samedi 28 novembre 2020

 Samedi 28 novembre 

Aujourd'hui nous fêtons:  Jacques, Hilaire, Hilarie, Quiéta, Quitterie.

 Les Jacques sont avant tout des révoltés, qui se battent contre le monde et la société qu'ils ne peuvent accepter tel quels. D'une façon générale, ils refusent d'ailleurs ce qu'on veut leur imposer. Cette intelligence et cette force de caractère leur permettent souvent de réaliser leurs ambitions, mais il arrive aussi qu'elles en fassent des personnages perpétuellement insatisfaits, inaptes à la réussite sociale et au bonheur familial..

Dicton du jour:  S'il neige à la saint Hilaire, il fera froid tout l'hiver.

Citation du jour:  Le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui.

Jean de La Bruyère.

Les photos de Gilles de Laclos:



Dessin ou histoire du jour:


Information de la paroisse:

Le Père Christian BLANC informe les paroissiens que la messe sera de nouveau célébrée à partir du dimanche 29 novembre à 9h30 à l'église St Michel.

Dans le respect des normes sanitaires en vigueur




Marchés du jour:

LE SAMEDI LE MARCHE EST A

AUPS

BARJOLS

CALLAS

CLAVIERS

DRAGUIGNAN

TARADEAU

TOURTOUR

Pour les autres jours consulter le tableau de la page d’accueil

 «  LES MARCHES »


A table:


Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88
Plats à emporter

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Boulangerie artisanale, pains cuits au feu de bois. Tous nos produits sont faits maison et non pas issus de catalogues de produits surgelés
Tel: 06 16 12 83 42

La boulangerie ouvre le matin de 6h 45 à 13 h du mardi au dimanche inclus

Pendant le confinement: Vente de plats à emporter préparés par FANFAN.




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RESTAURANT-PIZZERIA
LE BISTRONOMIQUE
56 Rue Neuve 83111 AMPUS
Tel: 06 95 07 64 00


Par contre si vous voulez servir de cobaye avec un vaccin sorti à la hâte et dont on ne connait ni l'efficacité, ni les effets secondaires ne signez pas.....



Des évènements lors d'un 28 novembre:

1284 : La cathédrale de Beauvais s'effondre

Le 28 novembre 1284, la voûte du chœur de la cathédrale de Beauvais s'effondre. Haute de 48 mètres (l'équivalent de 20 étages !), cette voûte achevée douze ans plus tôt constituait un record pour les bâtisseurs du Moyen Âge, adeptes de l'art gothique. Mais l'effondrement montre qu'ils avaient sans doute outrepassé leurs capacités techniques. Avec cet accident prend fin l'élan spirituel qui avait conduit la chrétienté médiévale à chanter la gloire de Dieu à travers les lumineuses cathédrales gothiques.

La cathédrale de Beauvais a été plus tard restaurée et surmontée d'une énorme tour haute de... 150 mètres ! Le jour de l'Ascension 1573, pendant qu'une procession sortait de l'église, cette tour s'est à son tour écroulée et dès lors, il n'a plus été question de nouveaux records. La cathédrale est restée en l'état jusqu'à nos jours.

 1956 : Et Dieu créa... Bardot


L'année 1956 se termine « en beauté » par la sortie le 28 novembre d'un film sulfureux mettant en scène Brigitte Bardot et Jean-Louis Trintignant. Ce film, Et Dieu créa la femme, propulse l'actrice au rang de star internationale, icône de la féminité et de la libération des mœurs.

Réalisé par Roger Vadim, le film est un succès mondial. De New York à Tokyo, les spectateurs se pressent pour découvrir le film où rayonne la beauté de la jeune actrice française (22 ans). Par ses scènes osées, le film choque toutefois une partie de l'opinion conservatrice, certaines ligues chrétiennes allant même jusqu'à juger le film satanique. Plus de 50 ans après, le film reste un grand classique du cinéma français même si son côté sulfureux n'a plus le même impact...

Décès de Philippe Leclerc de Hauteclocque

22 novembre 1902 à Belloy-Saint-Léonard (Somme, France) - 28 novembre 1947 à Colomb-Béchar (Algérie)

Biographie Philippe Leclerc de Hauteclocque

Leclerc est l'officier le plus représentatif de la France libre en lutte contre l'Allemagne nazie. Il entre dans l'Histoire de France le 2 mars 1941.
Ce jour-là, dans l'oasis de Koufra, en Libye, tandis que l'Allemagne triomphe sur tous les fronts, le colonel Leclerc fait avec ses hommes le serment de ne plus déposer les armes avant que le drapeau français ne flotte sur Strasbourg...


le reseau soros


L’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros

par Victor Orban
Victor Orban né le 31 mai 1963 à Székesfehérvár, est un juriste et homme d'État hongrois. Membre du Fidesz-Union civique hongroise (Fidesz-MPSZ), il est Premier ministre de Hongrie de 1998 à 2002, et depuis 2010.

Nombreux sont ceux qui pensent que le chef du gouvernement d’un pays n’a pas à débattre avec George Soros. Pour eux, Soros est un délinquant économique, qui a gagné son argent par la spéculation, par la ruine de millions de personnes, et même par le chantage exercé sur rien moins que des économies nationales. Tout comme les gouvernements ne peuvent pas discuter avec des terroristes, les chefs de gouvernement ne peuvent pas non plus débattre avec des délinquants économiques.

J’y suis tout de même contraint aujourd’hui, parce que George Soros, le milliardaire spéculateur d’origine hongroise, a publiquement imparti des ordres aux dirigeants de l’Union européenne dans un article paru le 18 novembre sur le site dénommé Project Syndicate, dans lequel il leur intime de punir sévèrement les Etats-membres qui se refusent à s’intégrer dans un empire européen global et unifié sous la bannière de la société ouverte.

Tout au long de l’histoire, ce sont toujours les nations qui ont donné sa force à l’Europe. Bien que les nations formant l’Europe soient d’origines perses, les racines communes de notre foi les ont réunies. Le modèle de la famille reposant sur la tradition judéo-chrétienne a été le fondement de nos communautés. C’est la liberté chrétienne qui a assuré la liberté de la réflexion et de la culture et a créé une concurrence bénéfique entre les nations de l’Europe. Le mélange vertueux des différences a fait de l’Europe, pendant des siècles, la force motrice du monde.

Toutes les tentatives visant à chercher à unifier l’Europe sous l’égide d’un empire ont échoué. C’est pourquoi l’expérience historique nous fait dire que l’Europe ne sera de nouveau grande que lorsque ses nations le seront également, et qu’elles sauront résister à toute tentative impériale.

Des forces puissantes sont de nouveau à l’oeuvre pour faire disparaître les nations européennes et unifier le continent sous l’égide d’un empire global. Le réseau Soros, qui imprègne de toutes parts la bureaucratie européenne et les élites politiques, travaille depuis des années à faire de l’Europe un continent d’immigration. Aujourd’hui, le plus grand danger qui menace les Etats de l’Union européenne est représenté par le réseau Soros et la société ouverte, employés à promouvoir l’élimination des cadres nationaux. Les objectifs du réseau sont clairs : au travers de l’accélération de la migration, créer une société ouverte multiculturelle et ethniquement mélangée, démanteler les processus de décision nationaux et les remettre entre les mains des élites globalisées.

L’Union européenne est à la peine. Elle est atteinte depuis 2008 par une crise économique inédite, depuis 2015 par une crise migratoire, et en 2020 par une pandémie dévastatrice. Elle n’est même pas sortie de ses crises précédentes qu’elle doit faire face aux conséquences encore plus lourdes de la pandémie du coronavirus. Les signes en sont déjà là. La dette publique, le chômage, l’état de l’économie atteignent des niveaux critiques dans nombre de pays. L’on n’a jamais eu davantage besoin de la solidarité européenne et du rassemblement des nations européennes pour se venir mutuellement en aide.

Lors d’aucune de ces crises le spéculateur qui se dit philanthrope ne s’est préoccupé des intérêts des Européens. Il a chaque fois agi en fonction de ses propres intérêts. L’on se souvient, au moment de la crise économique, de son attaque contre le forint et contre la plus grande banque de Hongrie ainsi que, au moment de la crise migratoire, de son plan visant à l’accélération de l’implantation, de la répartition et du financement des migrants. A présent, au lieu de la solidarité et de l’entraide mutuelle, le voilà qui se présente avec une proposition visant à nous punir les uns les autres.

Le réseau dirigé par George Soros ne recule même plus devant l’intervention ouverte. Il veut placer les Etats-nations sous la pression la plus forte possible. Il dresse les uns contre les autres les peuples d’Europe. Les moyens employés par le réseau sont multiples et actifs sur les scènes les plus variées de la vie publique. La liste est longue des responsables politiques, des journalistes, des juges, des bureaucrates, des propagandistes politiques maquillés en représentants de la société civile qui émargent aux fiches de paie établies par George Soros. Et bien que le milliardaire accuse tous ses adversaires de corruption, il est lui-même l’homme le plus corrompu de la terre. Il paie et achète tous ceux qu’il peut. Ceux qu’il ne peut ni payer ni acheter ont droit aux rigueurs de la redoutable arme du réseau : le dénigrement, l’humiliation, l’intimidation, l’annihilation au travers de la presse de gauche.

De nombreux bureaucrates de haut niveau de l’Union agissent de concert avec le réseau de George Soros en vue de la création d’un empire unifié. Ils souhaitent mettre en place un système institutionnel visant à imposer aux nations libres et indépendantes d’Europe un mode de pensée unique, une culture unique, un modèle social unique. En leur ôtant le droit de tout peuple à décider lui-même de son sort. C’est le but de leur proposition appelée Etat de droit, qui ne reconnaît toutefois pas la prédominance du droit, mais celle du plus fort.

Les différences sont évidentes. Soros veut une société ouverte (Open Society), nous voulons quant à nous une société protégée (Safe Society). Pour lui, la démocratie ne peut être que libérale, pour nous elle peut être aussi chrétienne. Pour lui, la liberté ne peut servir que l’affirmation inpiduelle, pour nous la liberté peut aussi consister à suivre l’enseignement du Christ, elle peut aussi être mise au service de la patrie et de la protection de notre famille. La base de la liberté chrétienne est la liberté de décider. C’est ce qui est mis en danger aujourd’hui.

Etats-membres vivant du côté oriental de l’Union, nous savons très bien ce que signifie être libres. L’histoire des nations d’Europe centrale a été un combat incessant de la liberté contre les grands empires, afin d’arracher jour après jour, face à eux, notre droit à décider de notre sort. Nous savons d’expérience que toute aspiration impériale rend esclave. Nous sommes encore un certain nombre, issus de la génération des combattants de la liberté – les pays de l’ancien Bloc de l’Est de l’Estonie à la Slovénie, de Dresde à Sofia – qui avons encore une expérience personnelle de ce que veut dire résister à l’arbitraire, au fait du prince, et à sa version communiste. Intimidation, annihilation matérielle et morale, vexations physiques et spirituelles. Nous n’en voulons plus.

Les dirigeants occidentaux, qui ont vécu toute leur vie à l’abri de la liberté et de l’Etat de droit dont ils ont hérité, devraient maintenant écouter ceux qui ont combattu pour la liberté et qui sont à même, du fait de l’expérience de leur propre vie, de faire la différence entre l’Etat de droit (Rule of Law) et la volonté d’un seul (Rule of Man). Ils doivent accepter que nous ne puissions pas sacrifier au 21ème siècle la liberté que nous nous sommes gagnée au 20ème.

L’issue du combat pour ou contre le nouvel empire bruxellois n’est pas encore tranchée. Bruxelles semble tomber, mais une bonne partie des Etats-nations résiste encore. Si nous voulons conserver notre liberté, l’Europe ne peut pas faire allégeance au réseau Soros.