vendredi 23 août 2019

vendredi 23 août

Aujourd'hui:  Bonne fête! Rose, Rosa, Rosy, Rosalinde, Zachée, Séraphine, Séraphita.

 Les Rose sont des enfants totalement adorables: douces et serviables, elles ravissent leur entourage par leur caractère gai. Ce qui compte plus que tout pour elle, ce sont les sentiments. Elles restent très effacées préférant jouir de la quiétude de leur foyer plutôt que de sortir beaucoup. Mères de famille exceptionnelles, elles sont capables d'accorder suffisamment de liberté à leurs enfants pour qu'ils prennent leur essor facilement.. 

Dicton  du jour:  À la Sainte-Rose pour le travailleur pas de pause.

Citation du jour: Même en enfer, il est bon d'avoir un ami.

Proverbe tchèque.

Conseils jardinage du 23 aout, aujourd'hui c'est le moment...

Conseils du jour pour le jardin De récolter les pâtissons, courgettes. 

Conseils du jour pour le jardin De traiter la pelouse contre les aoûtats et l'arroser régulièrement. 

Conseils du jour pour le jardin Attachez les longues pousses des plantes grimpantes au support (bignones, clématites, chèvre-feuilles, etc.) 

ça s'est passé un 23 août:


 Naissance de Louis XVI

23 août 1754 à Versailles - 21 janvier 1793 à Paris
Biographie  Louis XVI
Louis XVI est le troisième fils du Dauphin Louis et de Marie-Josèphe de Saxe. C'est un homme de grande taille (1,90 mètre) et d'une belle prestance, cultivé et intelligent mais doux et maladivement timide, marié à l'archiduchesse Marie-Antoinette.
La mort prématurée de ses deux aînés en a fait l'héritier de la couronne sans y avoir été préparé. Son accession au trône à la mort de son grand-père Louis XV, le 10 mai 1774, suscite une immense attente de l'opinion. Il croit satisfaire cette attente en restituant aux parlementaires le droit de remontrance dont ils venaient d'être privés. C'est la première d'une longue suite d'erreurs qui lui seront fatales...

Bon et faible à la fois

La mort prématurée de ses deux aînés en a fait l'héritier de la couronne sans y avoir été préparé.
Quand il accède au trône, à la mort de son grand-père Louis XV, le 10 mai 1774, l'impopularité de ce dernier se traduit par une immense bienveillance des Français à l'égard du nouveau souverain, en dépit de ses faiblesses évidentes et de la frivolité de son épouse qui, déjà, en agace plus d'un.
Ce n'est qu'à l'été 1777 que le roi et la reine auront enfin des rapports sexuels, et cette carence altère ses relations avec son entourage. On ne lui connaît bien sûr aucune maîtresse. Timide, Louis XVI fuit la compagnie des femmes et des courtisans et se réfugie volontiers dans son atelier de serrurerie ou sur les terrasses de Versailles, pour observer de loin le ciel ou les jardins.
Par ailleurs intelligent et cultivé, doté de solides connaissances en histoire et géographie qui l'amèneront à soutenir le voyage de Lapérouse, il est pieux et sincèrement animé par le désir de faire le bien.
Son humeur égale et son courage se manifesteront seulement pendant les heures noires de la captivité dans la prison du Temple et devant le Tribunal révolutionnaire...

Dessin ou histoire du jour:


Marchés du jour:



Activités à Ampus et dans les environs:


SALERNES

Samedi – 24.08.2019 – Saint Barthélémy, apôtre (r)
10.00 – Procession au son des tambourins depuis le parking
jusqu’à la chapelle
puis messe en l’honneur de Saint Barthélémy 
à la Chapelle Saint Barthélémy 
Suivi du pique-nique convivial près de la rivière.











L'EDITO DE L'OPINION: DETTE PUBLIQUE - LES NOUVEAUX SPECULATEURS

Dette publique : les nouveaux spéculateurs

Nicolas BEYTOUT : opinion 21 août 2019

Nicolas Beytout
Vu de Bercy, c’est certainement une bonne nouvelle : Gérald Darmanin a annoncé que grâce aux taux d’intérêt désormais négatifs, l’Etat français allait encore économiser 2 milliards d’euros cette année sur le remboursement de sa dette. C’est une formidable aubaine, pour un gouvernement qui court après le moindre sou sans pouvoir réduire vraiment les dépenses. Alors que le ministre des Comptes publics estimait il y a un an que la dette publique coûterait 42 milliards d’euros aux Français, il peut même espérer rogner la facture initiale de quelque 5 milliards.
Pas de quoi être euphorique, toutefois. D’abord parce que cette cagnotte d’un nouveau genre ne doit rien (ou presque) à l’état de santé de l’économie française et encore moins à la politique du gouvernement. Si le coût du crédit est aussi attractif, c’est avant tout parce que les banques centrales l’ont imposé dans le monde entier. Ensuite parce que, on le sait avec certitude, cette situation ne durera pas. Viendra un moment où cette politique un peu folle aura créé de telles montagnes de dettes qu’il faudra bien corriger le tir.
Et payer nos dettes à leur prix réel.
Mais il est vrai que ce danger est lointain. Il en existe un, en revanche, beaucoup plus proche et plus insidieux. C’est une petite musique, fredonnée par de bons économistes sur l’air du « ça ne coûte rien, profitons-en » : la France, disent-ils, devrait profiter de cette conjoncture exceptionnelle pour s’endetter davantage et investir. Une partie de la gauche en fait déjà son programme, comme fascinée par cet argent qui lui semble gratuit. Elle devrait pourtant relire son Mitterrand dans le texte : « Aujourd’hui, on peut s’enrichir en dormant », dénonçait celui qui n’avait pas de mots assez durs contre la spéculation. Attention à ne pas spéculer sur la dette du pays.