles manifestations demain.

Et c’est peu dire qu’elles seront scrutées de près. Emmanuel Macron, en particulier, devra en tenir compte dans la préparation de sa déclaration à la Nation, dimanche soir.
Ce sera la première fois qu’il s’exprime sur le sujet en public.
Il s’était jusqu’ici seulement exprimé à huis clos. Comme tous, le chef de l’État a vu que le mouvement, pourtant vieux de quatre ans, avait été relancé par les conditions de la mort atroce de George Floyd aux États-Unis. Et même si les situations, les pays et les circonstances n’ont rien à voir, le piège est là. Ou plutôt, les pièges sont là. Le premier, ce serait de ne pas comprendre que c’est un mouvement de jeunes. Emmanuel Macron a conscience qu’il leur a beaucoup demandé (être privés de liberté, arriver sur un marché du travail dévasté et se retrouver face à une montagne de dettes, tout ça pour sauver des vieux, comme le dit crûment un de ses proches). Alors, ne pas comprendre qu’ils peuvent adopter cette cause en masse, comme ils ont adopté celle de la planète, ce serait de l’aveuglement. Prudence, donc.
Mais il y a plusieurs pièges ?
Le sujet des forces de l’ordre, par exemple. Elles sont à cran et se retrouvent trop souvent dans la position du coupable. C’est à lui, Président, de rétablir la réalité et de rappeler que ce sont souvent, eux, policiers, gendarmes, pompiers, la cible de la violence. Ils doivent être exemplaires, certes, mais attention à ne pas inverser les rôles. Et puis il y a le piège le plus redoutable : celui qui est armé par ceux qui se servent de la race dans un but politique.
Ceux qui veulent déboulonner les statues ?
Entre autres, oui. En fait, c’est un mouvement qui se répand progressivement et insidieusement. Son objectif est d’inverser la charge de la preuve. Obliger les Blancs à se justifier de l’être. Ou au moins à s’excuser de ce que les minorités ont vécu ou vivent. Il y a les tentatives light : celles qui consistent à réécrire l’histoire, à en faire sortir ceux qui (selon les critères d’aujourd’hui) ont eu dans un lointain passé une attitude raciste. À ce compte-là, Colbert et son Code noir, Churchill, le roi Léoplold II en Belgique, sont coupables. Et puis il y a plus grave, ceux qui veulent fracturer la société, en exacerbant le communautarisme jusqu’à la sécession, une escalade qui peut mener à l’affrontement entre groupes.
Comment est-ce que le chef de l’État peut traiter cette menace ?
C’est difficile parce que c’est un sujet qui puise son carburant dans l’histoire coloniale française, et dans la guerre d’Algérie. L’Élysée sait que le sujet n’a jamais été traité, qu’il nécessite un travail de conviction et d’histoire considérable. Il sait aussi que ça prendra du temps. Mais que dans ces affaires largement instrumentalisées, comme l’affaire Traoré, ce temps n’existe pas.

C’est difficile parce que c’est un sujet qui puise son carburant dans l’histoire coloniale française, et dans la guerre d’Algérie. L’Élysée sait que le sujet n’a jamais été traité, qu’il nécessite un travail de conviction et d’histoire considérable. Il sait aussi que ça prendra du temps. Mais que dans ces affaires largement instrumentalisées, comme l’affaire Traoré, ce temps n’existe pas.



Manifestation nocturne de policiers devant l'Arc de Triomphe

Par Le Figaro avec AFP
 Cette manifestation surprise s'est déroulée à l'issue d'une nouvelle journée de manifestations contre les «violences policières» et la veille d'une allocution d'Emmanuel Macron
Plusieurs dizaines de policiers se sont réunis samedi soir 13 juin autour de minuit devant l'Arc de Triomphe avec voitures et gyrophares pour manifester une nouvelle fois leur mécontentement après les annonces de Christophe Castaner.
Cette manifestation surprise, à l'appel de la Bac de nuit de Paris, selon un des participants, et pendant laquelle les policiers ont entonné la Marseillaise et jeté à terre des menottes, se déroulait à l'issue d'une nouvelle journée de manifestations contre les «violences policières» et la veille d'une allocution du président Emmanuel Macron.
«Nous attendions du ministre un geste de soutien et on a l'impression qu'il lâche les forces de l'ordre», a expliqué à la presse un policier manifestant en tenue. «Mes collègues se sont sentis lâchés, abandonnés par leur ministre de tutelle», a renchérir auprès de Brut Yoann Maras, délégué syndical Alliance qui était sur place.
Vendredi, ce sont les syndicats de police qui ont descendu les Champs-Elysées pour exprimer leur colère et réclamer d'être reçus par Emmanuel Macron. «Si le Président de la République ne réaffirme pas un soutien plein et entier à la police nationale (...), il va falloir s'attendre à ce que le mouvement prenne de l'ampleur avec des actions et manifestations de policiers», selon Yoann Maras.
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, a reçu vendredi les syndicats policiers très remontés depuis ses annonces lundi, notamment sur la fin de l'utilisation de la technique d'interpellation dite «d'étranglement».
Devant les syndicalistes, Christophe Castaner avait reconnu en outre «une connerie», «une maladresse» de langage quand il a annoncé lundi la suspension de tout fonctionnaire en cas de «soupçon avéré» de racisme selon les syndicalistes. «Il y a une cassure créée par le ministre de l'Intérieur, il va devoir regagner la confiance de sa police. Cela va devoir passer par des discours forts et des garanties mais changer de ministre de l'Intérieur, si on reste sur la même doctrine, ça ne fera pas avancer le débat», a dit Yoann Maras.
Samedi, des milliers de personnes ont manifesté en France contre les violences policières.