samedi 12 janvier 2019

Aujourd'hui:  Bonne fête! Tatiana, Tiziana, Tania, Peggy, Césarie Aelred, Ailred,  Césarina, Césarine, Elred, Ianie, Merce, Nazaire, Satyre, Talna, Tanaïs,  Tanita, Tatia, , Tatien, Tatienne, Tiana, Tianie, Tiany, Tigre, Tutiana, Tutiane, Tyana, Marguerite. 


Les Tatiana sont gaies et équilibrées.. 
 Pas toujours faciles de caractère, les Tatiana aiment la grande vie sans jamais chercher à trop en faire pour y parvenir. Séduisantes, elles arrivent facilement à faire plier plus d'un homme pour obtenir ce qu'elles désirent. Pas très proches de leurs enfants, elles seront des mamies idéales, une façon de rattraper le temps perdu.
Dicton du jour: Arcade et Hilaire gèlent les rivières.

Ça s’est passé un 12 Janvier.

1953 : Ouverture du procès des responsables du massacre d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) dans lequel 642 civils ont péri en juin 1944
1970 : Fin de la guerre du Biafra
1976 : Mort de la romancière Agatha Christie
1995 : Inauguration à Paris de la Cité de la Musique ( Voir ci dessous)
2009 : Décès du réalisateur et producteur de cinéma Claude Berri
2010 : Un séisme en Haïti fait plus de 200.000 morts
2016 : Un attentat-suicide dans le coeur touristique d'Istanbul attribué au groupe Etat islamique (EI) fait 12 morts
2017 : Lancement du compte personnel d'activité (CPA)

CITE DE LA MUSIQUE A PARIS

Véritable lieu dédié à la musique, la Cité de la musique, située au sud du parc de la Villette, près du Conservatoire de Paris, est l’œuvre de l’architecte Christian de Portzamparc. Elle offre au plus grand nombre l’accès à la culture musicale à travers ses concerts, son musée, ses activités pédagogiques et éditoriales destinées aux adultes et aux jeunes. 
Le Musée de la musique de la Philharmonie de Paris rassemble une collection de plus de 7 000 instruments et objets d'art. Près de 1 000 sont présentés dans l'espace d'exposition permanente, donc des trésors nationaux comme un piano de Chopin ou une guitare de Brassens, permettant de relater l'histoire de la musique occidentale du XVIe siècle à nos jours et de donner un aperçu des principales cultures musicales de par le monde.
Depuis janvier 2015, la Cité de la musique s'est intégrée dans le nouveau complexe de la Philharmonie de Paris. Un nouveau bâtiment construit par l'architecte Jean Nouvel s'est ajouté à celui déjà existant. Cet édifice novateur comprend notamment un auditorium de 2 400 places.
Dessin ou histoire du jour:



Activités à Ampus et dans les environs:



DRAGUIGNAN:
Fréjus:

INSCRIPTION SUR LES LISTES ELECTORALES


Pour pouvoir voter, il faut être inscrit sur les listes électorales. L'inscription est automatique pour les jeunes de 18 ans. En dehors de cette situation, l'inscription sur les listes doit faire l'objet d'une démarche volontaire.

Quand s'inscrire ?

La date limite d'inscription pour les prochaines élections européennes du 26 mai 2019 est fixée au 31 mars 2019.

Qui peut être électeur ?

Il faut remplir les conditions suivantes :
  • avoir au moins 18 ans la veille du 1er tour de scrutin
  • être de nationalité française (un citoyen européen qui vit en France peut s'inscrire sur les listes complémentaires mais seulement pour participer aux élections municipales et/ou européennes)
  • jouir de ses droits civils et politiques
A 18 ans, l'inscription est automatique si les formalités de recensement ont été accomplies à 16 ans.

Comment s'inscrire ?

Vous avez 3 possibilités pour vous inscrire :
  1. en ligne via le lien suivant : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1367
  2. téléchargez le Cerfa en ligne, le remplir et le déposer en Mairie avec les documents nécessaires :https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R16024
  3. directement au bureau du service des élections de l'Hôtel de ville

LA LETTRE HEBDOMADAIRE DE MEDIAPART


Mediapart
La lettre hebdomadaire
Chaque vendredi
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11 janvier 2019
Par la rédaction de Mediapart
Cette semaine, on en est venu aux poings. Ceux du boxeur Christophe Dettinger, placé en détention provisoire dans l’attente de son procès ; ceux du commandant de police Didier Andrieux, soutenu par le procureur de la République mais soumis à une enquête de l’IGPN. Comment en est-on arrivé à ce niveau inouï de violence physique ? Comment l’espace public s’est-il subitement transformé en ring ?

Après le mutisme, puis les quelques concessions, le pouvoir, face au mouvement des « gilets jaunes », a tranché en faveur de la répression. Tout à sa défense de l’ordre public, il met en avant les dégradations matérielles commises dans les quartiers aisés de la capitale et les lynchages observés ici et là pour légitimer son action. Celle-ci se traduit par un usage immodéré de la force : au cours des différents samedis de mobilisation, jamais autant de munitions n’ont été utilisées, provoquant un nombre incalculable de blessures, pour certaines irrémédiables, parmi les manifestants. Et les interpellations se sont multipliées au point de mettre la justice dans l’embarras.

Lors de ses vœux du 31 décembre, Emmanuel Macron oscillait encore entre la compréhension d’une « colère » exprimant le désir de « bâtir un avenir meilleur » et la dénonciation des « porte-voix d’une foule haineuse ». Le 4 janvier, fini le « en même temps » : le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, disqualifie unilatéralement un mouvement d’« agitateurs qui veulent l’insurrection et, au fond, renverser le gouvernement ».

Dans les rues, les hostilités reprennent dès le samedi suivant : les manifestants considèrent que la violence sociale qu’ils subissent depuis des années, symbolisée par la politique néolibérale de cadeaux aux plus riches, n’a pas été entendue. Le premier ministre répond à cet « acte VIII » en annonçant un nouvel arsenal répressif visant à étendre la responsabilité civile des casseurs, à sanctionner l’absence de déclaration de manifestation, à réprimer comme un délit le fait de porter une cagoule et à interpeller préventivement des manifestants préalablement fichés, à l’instar de ce qui se fait pour les hooligans du football.

En faisant ce choix, le pouvoir, outre qu’il tourne le dos aux exigences démocratiques portées par les gilets jaunes, attise la conflictualité dans le pays. Les mobilisations ouvrières s’appuient traditionnellement sur deux leviers : la manifestation, pour convaincre l’opinion publique du bien-fondé des revendications, et la grève, pour établir un rapport de force avec l’instance à faire céder, qu’elle prenne la forme du patronat ou du gouvernement. Comme lors des émeutes de 2005, la mobilisation des gilets jaunes ne dispose pas de cet outil, d’où le recours épisodique à la violence comme moyen d’assurer le bras de fer et d’obtenir des résultats. L’État devrait le comprendre, et désamorcer les tensions plutôt que d’appuyer sur l’accélérateur. Puisqu’il refuse de prendre ses responsabilités, l’escalade est inévitable.