mercredi 15 juillet 2020

MERCREDI 15 JUILLET 

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS: Donald, Bonaventure, Donovan.

Plutôt du genre irresponsable les Donald prennent la vie du bon côté, sans vraiment se soucier des autres. Refusant la réalité, ils se retrouvent souvent dans des situations périlleuses. En amour, les sentiments n'ont pas vraiment d'importance, pourvu qu'ils soient heureux!.

DICTON DU JOUR: 
Si la saint Jacques est serein, l'hiver sera dur et chagrin.

CITATION DU JOUR: 
Soyez assez modeste pour ne pas entreprendre ce qui dépasse vos forces. "Ce n'est pas la charge, mais l'excès de charge qui tue la bête".
Cervantès.

DESSIN OU HISTOIRE DU JOUR:



LES PHOTOS DE MARIA PELISSIER:




SUR NOS ECRANS CETTE SEMAINE:



SEMAINE DU 15 JUILLET AU 21 JUILLET

Pour accéder au site: cliquez sur le lien ci après:



MARCHES DU JOUR:

A TABLE!



Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88

Du 1 juillet et jusqu’au 31 août, Le Labo de Frédo sera ouvert tous les jours uniquement le soir à partir de 19h
Livraison et à emporter de 19 à 23h
Sur place avec mise à disposition d une table de 19 à 23h
Toujours sa carte de 19 pizzas
Plats spéciaux sur commande : Ravioli, gnocchi, tagliatelles, risotto .

 CA S'EST PASSE UN 15 JUILLET:


15 juillet 1801 : Bonaparte et Pie VII signent le Concordat


Le 15 juillet 1801, Napoléon Bonaparte et Pie VII signent le Concordat et mettent fin à dix ans de guerres civiles et religieuses.

15 juillet 1914 : La France adopte l'impôt sur le revenu

Le président de la République Raymond Poincaré obtient de la majorité parlementaire, hostile à la guerre, qu'elle renonce à abroger la loi du 19 juillet 1913 prolongeant le service militaire à trois ans.
En échange, il lui concède l'impôt progressif sur le revenu. Il est adopté par la Chambre des députés le 15 juillet 1914...

Naissance de Rembrandt

15 juillet 1606 à Leyde (Hollande) - 4 octobre 1669 à Amsterdam (Hollande)
Biographie  Rembrandt
Rembrandt Harmenszoon van Rijn, né à Leyde (Hollande) dans une famille de meuniers, connaît le succès dès 1632 avec La leçon d'anatomie, un tableau de groupe, le premier qu'il signe de son prénom, Rembrandt. La bourgeoisie des Provinces-Unies se bouscule dans son atelier de peinture et de gravure...






ACTIVITES A AMPUS ET DANS LES ENVIRONS:


SALON DES ANTIQUAIRES A FAYENCES DU 11 AU 19 JUILLET

Le Salon des Antiquaires de Fayence se déroule dans le Grand Jardin d’une bastide provençale du XIX° siècle qui fut la propriété d’un noble. De nos jours, elle a été complètement restaurée par Michel Allongue, organisateur et antiquaire depuis plus de 25 ans.




Les grottes troglodytiques : un peu d'histoire...



Formées il y a 700 000 ans à la fin de la dernière période glaciaire locale, les grottes sont le résultat d'une lente calcification de végétaux et de mousses par une immense cascade, riche en calcaire, qui recouvrait l'ensemble de la falaise actuelle.
La roche ainsi formée, du tuf, résulte donc de la fossilisation de ces végétaux.
Les grottes ainsi qu'une grande partie des champs autour du village appartenaient aux moines bénédictins de l'abbaye Saint-Victor de Marseille. Ils possédaient un prieuré alors installé à proximité de la chapelle Saint-Victor (attenante au cimetière actuel) et se servaient des grottes, encore dans leur état naturel, comme lieux de refuge en cas de razzias menées par les Sarrasins au Xème siècle.
Ils échangèrent ensuite les grottes avec le seigneur de la vallée Nicolas d'Albertas. En 1566, celui-ci entreprit des travaux afin de fortifier le site et d'utiliser sa position imprenable. Cependant, il n'y a jamais eu de siège et personne n'a jamais vécu en permanence dans les grottes.
En 1633, elles ont été cédées à la commune et en demeurent sa propriété. Elles ont été classées en 1924 au titre des Sites et Monuments Naturels à caractère artistique car elles allient deux critères : l'histoire et la géologie. Elles font partie des Sites naturels classés de France.

LA REPENTANCE UNILATERALE CA SUFFIT!


La repentance unilatérale, ça suffit !
Par 


Depuis le déconfinement, c’est le grand défoulement.

Les deux roues déferlent dans la cité, terrorisant les piétons. Les sans-papiers (immigrés illégaux) manifestent impunément au grand jour et dans l’illégalité. Les racailles prétendent imposer leurs lois hors de leurs quartiers et désarmer police et gendarmerie. Faute de place ou pour des raisons obscures d’insalubrité, les criminels sont remis en liberté par milliers. Pour un oui ou pour un non des chauffeurs de bus, des jeunes sont tabassés à mort, etc.
On pouvait espérer avoir touché le fond de l’inversion des valeurs et du laxisme idéologique. Erreur ! C’était sans compter sur les manipulateurs de l’anti-France : Il restait le négationnisme historique, c’est-à-dire la négation des faits au service d’idéologies destructrices de notre civilisation. C’est fait.
À peine ceints de leur écharpe tricolore, de nouveaux élus pastèque (vert dehors, rouge dedans), ont trouvé intelligent d’emboîter le pas aux mouvements américains. Ils trouvent indispensables, nécessaires à la repentance collective, inaugurée par Jacques Chirac et continuée par ses successeurs, que nous nous frappions la coulpe en permanence et que nous mettions un terme à l’exploitation des minorités noires supposées discriminées. Et de dresser un tribunal de l’Histoire. Le crime ? Le colonialisme et l’esclavagisme. Les coupables ? Les abominables blancs français (les Anglais et les Belges n’ont pourtant pas été en reste), ces commerçants bordelais ou nantais, ces Colbert (dont le code noir était perçu comme un progrès social par rapport à rien), ces Voltaire, ces Joséphine de Beauharnais, ces Jaurès exploiteurs de la misère humaine. Il faut déboulonner leurs statues, changer le nom des rues, jeter leurs cendres à la mer. Bref ces nouveaux Fouquier-Tinville veulent faire justice du passé.
La repentance unilatérale en France, ça suffit ! Quels sont les états africains, quels sont les états musulmans, quels sont les gouvernements d’Algérie ou d’ailleurs qui ont condamné l’esclavage que leurs ancêtres ont pratiqué pendant des millénaires ? Quid de la traite négrière transsaharienne des Arabes ? Quid de ces millions d’hommes noirs ou blancs châtrés, de ces femmes blanches enfermées dans les harems ? Le port d’Alger était encore au XIX° siècle un repaire d’esclavagistes musulmans. L’île de Gorée au Sénégal s’est érigée en un mausolée anticolonialiste à la mémoire de ces millions de malheureux achetés par les européens. Sauf qu’il n’y est pas inscrit en lettres capitales que ces pauvres Noirs ont été vendus par leurs frères et que les européens n’ont fait qu’exploiter la mine. Ils ne l’ont pas créée ! Au contraire, ils ont été les premiers (les Français en 1794 et 1848, les Anglais en 1815) à abolir et à interdire la traite des êtres humains.
Que des racailles, qui n’ont fait que de courts et inutiles séjours à l’école, soient ignares de l’histoire de leurs parents et de l’histoire tout court est tristement affligeant, mais se comprend. Que les journalistes, les politiques leur emboitent le pas est sidérant. La situation actuelle illustre la dérive et la faillite de l’école laïque et républicaine depuis Mai 68. Qui osera reprendre en mains cette école et l’obliger à des résultats autres que des examens de complaisance ? L’avenir de notre culture et de notre civilisation est en jeu.