lundi 26 juillet 2021

.

AVIS DE DECES

Nous vous faisons part du décès de 

Bernadette MICHEL née LEON

à l'âge de 86 ans

Les obsèques seront célébrées le mardi 27 juillet à 14h en l'église Saint Michel d'Ampus.

Pour précision: Bernadette MICHEL est l'épouse de Maurice MICHEL qui nous a quitté en juin 2019.

Lundi 26 juillet

Aujourd'hui nous fêtons:  Anne, Joachim

Les Anne sont des femmes auxquelles on peut faire confiance et sur lesquelles, souvent, l'on se repose. Dotées de grandes qualités de gestion, elles sont par ailleurs travailleuses, courageuses. Leur patience peut être mise à rude épreuve, elles tiennent bon. Ce sont par ailleurs des mères de famille exemplaires.

C'est leur fête : Joachim et Anne

Joachim et Anne sont les parents de la Vierge Marie. Le culte de Sainte Anne a été particulièrement développé par les Bretons dont elle est la patronne.

Chaque année, plusieurs dizaines de milliers d'entre eux se retrouvent avec bannières et costumes anciens au pèlerinage de Sainte-Anne-d'Auray.

Sainte Anne et Saint Joachim (1er siècle avant Jésus-Christ) Seuls les évangiles apocryphes évoquent Anne et Joachim, parents de la Vierge Marie. Entre 1623 et 1625, un laboureur breton découvre à Auray (Morbihan) une statue d'Anne enfouie qui lui demande de lui construire une chapelle. C'est l'origine de la basilique de Sainte Anne d'Auray, haut lieu de pèlerinage de la Bretagne.

Dicton du jour: S'il pleut à la Sainte-Anne, il pleut un mois et une semaine.

Citation du jour: Celui qui aime l'étude est bien près de la science morale.

Confucius.

La photo du jour par Virginie MICHEL:

LE PONT DES TUVES A MONTAUROUX

 ACCÈS
Depuis le village, prendre la direction du stade municipal du Défens, chemin du stade.
Tout au bout, garer sa voiture aux abords du stade.

> POINT DE DÉPART
Coordonnées GPS : 43.633227, 6.782144
Parking du stade de Montauroux

> ITINÉRAIRE
Se diriger vers la piste qui prolonge la route jusqu’à la citerne puis prendre le sentier à droite. Descendre le sentier en pente (assez fort) pour arriver
sur une piste plutôt large.

Il est possible, après la citerne, de prolonger la piste à gauche pour découvrir le sanctuaire des vieux chênes centenaires.

Après 400m, prendre la bifurcation à droite, retrouver le balisage bleu et jaune. Revenir ensuite sur ses pas jusqu’à la citerne.

Ensuite, prendre à gauche et se laisser guider par un sentier en descente. Passer devant un vieux moulin en ruine ainsi qu’une petite grotte, et découvrir le Pont des Tuves. Au bout du pont, admirer une jolie petite cascade.

Au retour, pour un moment baignade, prendre la piste sur la droite et accéder à une plage de galets. Du pont, pour retourner au stade, suivre le même chemin emprunté à l’aller.

Il est aussi possible de poursuivre le chemin par la gauche et longer la Siagne
jusqu’à une intersection. Tourner à droite, un sentier s’élève le long d’un vallon boisé et rejoint la route goudronnée qui mène au barrage. Suivre la montée à droite sur 150m. Se diriger de nouveau vers la droite pour atteindre un sentier
débouchant sur la route du Stade. Suivre cette route et rejoindre le parking. Variante de 1,5 km.

> Attention !
Descente raide pendant 30 min.
Prudence à proximité de la cascade et des rives par temps de pluie ou suite à un orage. Montée raide et caillouteuse de 5 à 6 m.

Dessin ou histoire du jour:

La discussion sur le Pass sanitaire à l’Assemblée nationale aura permis, je l’espère, d’éclairer tous ceux qui pensaient qu’il n’y avait aucune inquiétude à avoir sur ce dispositif.
Il y a deux mois, le Président de la République affirmait que « le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. » Qu’est devenu cet engagement ? Deux mois plus tard, une majorité présidentielle bien isolée, et bien silencieuse, a voté un dispositif manifestement démesuré : il faudra non seulement un pass sanitaire pour entrer dans un café ou un restaurant, mais celui qui ne s’enregistrera pas auprès de l’établissement, de manière digitale ou par écrit, sera passible d’un an de prison et de 15000 euros d’amende. L’absence de pass sanitaire d’un salarié justifiera la suspension du salaire pour deux mois, puis le licenciement. Plus dramatique encore, si c’est possible : l’accès à l’hôpital, sauf cas d’urgence, sera interdit sans pass sanitaire. Un amendement du député (LR) Philippe Benassaya avait été adopté, montrant que la majorité elle-même s’inquiétait d’une disposition aussi grave ; le gouvernement a exigé un second vote sur le sujet pour rétablir cette contrainte. Demain, on interdira à une personne sans pass sanitaire de visiter un parent malade ou mourant à l’hôpital. Les représentants des personnels soignants, ce matin, disaient leur inquiétude devant les situations inhumaines auxquelles une telle contrainte les exposera… Les accusera-t-on eux aussi de mépriser la santé des Français, ou la lutte contre l’épidémie, eux qui sont pourtant en première ligne depuis des mois ?
Ayant suivi comme beaucoup ce difficile débat à l’Assemblée, je voudrais dire ma reconnaissance envers les élus qui, malgré le rythme absurde qui leur était imposé, ont travaillé sans relâche pour tenter d’éviter les pires dérives, et témoigner de l’inquiétude que nous partageons, en particulier les très nombreux députés LR mobilisés pour cela, mais aussi des parlementaires de tous les autres groupes politiques. Ces longues heures de débat ont hélas pleinement justifié l’alerte que nous lancions, avec le sénateur Loïc Hervé, au lendemain des annonces présidentielles. Ce texte a suscité bien des réactions, et je voudrais vous remercier de tout cœur pour les très nombreux messages reçus ; certains ont été plus critiques, ce qui est parfaitement normal. Les messages insultants ou caricaturaux ne valent pas qu’on s’y arrête un instant ; en revanche, je reviendrai bientôt de façon plus approfondie sur les objections qui nous ont été adressées, et dont beaucoup témoignent, me semble-t-il, du fait que la nature du basculement qui se joue n’est pas encore pleinement perçue. Vous pouvez compter sur moi pour poursuivre notre engagement sur ce sujet. D’ici là, souhaitons bon courage aux sénateurs pour la discussion qu’ils engagent aujourd’hui.





Des manifestations Anti-Pass ont lieu ce samedi dans toute la France.
Ici à Draguignan devant la permanence de notre Député qui commence sa campagne de 2022 en visitant les villages de la circonscription mais qui n'a pas voté à l'assemblée sur la loi pass sanitaire.
Etait-il absent comme de nombreux députés? S'est-il défilé pour ne pas avoir rendre publique son opinion? A-t-il simplement écouté la rue qui gronde?

DRAGUIGNAN 24 JUILLET 2021

Photos transmises par un Ampusien participant à la manifestation. Merci pour son envoi.

Marchés du jour:

 LE LUNDI LE MARCHE EST A

FLAYOSC

Des évènements lors d'un 26 juillet:


26 juillet 1925:Création en France des chambres de métiers.

La naissance des chambres de métiers

La loi portant création des chambres de métiers est votée le 26 juillet 1925, à l’initiative du député Joseph Courtier. Il s’agit « de donner aux professions des organes leur permettant d’exprimer officiellement leur avis sur les sujets qui les concernent ».

Le décret d’application de cette loi est publié le 14 avril 1928. Le 31 décembre 1929, les deux premières chambres de métiers, sont créées. Il s’agit de celles de la Haute-Marne et de la Seine Inférieure, créations suivies de nombreuses autres au long des années trente.

 

De l’APCMF…

La loi du 26 juillet 1925 prévoit la faculté pour les chambres de métiers de « provoquer, par l’entremise de leurs présidents, une entente sur les objets rentrant dans leur attributions ».

De cette disposition naît l’Assemblée des Présidents des Chambres de Métiers de France (APCMF). Elle tient sa  première réunion officielle les 15 et 16 octobre 1931 en présence des huit présidents des chambres de métiers existantes.

Au fil des ans,  cette assemblée chargée de coordonner l’activité des chambres locales devient  un organe  vivant de synthèse des vœux et des aspirations des chambres.

 

… à l’APCMA

L’APCMF, telle qu’instituée par la loi de 1925, n’avait pas de caractère juridique défini. En 1966, par décret du 7 mars, l’Association des Présidents des Chambres de Métiers de France devient l’Assemblée Permanente des Chambres de Métiers avec un statut  d’établissement public.

L’APCM, contrairement à l’APCMF représentative de personnes physiques, les présidents, devient représentative de personnes morales, les chambres de métiers. L’APCM est dotée de ressources propres provenant d’une contribution obligatoire des chambres.

En 2010, l’article 25 du décret n° 2010-1356 du 11 novembre précise que « dans toutes les dispositions à caractère réglementaire, les mots : assemblée permanente des chambres de métiers (APCM) sont remplacés par les mots : assemblée permanente des chambres de métiers et de l'artisanat (APCMA) ».

 

L’APCMA  remplit des missions de service public, elle est placée sous la tutelle du ministre chargé de l’artisanat.

 

En 2019, un nouveau décret permet son changement de nom en CMA France.


26 juillet 1953 : Fidel Castro attaque la caserne de la Moncada

En vue de renverser le dicateur Batista, le jeune Fidel Castro (25 ans) attaque le 26 juillet 1953 la caserne de Moncada, à Santiago-de-Cuba ! Arrêté, il est condamné à 15 ans de prison.

Libéré dès 1954 à la faveur d'une amnistie, il se réfugie au Mexique où il fonde le « Mouvement du 26 juillet ». Le 26 juillet deviendra fête nationale à Cuba, après le retour clandestin de Castro à Cuba sur le Granma et sa prise de pouvoir.

26 juillet 1956:Nasser nationalise le canal de Suez

Le 26 juillet 1956, le président égyptien Gamal Abel-Nasser, qui a le soutien des Soviétiques, annonce à la foule sa décision de nationaliser le canal de Suez et les biens de la compagnie du canal, une société franco-britannique.

Il accompagne sa déclaration d'un retentissant éclat de rire, retransmis en direct par toutes les radios du monde arabe.

Naissance d'une idole arabe et tiers-mondiste

Les Britanniques et les Français décident de réagir et de répondre à la menace que fait peser, sur leurs intérêts dans la région, ce coup de force égyptien.

Dans cette optique, ils vont trouver un allié de poids dans la région. Il s'agit d'Israël qui craint également la montée en puissance de son voisin égyptien extrêmement menaçant. Persuadé de leur bon droit, Guy Mollet et Sir Anthony Eden, respectivement chefs de gouvernements de la France et de l'Angleterre, proclament qu'ils ne céderont donc pas à l'intimidation.

Les deux pays mènent une opération conjointe avec Israël et rassemblent plus de 60 000 hommes, 300 avions de combats et 6 porte-avions afin de mettre au pas le leader égyptien.

Après des premières opérations militaires victorieuses, les trois pays sont contraints de se replier sous la pression de l'URSS et des États-Unis. Il s'agit là d'une humiliation cinglante pour les deux anciennes grandes puissances, soumises aux injonctions des deux nouveaux géants, américain et soviétique, soucieux de protéger leurs propres intérêts et d'éviter une conflagration militaire généralisée


26 juillet 2016: Solar Impulse 2, l’avion solaire à moteurs électriques, termine son tour du monde débuté le 24 juillet précédent.
Cette année, Solar Impulse fête le 5e anniversaire de son tour du monde alimenté par l'énergie solaire, et pour célébrer cela, Bertrand Piccard et André Borschberg ont volé ensemble dans un nouvel avion électrique à application commerciale : le Bristell Energic. Fabriqué par BRM Aero, il produit zéro émission et est équipé de systèmes de propulsion et de gestion des batteries conçus par H55. Ce spin-off technologique de Solar Impulse est né après le tour du monde grâce à André Borschberg et deux collègues, et sera commercialisé à la fin de 2022 comme l'indique le communiqué de presse de Solar Impulse.


PASSE SANITAIRE: UNE HYSTERIE CALCULEE?

 


Passe sanitaire: une hystérie calculée?


crainte d'une épidémie de restrictions des libertés publiques
-23 juillet 2021

Par une majorité de 117 voix contre 86, nos députés ont voté ce matin un texte gouvernemental mettant en place le passe sanitaire et la vaccination obligatoire des soignants. De quoi faire craindre à notre contributeur Gabriel Robin une épidémie de restrictions des libertés publiques, alors que la perspective d’une sortie de crise sanitaire cet été s’éloigne.

« Si le virus pouvait nous regarder, je pense que ce soir, il serait assez content et il se servirait une petite bière », a affirmé Olivier Véran à l’Assemblée nationale lors des débats relatifs à l’examen du projet d’établissement d’un passeport sanitaire. Entre déclarations moqueuses et injonctions autoritaires, les partisans du « passe sanitaire » se sont montrés très malhabiles depuis le début de cette polémique, engendrant d’importantes protestations populaires. Sciemment ?

Un peu de modestie fait parfois du bien. La pandémie de coronavirus devrait nous y inviter. Malheureusement, nous ne pouvons que constater que les discussions liées à l’apparition de cette maladie, aux modalités pour y contrevenir, ou encore aux conséquences économiques et sociales qu’elle engendre, sont sujettes à une hystérisation totale. Il est impossible à l’honnête homme, et même à l’universitaire en médecine, d’y voir clair. Tout est opaque. Tout est incompréhensible, sujet à caution et à divers biais cognitifs. Un jour, ils rouvrent tout. Le lendemain, ils referment. Un matin, ils vous disent qu’il ne faut pas confiner uniquement les personnes à risques, car cela serait discriminatoire. Un soir, ils réclament que les non-vaccinés n’aient plus que la liberté de rester enfermés à domicile sans solde, quand la veille ils prétendaient que jamais la vaccination n’aurait un jour un caractère obligatoire en France, tant l’idée était « contraire à nos valeurs ».

Macron aime incarner l’ordre face à la rue

Qui croire ? Que faire ? Les Français ne peuvent qu’être perdus devant pareil spectacle, consécutif à des mois de mensonges et de bêtises affirmées tout de go – repensons ici à l’épisode des masques ou à madame Buzyn qui prétendait que le coronavirus n’arriverait jamais sous nos latitudes. Semble s’instaurer un discours fataliste voulant que le Covid-19 ne disparaisse pas avant une bonne génération, comme si ce virus était notre nouveau compagnon de route. Masqués pour toujours. Contraints pour des années. Condamnés à l’enfermement soft. Gavés de séries télé et de plateaux-repas livrés par des coursiers soudanais.

Nous avons au moins une certitude : ce drame ne doit pas être l’occasion de restreindre un peu plus nos libertés publiques mises à mal depuis plusieurs décennies. Il n’est pas besoin de s’appeler Machiavel pour comprendre que le passe sanitaire annoncé en juillet ne l’a pas été que pour des questions de santé publique. Il y a dans cette décision une bonne dose d’opportunisme politique. Que les « gilets jaunes » et autres opposants au gouvernement se remettent en marche à cette occasion était non seulement prévisible mais attendu, voire souhaité par Emmanuel Macron qui veut incarner l’Ordre face à la rue. Car, la rue, elle n’est peuplée que de crétins finis qui sont persuadés que les vaccins contiennent des puces pour nous brancher sur la 5G avec lesquelles nos cerveaux entendront des sourates du Coran récitées par Sibeth N’Diaye sur une radio pirate émettant depuis le sous-sol du Pentagone. Enfin, c’est un peu l’idée que le pouvoir aimerait donner du manifestant moyen, aussi fou que Francis Lalanne et aussi vulgaire que Jean-Marie Bigard.

Un petit sacrifice ?

Il n’y a pourtant pas que des primaires et des anti-vaccins new age dans les cortèges et parmi les râleurs. Quelques Français sont encore attachés à leurs libertés fondamentales et au simple bon sens ; malgré la peur légitime, malgré la dépolitisation. Ils étaient d’ailleurs nombreux à être vaccinés mais opposés au passe sanitaire, probablement même majoritaires. Un passe sanitaire annoncé sans aucune préparation, prenant de court les professionnels et les simples citoyens. Un passe sanitaire qui pourrait même être demandé pour prendre son café en terrasse, en dépit de la logique la plus élémentaire. Avant que l’Assemblée ne censure la disposition, il était même prévu la nécessité de présenter le passe sanitaire pour entrer dans un hôpital…

Au fond, on peut imaginer que la sécurité de tous puisse épisodiquement commander quelques petits sacrifices. Encore faut-il que ces sacrifices soient consentis, parfaitement compris et logiques. Surtout, ces sacrifices doivent être limités dans le temps et ne pas hypothéquer l’avenir. Il suffit de lire le rapport du 3 juin 2021 rendu au nom de la délégation sénatoriale à la prospective pour s’en convaincre. Le passe sanitaire et les diverses interdictions préventives de citoyenneté édictées par nos dirigeants pourraient bien n’être que les prolégomènes d’une prise de contrôle totale sur notre vie privée, jusqu’à notre intimité. Ainsi, les sénateurs rapporteurs envisageaient-ils le plus sérieusement du monde le port de bracelets électroniques durant les quarantaines, le contrôle des fréquentations, l’amende automatique par le contrôle des transactions, ou encore l’utilisation obligatoire d’objets connectés pour contrôler l’état de santé des Français. Vous avez dit Minority Report ? Le Covid donne lieu à une expérimentation grandeur nature grandement aidée par une technologie toute puissante ; comme l’a récemment démontré l’outil Pegasus qui permet d’entrer sur le mobile de n’importe quel individu à n’importe quel endroit du globe. Souriez : vous êtes fichés, vous êtes filmés, vous êtes contrôlés.