vendredi 8 novembre 2019

LA CROIX DE SAINT ROCH

STUPÉFACTION!

MAIS OU EST DONC PASSÉE LA CROIX?


Près de la chapelle Saint ROCH, à l'entrée du village, tout le monde a eu l'occasion de voir cette croix en fonte. Elle est entretenue par L'APPA et cet été nos précieux bénévoles JEF  et CHRISTOPHE lui ont redonné un coup de neuf en la repeignant avant la fête de la Saint Roch.

Ce matin,  grosses frayeurs, il nous a été signalé que cette croix avait disparu.

Mystère à Ampus.....

Voilà ce qu'il reste de notre belle croix fugueuse qui complétait harmonieusement le site de la chapelle, mais le mystère a été vite éclairci puisque l'on vient d'apprendre que cette croix a été cassée par le vent violent de ces derniers jours et qu'elle est à l'abri.

VENDREDI 08 NOVEMBRE

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS:Geoffroy, Clair, Godefroy, Geoffrey, Scott, Euphrosine.

 Les Geoffroy sont prudents jusqu'à la méfiance et s'ils sont ambitieux, ils se gardent toujours de toute impulsivité. Ils sont lents et appliqués, ce qui les fait souvent passer pour hésitants. Très affectueux, ils restent fidèles à leur famille et comptent de nombreux amis.

Célébrations & évenements du jour. 8 novembre : Journée internationale de la radiologie

DICTON DU JOUR:  À Saint-Geoffroy, les oisons sont des oies.

CITATION DU JOUR: Lors même qu'une chose ne serait pas honteuse, elle semble l'être quand elle est louée par la multitude.
Cicéron.

DESSIN OU HISTOIRE DU JOUR:




LA PHOTO DE DORIANE:


Si je vous dis que le monde est plus beau au lever du jour



MARCHES DU JOUR:




CA S'EST PASSE UN 8 NOVEMBRE:


8 novembre 1939 : Attentat de Georg Elser contre Hitler


Voir article ci dessous:


8 novembre 1226 : Avènement de Louis IX, futur saint Louis


Le 8 novembre 1226, le roi Louis VIII le Lion est emporté par une dysenterie aiguë, à Montpensier, en Auvergne, en revenant de sa croisade contre les hérétiques albigeois.

Son fils lui succède sous le nom de Louis IX mais il restera dans la postérité sous le nom de saint Louis. Comme le nouveau roi a 12 ans et n'est pas encore majeur, c'est sa pieuse mère Blanche de Castille qui prend en main les destinées du royaume avec le titre de « baillistre » (régente). Elle gardera le pouvoir jusqu'en 1242 et le reprendra lors du départ de son fils pour la septième croisade.

Louis IX épouse Marguerite de Provence le 27 mai 1234. Il lui restera fidèle toute la vie et lui donnera onze enfants.



ACTIVITES A AMPUS ET DANS LES ENVIRONS:








ATTENTAT DE GEORG ELSER CONTRE HITLER

8 novembre 1939

Attentat de Georg Elser contre Hitler


Le soir du 8 novembre 1939, à Munich, dans la brasserie Bürgerbräukeller, Hitler fête l'anniversaire de son putsch raté de 1923. Ce putsch lui avait valu d'être incarcéré pendant plusieurs mois, mais cela ne l'avait pas empêché d'accéder dix ans plus tard à la Chancellerie, autrement dit à la tête du gouvernement allemand.
Par une (mal)chance inouïe, le Führer va échapper ce soir-là à une bombe destinée à le tuer...

13 minutes de trop

Georg Elser (4 janvier 1903, Hermaringen ; 9 avril 1945, Dachau)Georg Elser, un humble menuisier originaire du petit village de Hermaringen, dans le Jura souabe, veut profiter de l'occasion pour assassiner le Führer dont, plus lucide que la plupart de ses contemporains, il a mesuré la malfaisance.
Il ne lui suffit pas de s'opposer en silence, en refusant par exemple le salut nazi. Dans une solitude totale, il décide d'agir par lui-même.
Ayant observé que chaque année, Hitler célèbre l'anniversaire du putsch de la Brasserie, il s'établit dès l'été 1939 à Munich et  fabrique lui-même une bombe à retardement en usant de son savoir-faire en horlogerie. 
Il va régulièrement aussi prendre un dîner à la brasserie et s'y laisse enfermer la nuit afin de préparer la cachette de la bombe. Enfin, il dépose celle-ci deux jours avant l'anniversaire...
Comme prévu, Hitler se présente à la brasserie, entouré de la plupart des principaux dignitaires nazis. 
Mais comme il a hâte de revenir à Berlin, il abrège son discours et  quitte les lieux plus tôt que prévu, à 21h07, soit 13 minutes précisément avant l'explosion de la bombe (il bénéficiera d'une chance comparable lors de l'attentat de la Tanière du Loup en 1944).
La bombe provoque l'effondrement d'une partie du local, faisant huit morts et 63 blessés.
Le Bürgerbräukeller après l'attentat de 1939 (Bundesarchiv)

Un héros longtemps oublié

Très vite, grâce aux restes de la bombe, la police de Himmler identifie les fournisseurs de Georg Elser et retrouve son atelier.
Le menuisier est arrêté le soir même alors qu'il tente de franchir la frontière suisse. Après quatorze heures d'interrogatoire et de torture, il avoue avoir posé la bombe mais persiste à nier toute complicité face aux policiers qui n'en croient pas leurs oreilles et suspectent les services secrets britanniques. 
Elser, un héros ordinaire (film d'Olivier Hirschbiegel, avril 2015)Hitler demande que le prisonnier soit conservé en vie jusqu'à la fin de la guerre, dans l'attente d'un procès à grand spectacle destiné à magnifier le nazisme. En attendant, il est déporté au camp de concentration d'Orianenburg-Sachsenhausen, près de Berlin, puis transféré à Dachau.
Hitler ne l'oublie pas. Le 9 avril 1945, alors qu'il est sur le point de se suicider après avoir mené son pays au chaos, il donne par téléphone l'ordre express d'exécuter le « prisonnier spécial ».
Les films Georg Elser, de et avec Klaus Maria Brandauer (octobre 1989), et Elser : Er hätte die Welt verändert, par Oliver Hirschbiegel (« Elser, il voulait changer le monde » ; titre français : Elser, un héros ordinaire), retracent l'histoire héroïque de ce résistant allemand - le premier - longtemps oublié, aujourd'hui hissé à sa juste place.

LA FRANCE TOUJOURS CHAMPIONNE D'EUROPE

Prélèvements obligatoires: la France de nouveau championne d’Europe


Le taux de prélèvements obligatoires s’est élevé en moyenne à 40,3% dans l’Union européenne et à 41,7% dans la zone euro, selon les chiffres d’Eurostat publiés cette semaine. Mais il continue de varier sensiblement d’un Etat membre à l’autre, avec un rapport de 1 à 2. Ces données se rapportent au secteur des administrations publiques (centrale, fédérales – le cas échéant –, locales, de sécurité sociale). Elles intègrent les taxes perçues pour le compte des institutions de l’UE.
C’est une quatrième étoile dont la France se serait bien passée, sur fond de colère sociale et de grogne contre la charge fiscale. Selon les chiffres d’Eurostat publiés mercredi, le taux de prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales nettes) a atteint 48,4 % du PIB en 2018, en très légère hausse par rapport à 2017 (48,3 %). Au mois de mai, l’Insee annonçait 45 % du PIB, en diminution de 0,2 point par rapport à 2017 ; mais l’institut français ne prend pas en compte les crédits d’impôts et les cotisations sociales imputées, contrairement à l’office statistique européen, qui a donc tendance à gonfler artificiellement les résultats.
Championne incontestable, la France réussit pour la quatrième année consécutive à devancer tous les pays de l’UE, ainsi que la Suisse, la Norvège et l’Islande, également reprises dans le classement. L’Hexagone continue de payer les mesures prises à la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy puis pendant celui de François Hollande, avec un taux de prélèvements obligatoires qui a augmenté de 2 points de PIB entre 2007 et 2012 puis de 1,8 point entre 2012 et 2017.
Après avoir longtemps occupé le haut du tableau, la Belgique (47,2 %) et le Danemark (45,9 %) sont relégués en deuxième et troisième positions. Viennent ensuite la Suède (44,4 %), l’Autriche (42,8 %), la Finlande (42,4 %) et l’Italie (42,0 %). Tout en bas de l’échelle se trouve l’Irlande (23,0 %), qui enregistre le taux le plus faible, juste au-dessous de la Roumanie (27,1 %) et de la Bulgarie (29,9 %).
Le taux de prélèvements obligatoires continue de varier sensiblement d’un Etat membre à l’autre, avec une moyenne de 40,3 % dans l’Union européenne et de 41,7 % dans la zone euro, très légèrement en hausse par rapport à 2017 (40,2 % et 41,5 %). Outre la France (mais très légèrement), il a augmenté dans seize Etats membres, notamment au Luxembourg (de 39,1 % à 40,7 %), en Roumanie (de 25,8 % à 27,1 %) et en Pologne (de 35,0 % à 36,1 %). Mais il a diminué au Danemark, en Hongrie et en Finlande. La situation a ainsi évolué de manière très inégale en un an.
Cotisations sociales. En 2018, les impôts sur la production et les importations (TVA, droits perçus sur les importations, accises etc.) représentaient la plus grande partie des recettes fiscales dans l’UE (13,6 % du PIB) suivis de près par les cotisations sociales nettes (13,3 %) et les impôts sur le revenu et le patrimoine (impôts sur le revenu, les sociétés, les plus-values, le capital, etc.), à 13,2 %. Dans la zone euro, ces chiffres étaient de respectivement 13,3 %, 15,2 % et 13,0 %. Des chiffres qui masquent des politiques fiscales très contrastées selon les pays.
C’est en Suède (22,4 %), en Croatie et en Hongrie que la part des impôts sur la production et les importations était la plus élevée, et en Irlande (8,0 %), en Roumanie et en Allemagne qu’elle était la plus faible. Elle atteint 16,7 % en France, dont 7,2 % au titre de la TVA. S’agissant des impôts sur le revenu et le patrimoine, la palme revient au Danemark (28,9 %), devant la Suède, la Belgique et le Luxembourg, alors que la Roumanie (4,9 %), la Lituanie et la Bulgarie se situent en queue de peloton.
La France (13,3 %) se situe quant à elle dans la moyenne, que ce soit pour l’impôt sur le revenu ou sur les sociétés. Mais elle est médaille d’or en matière de cotisations sociales (18,0 %), juste devant l’Allemagne (17,1 %) ; le Danemark et la Suède affichent au contraire les taux les plus bas (0,9 % et 3,4 %). Il est vrai que ces pays, qui offrent une couverture sociale très étendue, la financent essentiellement à partir de l’impôt, contrairement à l’Hexagone, qui dispose d’un système dual de financement.