vendredi 12 novembre 2021

 vendredi 12 novembre

Aujourd'hui nous fêtons:  Christian, Josaphat, Kristen, Chrétien, Emilien

Les Christian sont tout à la fois intelligents, sociables, énergiques et généreux. Ces qualités font d'eux des êtres de charmante compagnie. La contrepartie de leur allant: leur confiance, qu'ils ont tendance à accorder trop hâtivement et qui les mènent parfois à l'imprudence. Sur un plan sentimental, leur optimisme naturel est souvent contrarié.

C'est sa fête : Christian

Le saint du jour est un moine polonais qui fut massacré avec ses compagnons par des païens de son pays en 1003. Il figure parmi les saints patrons de la Pologne.

Dicton du jour: Temps sanguin, annonce pluie du lendemain.

Citation du jour: les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.

Oscar WILDE.

La photo du jour par Maria Pélissier:

Coucher de soleil en saint Aygulf



Dessin ou histoire du jour:



Marchés du jour:

LE VENDREDI LE MARCHE EST A

TRANS EN PROVENCE

LA MOTTE

FLAYOSC : Marché nocturne.

BROCANTES ET VIDE-GRENIERS : SALERNES




Activités:

Les activités sont indiquées à titre d'information. Compte tenu des nombreuses annulations encore constatées , nous vous conseillons de vérifier le maintien avant de vous engager.


Des évènements lors d'un 12 novembre:

12 novembre 1840: Naissance de Auguste Rodin

12 novembre 1840 à Paris - 17 novembre 1917 à Meudon

Biographie Auguste Rodin

Depuis plus d’un siècle, le nom d’Auguste Rodin fait rugir les critiques et accourir les foules… Qui aurait pu imaginer qu'un tel destin attendait ce jeune homme, élève médiocre que son père traitait de « poire molle » ? Tous les efforts de sa famille n'y feront rien : Auguste Rodin refuse obstinément de briller dans les matières classiques. De guerre lasse, il sera envoyé dans une école de dessin.

C'est le grand moment qui décidera de la vie d'Auguste Rodin. L'étincelle de l'art embrase son âme et il se jette à corps perdu dans... la scuplture. Sa passion ne s'éteindra jamais. Il laisse derrière lui 7 000 œuvres aujourd'hui dispersées à travers le monde...

12 novembre 1927: Léon Trotski est exclu du Parti communiste de l’Union soviétique et est déporté à Alma-Ata à cause de son opposition à Staline.

12 novembre 1937: On inaugure l’aéroport international du Bourget, le premier aéroport civil de Paris qui le restera jusqu’à la construction de celui d’Orly.
aeroport le bourget photo



L'aéroport de Paris-Le Bourget couramment abrégé en « aéroport du Bourget », est un aéroport francilien situé à 13 km au nord-est de Paris. L’aéroport est géré par le Groupe ADP, et exploité commercialement sous la marque Paris Aéroport depuis le 14 avril 2016. Il tire son nom de la commune du Bourget en Seine-Saint-Denis où il est partiellement situé.

L'aérodrome est ouvert au trafic national et international commercial non régulier (aéronefs d'au plus 25 sièges uniquement), aux avions privés, à l'aviation générale, au vol aux instruments (IFR) et au vol à vue (VFR) avec certaines restrictions de sûreté .

À l'origine, Le Bourget est un terrain d'aviation militaire. Après le déclenchement de la Première Guerre mondiale et l'invasion allemande arrêtée in extremis par la bataille de la Marne, l'état-major français créé le camp retranché de Paris (CRP). Celui-ci est doté d'une escadrille de défense aérienne pour intercepter les avions allemands venant bombarder la capitale. Un des pionniers de l'aviation militaire, le capitaine Désiré Lucca, est placé à la tête de cette escadrille. Sa première tâche est de trouver un terrain propice à son installation. Ce dernier doit nécessairement se trouver au nord de Paris, entre le front d'où vient l'ennemi et la capitale. Le 9 octobre 1914, Désiré Lucca se pose sur le terrain d’Aéropolis, un projet de champ d'aviation. Le lendemain, l’état-major du général Gallieni vient sur place. Le général approuve le choix de Désiré Lucca. Le 12 octobre, les travaux commencent avec la construction de hangars Bessonneau4. En un mois, le terrain est opérationnel. L'escadrille du CRP y sera basée jusqu'à l'armistice de 1918.

Ouvert en 1919, Le Bourget fut le premier aéroport civil de Paris et resta le seul jusqu'à la construction de l'aéroport d'Orly. C'est au Bourget que s'est posé Charles Lindbergh, à l'âge de vingt-cinq ans, au terme de sa traversée de l'Atlantique à bord du Spirit of St. Louis. Il arriva le 21 mai 1927 après avoir parcouru 5 800 kilomètres en trente-trois heures et trente minutes. Environ 200 000 spectateurs l'attendaient sur les pistes du Bourget. Deux semaines auparavant, Charles Nungesser et François Coli décollèrent du Bourget pour tenter la première traversée de l'Atlantique à bord de l'Oiseau blanc mais l'appareil et ses deux pilotes ont disparu au cours de leur tentative.

Une statue érigée à l'entrée de l'aéroport, œuvre du sculpteur Gustave Michel, rappelle les vols de Lindbergh, Nungesser et Coli.

Cet aéroport est le premier de France à disposer d'une véritable piste en dur, utilisable par tous les temps. C'est sur ce site qu'est implantée la direction de la compagnie Air France lors de sa création en 1933.

L'aérogare historique est signée par l'architecte Georges Labro à l'issue d'un concours organisé par le ministère de l'Air en 1935. L'édifice, décoré avec la participation du peintre Lucien Martial, est inauguré le 12 novembre 1937 pour l'Exposition universelle tenue à Paris ; il est sérieusement endommagé pendant la Seconde Guerre mondiale. Reconstruit à l'identique, il continue à servir d'aéroport civil jusqu'à sa reconversion à partir de 1977 où les compagnies quittent progressivement les lieux pour s'installer à l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle. Aujourd'hui, il abrite la collection du musée de l'Air et de l'Espace. La Salle des Huit Colonnes de l’aérogare est restaurée pour un coût de 21,5 millions d’euros. Elle est inaugurée le 3 juin 2013 par Catherine Maunoury, directrice du musée de l'Air et de l'Espace, et par Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense. Avec ses colonnes monumentales, son plafond de verre voûté, ses escaliers de marbre et de ferronnerie, cette aérogare de style art déco devient en 2014 l'entrée principale du musée.

Une statue est érigée dans l'aéroport en l'honneur de la française Raymonde de Laroche, qui fut la première femme à obtenir une licence de pilote.

La société Eurocopter, devenue Airbus Helicopters, leader mondial des fabricants d'hélicoptères, décide en juin 2011 de relocaliser son site de La Courneuve en bordure de l'aéroport.

Le 16 avril 2016, la société Aéroports de Paris annonce son plan stratégique Connect 2020 qui prévoit la création de 2 nouvelles marques pour exploiter les activités du groupe : les aéroports parisiens (Paris-Charles-de-Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget) sont regroupés sous la marque Paris Aéroport, et toutes les autres filiales de la société Aéroports de Paris sont réunies sous la marque Groupe ADP.

LA VIE NORMALE ? OUBLIEZ

 


La vie normale ? Oubliez.

par H16

Grâce à d’habiles mesures sanitaires, finement calibrées et intelligemment mises en place, c’est sûr, la France a maintenant retrouvé sa Vidavan, cette époque sympathique où les citoyens vaquaient niaisement à leurs occupations sans montrer un QR-code à chaque coin de rue, les fous.

Ce Mondaprès, louangé par la caste au pouvoir, nous permet de retrouver tout le parfum de la Vidavan mâtiné de fragrances nouvelles à base de contrôle social, de ségrégation hystériques et d’une bonne dose de haine de l’autre facilement désigné comme coupable pratique d’une liste toujours plus longue de méfaits. Chaque semaine qui passe ajoute un peu de terre sur le cercueil des libertés, et, si l’on s’en tient aux médias officiels, tout le monde semble applaudir ces changements des deux mains et des deux pieds.

Mieux encore, avec une gourmandise même pas cachée de la part de ces médias, on se précipite pour chaque nouvelle louchée de déclarations grandiloquentes et mensongères d’un Macron clairement ivre de pouvoir et intoxiqué par l’opinion que ses caudataires forment de lui : à chaque fois qu’il le peut, il prend prétexte de l’une ou l’autre statistique sanitaire plus ou moins bidonnée pour imposer de nouvelles turpitudes au peuple français qu’il méprise.

Officiellement, même si ce qu’il annonce n’est qu’une série d’âneries, de gabegies ou de nouvelles punitions scandaleuses, personne n’y trouve rien à redire.

De la même façon qu’on multiplie maintenant les messages absurdes dans un silence voire une approbation journalistique presque complets, il n’y a personne pour fustiger les mesures vexatoires supplémentaires, les dépenses inutiles additionnelles et les idées loufoques imposées à tous…

Et ce, de la même façon qu’il n’y a eu personne pour s’offusquer ouvertement du peu de sérieux de la vaccination en cours où on nous propose de mélanger les produits : un petit shot de Moderna après un J&J, c’est ok, ou un triplet Astra, Moderna, Pfizer, c’est parfaitement cool et c’est même mieux qu’un schéma « classique »  ! Le fait qu’aucune étude (et certainement pas en double aveugle) ne puisse décemment le prouver donne une assez bonne indication de la « science » derrière ces improvisations bricolistiques.

De la même façon, personne ne semble s’émouvoir de la rapidité avec laquelle le principe de précaution a été dissous dans l’acide médiatique républicain : ce principe serait indispensable pour les OGM ou les pesticides, mais absolument pas lorsqu’on parle d’injecter un produit nouveau sur des enfants de 5 ans.

De la même façon, personne ne semble s’agacer de la mise en place puis de l’extension des pass sanitaires alors même qu’il est clairement établi que les vaccins liés à ces pass n’empêchent absolument pas ni de transmettre ni de contracter la maladie. En somme, les médias et les politiciens trouvent légitime d’empêcher plusieurs millions de personnes de commercer ou de se socialiser sur une base non seulement arbitraire mais aussi dangereuse dans la mesure où les vaccinés, non testés puisque munis de leur petit QR code, deviennent les principaux vecteurs épidémiques.

À part quelques groupies idiotes de ce mécanisme ségrégationniste immonde, personne n’est dupe : la délivrance des pass n’est plus qu’une distribution de hochets pour gratifier des gens frustrés de ne pas pouvoir exercer une discrimination positive pour eux-mêmes, et un instrument politique redoutable dans les mains de gouvernants sans plus aucun scrupule : n’ayant jamais eu le moindre contrôle sur les virus, les voilà qui contrôlent plutôt les individus.

La décontraction est totale dans la mise en place des pires idées ; Christophe Barbier peut ainsi balancer les pires saloperies dans une relative indifférence, la « cancel culture » ou la pression sociale qui prévaut pour d’autres ne le touchera pas. Apparemment, cet hiver, la mode appariera décidément très bien l’écharpe rouge à la chemise brune.

Parallèlement aux pitreries sadiques du président de la République et de ses sbires les plus obséquieux, les données économiques montrent toute l’ampleur des dégâts engendrés par ces néfastes : l’inflation, présentée comme transitoire, commence déjà à picoter, les bulles (immobilière, boursière) s’accumulent avec des signes inquiétants , et la vie politique du pays semble suivre la même trajectoire délétère.

La démocratie occidentale n’est plus qu’une vaste blague, un théâtre d’ombres, dans lequel on est en train de dissoudre droits de l’homme, secret médical, liberté de déplacement, de commerce et d’expression, sans qu’aucun média ne fasse 5 colonnes à la une de cet effondrement de toutes nos valeurs.

En France, il devient difficile de ne pas noter à quel point la presse polarise actuellement les citoyens avec des histoires d’immigration et d’insécurité, certes bien importants mais malheureusement secondaires face à la mise en pièce de toute la société sous le joug du pass et des mesures sanitaires hystériques. Pire encore, on peut même douter que l’insécurité ou l’immigration seront réellement dans l’esprit du prochain président (quel qu’il soit), et que l’actuelle focalisation des citoyens sur ces sujets va permettre de faire passer en douce encore plus de mesures atroces, poussant le pays vers le collectivisme le plus dur.

Soyons réalistes : on est passé de « deux semaines pour endiguer les morts et éviter la surcharge des hôpitaux » à deux années de confinements, de couvre-feux, des procédures médicales obligatoires pour conserver son job, une troisième dose bientôt indispensable, une vaccination des enfants (pourtant sans risques pour cette maladie) et jusqu’à des propositions détendues de traque des déviants, avant les goulags (qu’on renommera pudiquement camp de quarantaine pour ne pas effaroucher le quidam).

 

En réalité, il n’y a plus rien qui justifie ces dérives totalitaires et il n’y a plus lieu de savoir si nous sommes en dictature ou pas : nous y sommes sans le moindre doute, et le fait qu’on conserve les apparences de liberté d’expression (lourdement écrabouillée par la cancel culture et la pression sociale) et le théâtre législatif dans lequel certains sénateurs font mine de s’opposer à la chambre d’enregistrement parlementaire n’y change absolument rien.

Il n’y a plus d’opposition, plus de discours alternatif, plus de remise en question dans la marche forcée vers un tout sanitaire et une surveillance totale de tous et de chacun, quoi qu’il en coûte.

H16