mercredi 22 janvier 2020

MERCREDI 22 JANVIER

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS: Vincent, Valère, Barnard, Ladislas, Laure, Laurie, Laora, Laura;

Les Vincent sont le calme, la tendresse, la joie de vivre et la confiance. On leur reproche brusquerie et maladresse là où il n'y a que timidité, sensibilité et spontanéité. Car les Vincent ont ces rares qualités de bonté naturelle et de constante disponibilité pour autrui. Ils savent écouter et deviner les autres. Ils sont de précieux compagnons.


Saint-Patron et intercesseur du jour Saint Vincent de Saragosse patron des vignerons et des vinaigriers. 

C'est sa fête : Vincent


Saint Vincent, manuscrit médiévalArchidiacre de l'évêque de Saragosse au IIIe siècle, le saint du jour a été torturé et tué par le gouverneur romain de la ville pendant la grande persécution de Dioclétien (304). L'abbatiale de Saint-Germain-des-Prés, à Paris, lui a été consacrée le 23 avril 558.

Est-ce parce qu'il serait mort sur une roue de pressoir, ou parce que son nom comporte le mot « vin » qu'il fut choisi pour protéger les professionnels de la vigne ? On ne sait...

Toujours est-il que, depuis le Moyen Âge, il est sollicité et fêté par les vignerons, de la Champagne à l'Espagne en passant par la Bourgogne et le Bordelais, dans des défilés organisés tous les ans dans la bonne humeur par les différentes confréries locales avec cette prière : « Saint Vincent, patron des vignerons, obtiens-nous l'abondance des récoltes ! ».

« À la fête de la saint Vincent, si le soleil brille
Souviens-toi, alors prépare un grand récipient
Car la vigne te donnera des grappes de raisin »
.

DICTON DU JOUR: A la Saint Vincent cesse la pluie et vient le vent.

CITATION DU JOUR: La fatalité, c'est ce que nous voulons.
Romain Rolland.

DESSIN OU HISTOIRE DU JOUR:




MARCHES DU JOUR:


CA S'EST PASSE UN 22 JANVIER:


22 janvier 1905 : Funérailles de Louise Michel



Louise Michel, anarchiste et militante active de l'extrême-gauche, est morte le 9 janvier précédent à Marseille, victime d'un coup de froid. Ses funérailles rassemblent une foule de plusieurs milliers de personnes à Paris, le dimanche 22 janvier 1905... le même jour que la première révolution russe.

22 janvier 1963 : Traité d'amitié franco-allemand ou traité de l'Élysée


Le 22 janvier 1963, le traité d'amitié franco-allemand de l'Élysée, à Paris, consacre le rapprochement des deux anciens ennemis. Il est signé par le général de Gaulle, président de la République française, et le chancelier allemand Konrad Adenauer, qui, l'un et l'autre, partagent les mêmes convictions.
Mais le traité est vidé de son contenu par le préambule unilatéralement voté par le Bundestag le 15 juin 1963 : les députés allemands réaffirment à cette occasion leur lien avec les États-Unis et le Royaume-Uni, à la grande colère de De Gaulle, qui voit réduite à néant son aspiration à une Europe indépendante... 


ACTIVITES A AMPUS ET DANS LES ENVIRONS:

CHATEAUDOUBLE:

Lei Gimerri vous propose une superbe balade découverte et santé pédestre gratuite dans nos fabuleuses gorges de Châteaudouble.
Le dimanche 16 février départ 10h: parking du jeux de boules direction les avals pour remonter sur la roche trouée et pose déjeuner au cabanon de Rossi.
(Amener votre sandwich et boissons)
Puis retour vers le cabanon de cigalou et visite d'une magnifique Borie et retour vers le village par le canal de Tense, le lac de Malagrassi.
(Durée environ 4h)
Les fêtes sont passées, une nouvelle année commence, pensez à faire du sport pour vôtre santé.
L'équipe Lei Gimerri


LA FRANCE PART EN VRILLE





L’impression est affolante. Cette certitude que plus rien n’est sous contrôle, que des pans entiers de la société s’affrontent les uns les autres, cette évidence que de deux France ennemies depuis 1789, nous sommes passés à une galaxie de micro-France qui se détestent les unes les autres.
Il y a urgence. Extrême urgence. Il faut recoudre tout ce qui se déchire.
Twitter, voulu objet de communication, est devenu le réceptacle de toutes les haines, un sorte d’égout des déjections de la société, un endroit où s’arrête toute pensée construite, un défouloir, un crachoir, où la médiocrité s’ajoute à la bêtise, l’idiotie à l’inculture. Je serais @jack, j’aurais honte.
Les églises partout en France prennent feu les unes après les autres. Comme si le christianisme, moribond sous nos contrées, représentait encore quelque chose pour ses ennemis.
Les Gilets jaunes ne sont peut-être plus massivement dans la rue, mais la détestation du peuple pour le pouvoir ne fait qu’aller grandissant. Il est certain que si le Président de la république tombait dans les mains de manifestants, il n’en ressortirait pas vivant. Est-ce une situation normale ?
Nous le répétons sans cesse : rien de bon ne peut émerger d’un tel niveau de haine.
Ce week-end, des pèlerins normands qui partaient vers Pontmain, lieu d’apparition de la Vierge en Mayenne, ont été violemment pris à partie (enfants y compris), par des manifestants cagoulés : vraisemblablement l’extrême gauche s’en prenant à des catholiques. Est-ce normal ?
Tout est désormais devenu sujet à affrontement. Entre les éternels offusqués, les agressifs permanents qui n’apprécient jamais rien, les associations qui font leur beurre contre la liberté d’expression, la radio d’État qui se délecte de heurter le plus possible les Français – en utilisant leur argent -, rien n’est plus paisible.
À la lecture même du présent article, il est certains que des lecteurs auront la gâchette rapide pour dénoncer “mais enfin, tout ça est de la faute de…” ajoutant en fin de phrase celui ou ceux qui leur déplaît.
Ce n’est pas ainsi qu’on résout les problèmes d’un pays.
Les problèmes sont bien réels, et les Gilets jaunes ne sont pas apparus sans raison. Les manifestations contre la réforme des retraites ne sont pas que le fait de syndicats qui y voient une opportunité pour se refaire une santé. Non, une partie du peuple est bel et bien dans la rue.
Alors quoi ? Ajouter les haines aux haines n’a jamais rien permis de construire. C’est par une action positive et des démarches positives que l’on peut remettre le pays sur les rails. Interrogez autour de vous ceux qui ont eu le malheur de connaître l’une des guerres civiles récentes – l’ex-Yougoslavie, par exemple. Écoutez leurs témoignages. Vous serez alors convaincus que l’affrontement n’est jamais une solution à espérer, mais toujours à redouter.
Nous, ici, continuerons de mettre en valeur ce qui rassemble. Et vous ?