mercredi 24 mars 2021

 Mercredi 24 mars

Aujourd'hui nous fêtons: Catherine(de Suède), Catalina, Kathleen, Aldemar, Adémar. 

Les Catherine ont un caractère bien trempé grâce auquel elles parviennent à se sortir des situations délicates. Assez masculines dans leurs réactions, elles savent se faire respecter et parviennent généralement à des postes de responsabilité dans leur profession. Plutôt fières, elles ont tendance à snober les autres et ne se privent pas de remarques désobligeantes. Leur colères sont mémorables. Côté cœur, elles sont très fidèles et exigent que l'homme de leur vie le soit aussi.

C'est sa fête : Catherine de Suède

Catherine se consacra à Dieu, comme sa mère, Brigitte de Suède, la célèbre « prophétesse du Nord ». Ensemble, elles firent un pèlerinage en Terre sainte. Bel exploit vu qu'au XIVe siècle, il n'existait ni vaccins, ni charters, ni Europ Assistance ;-)

NB : Catherine de Suède n'a rien à voir avec celle que coiffent par tradition les jeunes filles en fleur. Cette Catherine-là est fêtée le 25 novembre.

Dicton du jour: C'est en mars que le printemps chante, et que le rhumatisme augmente.

Citation du jour: Là est la véritable aristocratie, dans la force du caractère et des convictions qui nous permet d'être utiles aux autres moins favorisés. 

Citation de Paul Claudel ; Lettre à son fils Henri, le 24 novembre 1929.

La phrase qui tue: qui a reçu le prix de l'humour politique

Christian Estrosi, maire LR de Nice: "Naturellement, on peut toujours dire que le confinement arrive trop tard, mais cela sera encore plus tard dans quinze jours" (BFMTV, 23 mars)

Dessin ou histoire du jour:

Stop à la dictature sanitaire


Fassiha GF

Des images honteuses du carnaval de Marseille. 😎😎
A non c’est la gare 🤣🤣🤣🖕🖕🖕


Marchés du jour:

LE MERCREDI LE MARCHE EST A

AUPS

DRAGUIGNAN

SALERNES

TOURTOUR




A table:

Le Labo de FREDO: 46 Rue Neuve 83111 AMPUS. Tel: 06 60 74 87 88
Plats à emporter
Mercredi 24 mars
Nous sommes fermés

                                                            Jeudi 25 mars
Tartiflette 10€



Vendredi 26 mars
Choucroute garnie 15€


Tous les jours : Kanibal et frites 14€, Kanibalon et frites 10€, pizza de 8 à 16€
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Boulangerie artisanale, pains cuits au feu de bois. Tous nos produits sont faits maison et non pas issus de catalogues de produits surgelés
Tel: 06 16 12 83 42

La boulangerie ouvre le matin de 6h 45 à 13 h du mardi au dimanche inclus

Pendant la fermeture des restaurants: Vente de plats à emporter préparés par FANFAN

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RESTAURANT-PIZZERIA
LE BISTRONOMIQUE
56 Rue Neuve 83111 AMPUS
Tel: 06 95 07 64 00
Plats à emporter

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Des évènements lors d'un 24 mars:

 1163 : Le pape bénit le chantier de Notre-Dame de Paris

Le 24 mars 1163, à l'occasion des fêtes de Pâques, le pape Alexandre III se rend à Paris. Il va consacrer le chevet de la grande abbaye de Saint-Germain-des-Prés, reconstruit dans le nouveau style gothique, mis en oeuvre pour la première fois vingt ans plus tôt à l'abbaye concurrente de Saint-Denis.

Des historiens supposent qu'il a pu saisir l'occasion pour bénir aussi le chantier de la future cathédrale Notre-Dame de Paris, destinée à remplacer sur l'île de la Cité l'ancienne basilique Sainte-Marie.

Cet ambitieux projet a été lancé par l'évêque Maurice de Sully, un clerc de grande valeur issu d'une famille très modeste, devenu évêque de Paris le 12 octobre 1160. Il a reçu l'aval du roi Louis VII le Jeune. Ni l'un ni l'autre ne verront son achèvement. L'essentiel sera achevé en 1250 sous le règne de Saint Louis.

Après ces mondanités, le pape va se consacrer à la véritable raison de son voyage en France, la réunion d'un concile à Tours en vue de condamner l'empereur Frédéric 1er Barberousse et l'antipape désigné par celui-ci.

1529 : François Ier fonde le Collège royal, aujourd'hui Collège de France

Le 24 mars 1529, le roi François Ier institue un Collège des Trois-Langues (latin, grec, hébreu) ou Collège des lecteurs royaux, sur une suggestion de son « maître de librairie » Guillaume Budé. Celui-ci veut promouvoir l'humanisme, combattre la sclérose scholastique de la Sorbonne et enlever à l'Église le monopole de l'enseignement supérieur qu'elle détenait depuis la naissance de l'Université, trois siècles plus tôt. Officiellement appelé Collège royal, c'est aujourd'hui le Collège de France...

1794 : Les Hébertistes guillotinés

Le 24 mars 1794, les Hébertistes montent à l'échafaud.

Les hébertistes, appelés les « exagérés » pendant la Révolution française, sont sous la Législative et la Convention principalement des membres du club des Cordeliers, appartenant pour un grand nombre aux rangs de la Montagne à la Convention, à l’administration de la Commune et du Département de Paris, et qui étaient en relation avec Jean-Nicolas Pache, Jean-Baptiste Bouchotte ou Jacques-René Hébert qui, lui-même, n’avait pas de parti à proprement parler.

Les hébertistes est un néologisme né du procès des exagérés, dont Hébert fut la « vedette », la figure la plus familière aux yeux du public en raison de son journal le Père Duchesne.

1860 : La France reçoit Nice et la Savoie

Le 24 mars 1860, par le traité de Turin, le comté de Nice et la Savoie reviennent à la France. Napoléon III obtient ces deux territoires en récompense de son intervention militaire contre l'Autriche, aux côtés du Piémont, et en échange de l'annexion de l'Italie centrale par le Piémont...

1882 : Découverte du bacille de la tuberculose

Le biologiste allemand Robert Koch réussit à isoler et à cultiver in vitro la bactérie responsable de la tuberculose, une maladie encore très meurtrière au XIXsiècle. Le 24 mars 1882, il présente ses résultats à la Société de physiologie de Berlin (Etiologie de la tuberculose).



ELECTIONS REGIONALES



Edito en libre accès  


C’est l’heure

Elections régionales: l’enjeu démocratique du vote en juin

 Par 

Nicolas Beytout

La France serait-elle la seule nation à se montrer incapable d’organiser des élections en temps de Covid ? Elle qui s’enorgueillit de laisser ses écoles ouvertes sans craindre le brassage des élèves, de leurs parents et des profs, serait paralysée par la perspective des files d’attente d’électeurs lors de deux dimanches électoraux en juin prochain ? Partout la démocratie continue à vivre, partout, on vote : Israël en ce moment même, les Pays-Bas la semaine dernière, comme la Suisse juste avant, et bientôt l’Espagne et d’autres encore. Il suffit de le vouloir.

Emmanuel Macron hésite pourtant et son entourage fait monter la pression en prévision du 1er avril. Ce jour-là, le Conseil scientifique remettra ses recommandations sur la tenue des élections régionales et départementales en juin prochain. Mais sans attendre, les partisans d’un nouveau report (initialement, les scrutins auraient dû se dérouler ces jours-ci) plaident pour décaler ce rendez-vous à l’automne, au mieux. Leur argument du moment ? Les conditions sanitaires interdisent le bon déroulement d’une campagne électorale. Comme si tous les partis politiques, tous les candidats, ne se retrouvaient pas à gérer les mêmes contraintes.

La réalité est plus prosaïque : les conseils régionaux et leurs présidents ont été des acteurs engagés de la lutte contre le Covid, ce qui devrait valoir une forte prime aux sortants. Or aucun d’entre eux ne pointe à la majorité présidentielle. Et certains (Xavier Bertrand, Valérie Pécresse et pourquoi pas Laurent Wauquiez) rêvent de se lancer ensuite dans la course à l’Elysée. C’est cette logique-là qu’un report des élections permettrait de casser. S’il repoussait les échéances, Emmanuel Macron serait inévitablement soupçonné de calcul politicien. Et de trahir sa promesse initiale de revitaliser la vie démocratique du pays.