samedi 26 février 2022

 samedi 26 février


Aujourd'hui nous fêtons:  Nestor,

Les Nestor sont des voyageurs impénitents accumulant expériences et connaissances, succès et échecs, toujours avides d'apprendre et de comprendre. En amour, cette attitude les confine à l'infidélité...

C'est sa fête : Nestor

Évêque en Pamphilie, au sud de la Turquie actuelle, le saint du jour fut arrêté à l'occasion d'une persécution ordonnée par l'empereur Dèce, en 251. «Puisque tu préfères un homme crucifié à nos divins empereurs, toi aussi tu mourras sur une croix», décréta le gouverneur.

Dicton du jour: Avant de bâtir la tour, il faut calculer la dépense.

Citation du jour: Jamais les hommes ne deviennent plus tendres que lorsqu'on leur a pardonné une infidélité de passage.

Ninon de Lenclos.

Les photos du jour:  Joelle CorrioNotre Provence

Ce matin, 23 février, les tortues sont déjà sorties d'hibernation. C'est trop tôt, à mon avis...


L’hibernation fait partie intégrante du cycle biologique de cette tortue terrestre. Ainsi, elle est indispensable pour assurer la croissance, la longévité, ainsi que pour la bonne reproduction de la tortue.

Il s’agit d’un état d’hypothermie régulée. Ainsi, il permet à la tortue de terre de survivre aux conditions environnementales défavorables de l’hiver. Pendant l’hibernation, la tortue d’Hermann réduit au maximum les dépenses d’énergie:

  • diminution de la température interne;
  • baisse de la fréquence cardiaque et  de la fréquence respiratoire;
  • aucune alimentation;
  • immobilité.

La tortue peut réalise ce cycle d’hibernation si elle est en bonne santé (la prise de poids pendant la belle saison est un indicateur essentiel).

Dessin ou histoire du jour:


Plus de 17.000 détenus étrangers dans les prisons françaises

Didier Dewitte
Selon nos confères du Figaro, ils étaient 17.198 au 1er octobre 2021.
C’est le dernier décompte que l’administration pénitentiaire a effectué des détenus étrangers qui occupent les prisons françaises, qu’ils soient prévenus ou condamnés.
Sur une population pénale qui à cette date, s’élevait à 69.173 individus, leur proportion s’élève donc à 25 %. À titre de comparaison, ce chiffre était de 17,2 % en 2011. Le coût d’un détenu (ici à Mulhouse) est estimé à 110 euros par jour, mais occulte nombre de charges annexes.
 

Ils viennent d’Afrique pour plus de la moitié, et les dispositifs de rapatriement ne sont presque jamais activés.

Dans le détail, 9793 sont originaires du continent africain, soit 56 % d’entre eux, dont 3472 en provenance d’Algérie, 2220 du Maroc, 1117 de Tunisie et 2984 du reste des pays d’Afrique. On compte aussi 5109 détenus européens. Un peu plus de la moitié, soit 2983, sont ressortissants de l’Union européenne. Dans les prisons françaises sont également incarcérés 880 détenus en provenance d’Asie et 1308 d’Amérique, majoritairement du Sud.
Enfin, une petite centaine est apatride.

Air de campagne:

L’élection présidentielle peut-elle être reportée à cause du conflit en Ukraine?


Selon la Constitution, une guerre ne peut justifier le report de l’élection présidentielle que si elle affecte la régularité du scrutin ou entrave le bon fonctionnement des institutions.

Révision de la Constitution

La Constitution - loi fondamentale qui régit l’organisation des pouvoirs français - envisage, en effet, «la possibilité, pour le Conseil constitutionnel, de reporter le scrutin, pour une durée très limitée, mais sans définir précisément les circonstances qui pourraient conduire à un tel report», indique à CheckNews Bastien François, professeur de sciences politiques à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Si l’article 7 de la Constitution évoque cette hypothèse, les cas prévus se rapportent uniquement à la personne des candidats. Ainsi, la date de tenue de l’élection présidentielle pourrait être différée de quelques semaines si l’un d’eux était empêché (par exemple pour raisons médicales) ou décédait. Elle pourrait être davantage repoussée encore, et toujours en lien avec les candidats, si le Conseil constitutionnel constatait un «cas de force majeure». Mais les «événements extérieurs», tels qu’une guerre, ne sont «pas explicitement» visés, relève le constitutionnaliste Didier Maus.

S’agissant du conflit ukrainien, ou de toute autre raison que celles ayant trait à la condition des candidats, «la solution la plus simple et la plus régulière serait de réviser la Constitution, s’il y avait besoin de reporter l’élection», avance Didier Maus. Il s’agirait alors d’y inscrire, par dérogation à l’article 6 (qui fixe à cinq ans la durée d’un mandat présidentiel), une nouvelle date à laquelle le Président en place devra finalement quitter ses fonctions. Une telle procédure s’impose dans la mesure où «les règles de l’élection présidentielle figurent dans la Constitution et ne peuvent donc pas être modifiées autrement». Et ce, contrairement à d’autres scrutins dont les modalités peuvent être modifiées par voie légale (comme ce fut le cas pour les dernières municipales, avec le report du second tour décidé en mars 2020 du fait de la pandémie de Covid-19). «Techniquement possible», toute révision requiert néanmoins «une unanimité politique» sur la nécessité du report.

Report au nom de la sécurité nationale

Reste une dernière voie, loin de faire l’unanimité chez les constitutionnalistes : celle du recours à l’article 16 de la Constitution, qui confie les pleins pouvoirs au président de la République pour faire face à une situation de crise. L’article dispose que «lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.» Par extension, pointe Didier Maus, «on pourrait imaginer que le Président prolonge son mandat au nom des mesures indispensables à la sécurité nationale», toujours en modifiant l’article 6. Ce qui supposerait quand même de faire évoluer la jurisprudence du Conseil sur le sujet, puisqu’il découle d’une décision de 1992 que le Président de la République ne peut pas engager ou poursuivre une révision de la Constitution lorsqu’il exerce ses pouvoirs exceptionnels en application de l’article 16.

Quoi qu’il en soit, dans le cas présent, l’article 16 reste «inapplicable car il implique que la France soit directement concernée», poursuit le constitutionnaliste. A l’heure actuelle, donc, et malgré sa gravité et ses implications (géo) politiques, «la crise ukrainienne n’est pas une circonstance de nature à vicier l’élection présidentielle». Un avis partagé par Bastien Thomas, qui estime qu’«un conflit russo-ukrainien n’affectant pas le fonctionnement régulier des pouvoirs publics français, ni l’intégrité du territoire national, ne justifie pas de reporter l’élection».

D’autant plus qu’a contrario, d’autres principes à valeur constitutionnelle pourraient s’opposer à la validité d’un report. Au premier rang desquels le droit de suffrage, garanti aux électeurs par l’article 3 de la Constitution.

Largement restreinte par les règles de droit, la mise en œuvre d’un report de l’élection présidentielle n’est, par ailleurs, pas souhaitable, estime le professeur de droit public Jean-Philippe Derosier. Dans une vidéo postée sur Twitter, l’auteur du blog La Constitution décodée rappelle que ce scrutin est «un acte démocratique fondamental qui sert à désigner notamment le chef des armées qu’est le président de la République». Ce qui lui fait dire qu’«il est nécessaire que cet instant démocratique puisse se dérouler au moment où il est prévu, afin de conférer à ce Président [celui nouvellement élu ou reconduit, ndlr] toute la légitimité dont il a besoin pour intervenir dans cette crise européenne majeure.»

A la une du Parisien:

● Kiev se bat pour éviter de tomber aux mains des RussesL'armée ukrainienne et les forces russes continuent de s'affronter à Kiev ce matin, après une nuit de combats pour prendre le contrôle de la capitale, deux jours après le lancement d'une invasion du pays par Vladimir Poutine. La population s'était préparée au pire après le message de son président. «Cette nuit, ils vont tenter de s'emparer» de Kiev, avait affirmé quelques heures auparavant Volodymyr Zelensky.

● L'heure des sanctions contre Poutine. 
Les 27 pays de l'Union européenne ont adopté un ensemble de sanctions, principalement économiques, pour répondre à l’invasion de l’Ukraine. Pourquoi ne sont-elles pas plus dures ? Et seront-elles suffisantes et efficaces pour faire plier Poutine ? 

● Salon de l’agriculture. 
Le 58e rendez-vous de la ruralité et de la gastronomie s'ouvre aujourd'hui à Paris. Mais la guerre en Ukraine est venue perturber la traditionnelle venue du président dans ses allées. Pour Emmanuel Macron, ce sera service minimum, quelques heures et puis s'en va. «La guerre est revenue en Europe» : en inaugurant le selon, il a évoqué «un contexte inédit, grave, et historique». Jean Castex le remplacera sur place pour le reste de la journée. 

● Le conflit va faire grimper les prix agricoles.
 
Agriculture toujours, la guerre risque de faire grimper les prix, même en France. La Russie et l’Ukraine représentent en effet le tiers des exportations mondiales de blé. Leurs productions de tournesol, de maïs et d’engrais sont aussi cruciales.

● Zelensky, le président prêt au sacrifice.
 
«On est là. Nous sommes à Kiev. Nous défendons l'Ukraine» : dans une vidéo diffusée sur Facebook hier soir, le président Volodymyr Zelensky s'est filmé dans les rues de la capitale attaquée. Le dirigeant, père de deux enfants âgés de 9 ans et 17 ans, donne l’image d’un homme prêt à mourir en martyr, alors que Vladimir Poutine a appelé les militaires ukrainiens à le renverser.

● Le gouvernement face au casse-tête des réfugiés
Plus de 50 000 Ukrainiens ont déjà quitté leur pays en 48 heures, selon l'ONU. «L’Ukraine, c’est 45 millions d’habitants. Est-ce que l’Europe sera capable de les accueillir ?» s'interroge un ministre français. Les pays européens vont devoir gérer une nouvelle crise migratoire.

● Fillon démissionne de ses mandats russes
L’ancien Premier ministre, sous le feu des critiques, a annoncé hier sa démission des conseils d'administration des entreprises russes Zarubeshneft et Sibur, une décision qu'il dit prendre «avec tristesse».

Marchés du jour:

LE SAMEDI LE MARCHE EST A

AUPS

BARJOLS

CALLAS

CLAVIERS

DRAGUIGNAN

TARADEAU

TOURTOUR

MONTFERRAT

INFORMATION DE LA PAROISSE: 

MESSES DOMINICALES A AMPUS ET LES ENVIRONS

 

Saint Michel AMPUS: ( village) Père Christian BLANC : Tél: 06 09 18 77 39.

Messe le Dimanche et les jours de fêtes à 9h30.

 Notre Dame de Spéluque AMPUSTous les dimanches et jours de fêtes, messe orientée vers le Seigneur à 11h00 dans la forme extraordinaire du rit romain et chant grégorien (lectures en français).

AUX ALENTOURS:

FLAYOSC: Samedi 18h00 et le dimanche à 11h
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CHATEAUDOUBLE: Dimanche: 9H30.

TOURTOUR: Dimanche à 18h00.

VILLECROZE: Dimanche à 9h15.

AUPS: Dimanche à 11h.

SALERNES: Dimanche à 11h.


Des évènements lors d'un 26 février:

26 février 1815 : Napoléon quitte l'île d'Elbe

Le 26 février 1815, Napoléon Ier quitte l'île d'Elbe en catimini avec quelques compagnons d'infortune. Dédaignant la souveraineté de l'île, pourtant concédée par ses vainqueurs, il projette rien moins que de restaurer l'Empire français. Son entreprise réussira à la barbe des gouvernants européens, réunis en Congrès en Vienne pour remodeler l'Europe. Il ne faudra que Cent jours avant que Napoléon Ier rende définitivement les armes. Les royalistes et les réactionnaires de tout poil prendront alors leur revanche.

26 février 1725: Naissance de Nicolas Cugnot

26 février 1725 à Void (Meuse, France) - 2 octobre 1804 à Paris

On doit à Nicolas Cugnot, ingénieur du génie militaire, l'invention du « fardier », la première automobile à vapeur (1771).

26 février 1790: Division de la France en 83 départements.

departements 1790

26 février 1802: Naissance de Victor Hugo

26 février 1802 à Besançon - 22 mai 1885 à Paris

Victor Hugo surpasse par sa puissance créatrice, son imagination et l'étendue de ses talents tous les écrivains de sa génération. Il s'est aussi impliqué dans la vie politique de son temps. Royaliste dans sa jeunesse, il s'engage contre la peine de mort. Son roman Notre-Dame de Paris éveille l'intérêt du public pour le Moyen Âge et la conservation du patrimoine. Au mitan de la vie, il s'oriente vers la gauche républicaine, se penche sur le sort des misérables et devient le chantre de l'expansion coloniale...



CONFLIT UKAINIEN: MACRON SE SENT POUSSER DES MUSCLES

 

Conflit ukrainien : Macron se sent pousser des muscles

Par H16

Poutine envahit l’Ukraine, et instantanément, on ne parle plus de virus et de petites picouses.

C’est aussi ça, la magie de la guerre : en quelques heures, tout le monde est rapidement rappelé aux évidences que le confort occidental actuel nous a fait oublier. Tout peut basculer très vite et ce qui se passe actuellement en Ukraine a très vite occulté les tracas du quotidien dont, au passage, on n’oubliera pas de mentionner qu’une grande partie est directement causée par les clowns à roulettes qui nous dirigent.

Et ceux qui se posaient encore la question de savoir vers quoi ils nous dirigeaient ont maintenant une réponse, assez peu joyeuse mais assez terre-à-terre : pour les Ukrainiens, ce sera la guerre et, probablement, une occupation ; pour les Européens, ce sera une saignée de leurs comptes en banque de deux façons.

D’une part, ces dernières années, à coup de votes idiots et d’écologisme d’adolescente énervée, ils ont judicieusement choisi d’éviter soigneusement toute indépendance énergétique et de choisir un approvisionnement auprès des Russes alors même que le conflit couvait déjà depuis plusieurs années. On peut raisonnablement parier sur une petite augmentation des tarifs gaziers dans les prochaines semaines. Les Allemands, qui ont abandonné nucléaire et charbon au profit du gaz, seront ravis. Est-il utile de revenir sur le rétropédalage acrobatique et grotesque de Macron en matière de centrales nucléaires, typique de son « en-même-temps » emblématique autorisant à la fois la fermeture de Fessenheim et le lancement de 14 nouveaux EPR ? Au moins ce conflit évitera au locataire élyséen d’avoir à répondre de son bilan et de ce genre de pirouettes ridicules…

D’autre part, les conflits ont une tendance à bousculer les chaînes logistiques, tendre les marchés, découpler l’offre de la demande et, à la fin, faire monter les prix. Il faudra donc s’attendre à ajouter ce paramètre à l’inflation déjà dodue que la Banque Centrale Européenne peine à cacher sous le tapis de ses déclarations euphémistiques, pour obtenir une nouvelle hausse des prix de détails.

Cependant, rassurez-vous : pendant que nous serons tous à nous battre pour l’ultime rouleau de papier toilette molletonné avant rupture de stock, Macron et son gouvernement ne perdront pas le nord. Pour eux, l’échéance électorale est toujours en ligne de mire et il serait idiot de ne pas essayer de tirer profit de ces tribulations extérieures.

On imagine sans mal les manœuvrettes électorales évidentes qui pourraient pousser le futur candidat Macron à reporter le scrutin aussi loin que possible afin de lui laisser le temps de régler le conflit avec ses petits bras musclés et réapparaître sur la scène politique française, dans quelques mois, auréolé de son écrasante victoire militaro-diplomatique. Mettez ce que vous voulez dedans en tenant compte à la fois des résultats factuels de sa gestion de crise Covid et à la fois de la présentation qui en est faite par ses thuriféraires, médias compris, pour comprendre que même un désastre ukrainien et des déclarations débiles du président seront, dans cette hypothèse, présentées comme providentielles.

Dans ce contexte, on se surprend à repenser justement à ce qui s’est passé sur les dernières années et à comparer avec ce qui se déroule à présent.

Le contraste est d’autant plus saisissant que la gestion pandémique est véritablement juxtaposée avec ce nouveau chapitre de relations internationales. Alors que l’Europe se retrouve confrontée, en direct, avec un conflit sur son sol impliquant directement une puissance nucléaire, il est en effet difficile de parler des déclarations grandiloquentes de Macron à ce sujet sans les rapprocher de la même grandiloquence des déclarations du même Macron, deux ans plus jeunes, qui nous expliquait être en guerre contre le virus. Eh bien le voilà maintenant parti pour une guerre (une vraie celle-là) dans laquelle il semble déterminé à emmener les Français alors que son passif en matière de guéguerre sanitaire est parfaitement consternant.

De la même façon, on ne peut s’empêcher de noter l’écart tragique entre l’aspect martial des déclarations grotesques dont on nous a rebattu les oreilles pendant deux ans, les injonctions contradictoires empilées à qui mieux-mieux, l’improvisation permanente du personnel politique et des administrations en déroute, et, de l’autre côté, la réalité palpable, massivement diffusée sur les réseaux sociaux, d’une vraie offensive militaire avec poudre, plomb et bombes à l’appui.

Écart tragique qu’on retrouve aussi dans les gesticulations d’un autre homoncule, celui actuellement en charge du Canada : il n’a pas hésité à dégainer des pouvoirs spéciaux, normalement réservés à un état de siège ou d’insurrection grave, afin de pouvoir étendre encore un peu plus ses prérogatives gouvernementales, dans un pays où les manifestants ont eu le toupet de mettre des châteaux gonflables pour les enfants devant le parlement.

Là encore, le contraste avec une vraie loi martiale en Ukraine sous les bombes laisse pantois et permet de bien rappeler l’incroyable pusillanimité des chefs d’État à la sauce Trudeau ou Macron, ainsi que le dévoiement complet des lois d’exceptions utilisée par ces fats pour asservir leurs peuples.

Dans l’immédiat, Macron peut bien essayer de nous faire croire à une virilité et une poigne de chef d’État, mais les dernières semaines de « négociations » avec Poutine ont surtout été humiliante pour lui et les Français qu’il est censé représenter.

Le fiasco pandémique était déjà difficilement digérable, mais on doit légitimement s’inquiéter d’avoir le même baltringue à la tête d’une puissance nucléaire face à un adversaire, aussi en charge d’une puissance nucléaire, qui, lui, ne fait pas semblant de faire la guerre et qui, très manifestement, n’a pas peur de bousculer son image à l’international.

Dit autrement : on ne sait pas où Poutine s’arrêtera, mais on peut vraiment s’inquiéter de ce que Macron serait prêt à faire pour impressionner le monde…