vendredi 26 novembre 2021

 vendredi 26 novembre

Aujourd'hui nous fêtons:  Delphine, Dauphine, Sirice, Siriane, Conrad, Kurt.

Gracieuses et vives, les Delphine sont tout en intuition. Très attachées à l'idéal de beauté, particulièrement sensibles, elles ont souvent du mal à vivre la réalité quotidienne. Mais leur pouvoir de séduction leur permet de s'attirer la protection, contre leur propre émotivité, de personnes entièrement fascinées par elles.

C'est sa fête : Delphine

Née en Provence au XIIIe siècle, la sainte du jour vit pieusement avec son mari Elzéar de Sabran. Devenue veuve, elle meurt dans la mendicité. Le couple est enterré dans la cathédrale d'Apt.

Dicton du jour: A la Sainte-Delphine mets ton manteau à pèlerine.

Citation du jour: Les bons mûrissent, les mauvais pourrissent.

Victor HUGO

La photo du jour par Gilles de Laclos :

hameau de La Doire

.... petit hameau sur le canton de Seranon ,
sur la route entre Grasse et Castellane


Dessin ou histoire du jour:

Ce cardiologue découvre « par erreur » les risques causés par les vaccins


Le Dr Gundry vient de découvrir « par hasard » les risques cardiovasculaires causés par la vaccination contre le covid.

Je précise que Steven R Gundry est un chirurgien cardiaque américain réputé. Il est notamment l’un des pionniers de la transplantation cardiaque chez les nourrissons[1].

Depuis environ 8 ans, le Dr Gundry surveille régulièrement la santé cardiaque de ses patients (566 au total). Pour cela, il utilise le test cardiaque PULS, qui permet de mesurer les principaux marqueurs de la santé cardiovasculaire[2].

Ce suivi, initié en 2013, n’avait bien sûr aucun lien avec le covid à l’origine…

Mais quand la campagne de vaccination a commencé, le Dr Gundry en a profité pour tester le score PULS 3 à 5 mois avant l’injection, puis 2 à 10 semaines après celle-ci.

À sa grande surprise, plusieurs marqueurs de risque cardiovasculaire ont augmenté après la vaccination.

En moyenne, le score PULS a grimpé de 11 % chez les patients

Et il a noté une augmentation de 25 % du risque de développer un syndrome coronarien aigu !

Le syndrome coronarien aigu est un rétrécissement ou une obstruction des artères coronaires, qui provoque la formation d'un caillot avec des conséquences parfois graves (thrombose, infarctus du myocarde…)[3].

D’après les conclusions du Dr Gundry, parues dans la prestigieuse revue de cardiologie Circulation, cette augmentation du risque persisterait au moins 75 jours après l’injection.

Cela confirme les alertes lancées par de nombreux spécialistes dans le monde entier : il ne faut surtout pas prendre la vaccination à la légère.

Chaleureusement,

Nicolas Wirth

P.S. Ce message n’a pas pour but de vous faire peur, mais seulement de vous informer sur la réalité de la situation. Je ne souhaite pas décourager les gens à se faire vacciner (ni les encourager d’ailleurs), mais simplement montrer l’importance d’une bonne préparation avant un acte médical qui n’est pas anodin.


Marchés du jour:

LE VENDREDI LE MARCHE EST A

TRANS EN PROVENCE

LA MOTTE


BROCANTES ET VIDE-GRENIERS : SALERNES




Activités:

Les activités sont indiquées à titre d'information. Compte tenu des nombreuses annulations encore constatées , nous vous conseillons de vérifier le maintien avant de vous engager.


Des évènements lors d'un 26 novembre:

26 novembre 1966 : Inauguration de l'usine marémotrice de la Rance

Le 26 novembre 1966, le président Charles de Gaulle inaugure l'usine marémotrice de la Rance. Cette réalisation technologique prestigieuse restera sans lendemain. L'électricité produite à partir des marées n'étant qu'à peine rentable.

26 novembre 1252: Mort de Blanche de Castille

1188 à Palencia (Castille) - 26 novembre 1252 à Paris

Biographie  Blanche de Castille

Blanche de Castille, épouse de Louis VIII le Lion et mère de Saint Louis, est l'une des rares reines de France qui ait trouvé grâce auprès des historiens...

Blanche épouse Louis, fils et héritier de Philippe Auguste, le 23 mai 1200, le lendemain du traité du Goulet. Elle donnera le jour en 1214 (l'année de la victoire de Bouvines) au futur Saint Louis, qu'elle éduquera d'une excellente et pieuse façon.

Son fils n'ayant que 12 ans à son avènement, elle gouverne en son nom le royaume avec le titre de « baillistre » et surmonte avec brio les traquenards des barons et grands seigneurs...

26 novembre 1755: Inauguration en grandes pompes par le duc Stanislas, de la place de Nancy qui prendra son nom à partir de 1831.

place stanislas nancy photo

Photo fxfx_d



La place Stanislas est une place appartenant à un ensemble urbain classique situé à Nancy, qui est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. Voulue par le duc de Lorraine Stanislas Leszczyński, elle est construite entre 1751 et 1755 sous la direction de l'architecte Emmanuel Héré. Son nom et sa statue centrale évoluent au gré des bouleversements de l'histoire de France ; elle porte son nom actuel depuis 1831. Le guide Lonely Planet élit la place Stanislas 4e plus belle place du monde.

Appelée familièrement par apocope « place Stan », elle est, malgré ses belles proportions (106 mètres sur 124 mètres de dimension modeste relativement aux 12 hectares du record français de la place des Quinconces à Bordeaux ; à Nancy même, la place de la Carrière ou le cours Léopold, notamment, sont plus étendus. Ce ne sont donc pas ses dimensions qui font l'originalité de la place Stanislas mais son aménagement et son rôle dans l'urbanisme de la cité, reliant deux quartiers autrefois indépendants. L'architecture et les monuments sont plus typiques d'une capitale d'Ancien Régime que d'une simple cité de province. Ainsi la planification urbaine d'une grande cohérence architecturale affirme, lors de sa construction, la persistance du pouvoir du duc de Lorraine, qui bénéficie alors de son indépendance.

La place est élue Monument préféré des Français lors de l'édition 2021 de l'émission Le Monument préféré des Français présentée par Stéphane Bern
.

C'EST GRATUIT, C''EST L'ETAT QUI PAIE

 



C’est gratuit, c’est l’État qui paie

Quand la "justice sociale" ruine la France

Sophie de Menthon


La prochaine campagne électorale va continuer d’entretenir un dangereux mirage.


Depuis que très sincèrement, François Hollande répondait cela à une participante lors d’un débat télévisé, la France entière l’a cru sur parole. C’est gratuit, c’est l’État qui paie et quand il n’y a plus d’argent, il y en a encore…

La perception française du concept de la gratuité est devenue un boulet pour notre économie et indirectement le socle de toutes les révoltes, de toutes les incompréhensions ; le « toujours plus » entretient l’ignorance des règles économiques élémentaires que la période électorale rend inéluctable. Les candidats de tous bords ont une règle : promettre de distribuer pour être aimés et choisis. Redistribuer c’est encore mieux : un principe de justice pour justifier les impôts et le grand principe égalitariste mais spoliateur.

Nos entreprises étouffées

On promet aux entreprises des fonds crées par l’État, des subventions, des aides… bref tout ce qu’il ne faut pas faire. Messieurs les candidats, les entreprises vous disent « non merci ! » ; la seule chose qu’elles attendent, c’est que l’on cesse de les prélever, que l’on baisse leurs charges sans immédiatement créer indirectement un prélèvement compensatoire.

Quand va-t-on accepter de dire aux Français que l’argent de l’État n’existe pas ? Ces cadeaux que l’on nous fait, ces remboursements, ces subventions proviennent exclusivement du fruit de notre travail, d’une façon ou d’une autre. Tout ce dont vous bénéficiez « gratuitement », vous l’avez payé et cher. Non, l’État n’a pas d’argent, il a juste la possibilité de s’endetter pour des années ; non l’État ne produit ni ne crée aucune richesse. Les services publics que les candidats nous vendent ou nous « offrent » sont déficitaires. Que vendent-ils que les entreprises ne pourraient produire souvent mieux et à de meilleures conditions ?

S’il n’existe pas la conscience et la conviction qu’à chaque fois que l’État dégaine son chéquier, nous devrons mettre la main à la poche un jour ou l’autre pour rembourser, nous continuerons d’entretenir un mirage.

L’abus de prestations sociales nuit gravement à la santé

Tout ce qui est gratuit n’a pas de valeur et c’est ainsi que nous consommons à outrance de la pharmacie par exemple ; le « qu’est-ce que je vous mets » du médecin qui rédige l’ordonnance est proprement scandaleux ; sortir une simple carte vitale à la pharmacie sans savoir pour combien on a acheté de médicaments est dangereux et pour l’équilibre de la sécurité sociale… et pour notre santé ! Nous battons tous les records de consommation de médicaments. En sortant de l’hôpital, chaque patient devrait se voir remettre une note faisant le total de ce qu’il a coûté, surtout s’il n’a rien eu à payer ! L’absence de conscience de cette prise en charge financière, avec le refus de responsabiliser chacun d’entre nous, est un des défauts majeurs d’une politique de panier percé qui rend le pays ingérable.

C’est une question d’éthique démocratique maintenant que d’arrêter d’acheter des voix à coup de promesses en milliards. La gratuité est financée dans les discours électoraux à coup de mesures menaces (« il faut faire payer les riches », « il faut prendre l’argent là où il est »« taxer les multinationales »), où le CAC 40 est l’objet de toutes les haines de l’extrême gauche et maintenant de l’extrême droite ! Un progrès cependant : la PME n’est plus dans la ligne de mire.

Il faut revoir complètement les contours de la protection sociale, arrêter les usines à gaz nationales au coût incalculable supposées être au service de la collectivité, arrêter de distribuer des primes à tout va, que ce soit pour le prix de l’énergie ou des cantines scolaires…

Redéfinir les missions de l’Etat

Les économies de l’État ? Quoi supprimer ? pour qui ? que faire ? Ils ne savent pas ! Et à cette interrogation une seule réponse en préalable et une seule décision présidentielle à prendre : définir une fois pour toutes quelles sont les missions régaliennes de l’État. Quand on saura ce que doit vraiment financer l’État, et ce que l’on peut confier au privé (avec cahiers des charges bien sûr et contrôles), on pourra faire les économies qui s’imposent pour financer la sécurité, l’armée, la justice (autrement), la santé, à son vrai prix etc. Et renforcer les fonctionnaires dans des missions stratégiques utiles en supprimant bien sûr le statut de la fonction publique offert à tous, du jardiner de la préfecture à la secrétaire administrative sans spécificité.

Pas un candidat qui se soit exprimé clairement sur ce sujet : c’est présumé libéral. Et dans notre pays il vaut mieux être d’extrême droite que libéral ! Car être libéral c’est faire confiance à la responsabilité de chacun, à la concurrence, à l’éthique, et en un mot à la nation. Être extrémiste, actuellement, c’est renforcer le pouvoir de l’État dans un unique objectif monopolistique pour décider seul, pour notre bien évidemment et cela fait 20 ans que l’on voit le résultat de cette concentration du pouvoir quand il n’a pas lieu d’être.

Allez ! encore un effort chers candidats, lequel osera vraiment parler de limiter les missions régaliennes et de la vraie réforme de l’administration sur cette base ?

 « La folie c’est de faire toujours la même chose en s’attendant à de résultats différents. » Einstein.