jeudi 10 octobre 2019

JEUDI 10 OCTOBRE

AUJOURD'HUI NOUS FÊTONS: Ghislain, Clair, Angèle-Marie, Daniel.

Les Ghislain sont dotés d'un esprit très vif et savent charmer leur monde. Ils sont effectivement attirants, même si on peut leur reprocher un côté prétentieux. Ce sont par ailleurs des hommes ambitieux qui se battent jusqu'au bout pour mener à bien leurs projets et imposer leurs idées. Ils sont sensibles et fidèles en amitié comme en amour.

 Saint-Patron et intercesseur du jourSaint-Ghislain était invoqué contre l'épilepsie (le mal de Saint-Ghislain) et les convulsions.

DICTON DU JOUR:Temps sec à la Saint-Ghislain annonce un hiver d'eau plein.

CITATION DU JOUR:Le faible craint l'opinion ; le fou la brave ; le sage la juge.
Citation de Mademoiselle de Sommery ; Les doutes sur différentes opinions reçues (1782)

DESSIN OU HISTOIRE DU JOUR:




MARCHES DU JOUR:



CA S'EST PASSE UN 10 OCTOBRE:

Elle nous a quitté: 1963 : Édith Piaf, chanteuse française (19 décembre 1915)

10 octobre 1903 : Mise en vente de l'aspirine
L''aspirine est mise en vente en Allemagne le 10 octobre 1903. C'est l'aboutissement d'une très longue recherche qui remonte aux Sumériens.
Ces derniers avaient observé que l'écorce de saule calmait les douleurs. Le Grec Hippocrate avait validé leur observation mais il avait fallu attendre le XIXe siècle pour découvrir le principe actif à l'origine de cette propriété : l'acide acétylsalicylique. 
Le chimiste allemand Felix Hoffmann part en quête d'un composé équivalent mais plus facile à synthétiser. Ce sera l'acide spirique, extrait de la spirée ou reine-des-prés. Le laboratoire Dreser, qui emploie Hoffmann, dépose un brevet à Munich le 6 mars 1899 et confie à l'entreprise Bayer la commercialisation de l'aspirine.
Sitôt sur le marché, ce médicament anti-fièvre et antalgique (atténuateur de la douleur) recueille un immense succès. L'aspirine suscite en Allemagne le développement d'une puissante industrie pharmaceutique. Elle a aussi les honneurs du traité de Versailles (1919), une clause de celui-ci faisant tomber son brevet dans le domaine public (en France exclusivement !).
Dans les années 1950, l'aspirine semble condamnée par l'arrivée d'un nouvel antalgique, le paracétamol. Mais l'on découvre opportunément qu'elle peut aussi prévenir les accidents vasculaires. Et la voilà repartie pour une deuxième vie...

Conseils jardinage du 10 octobre, aujourd'hui c'est le moment...

- De semer l'angélique.
- De préparer des potées de bulbes pour la terrasse.

ACTIVITES A AMPUS ET DANS LES ENVIRONS:







MACRON, L'IMMIGRATION ET LES RISQUES DU " EN MËME TEMPS"

Petits pas



Macron, l’immigration et les risques du «en même temps»

Par Nicolas BEYTOUT

Une partie de sa majorité aura beau rechigner, Edouard Philippe lui-même aura beau tordre le nez, Emmanuel Macron ne bottera pas en touche ; « J’assume de parler calmement de l’immigration », a-t-il déclaré à Europe 1 depuis le building des Nations Unies, le temple new-yorkais du brassage 
des peuples et des identités. Le « j’assume » s’adresse évidemment à son parti La République en marche et à la gauche de sa majorité, tandis que le « calmement » est destiné à la droite républicaine et au Rassemblement national.
En parler, donc, afin d’affronter cette question qui, d’une manière ou d’une autre, sera un des thèmes dominants de la prochaine élection présidentielle. La France est confrontée aux mêmes courants violents, aux mêmes mouvements de populations que tous les autres pays développés. Il n’y a aucune chance pour qu’elle voit la montée du populisme s’arrêter à ses frontières.
Mais en parler ne suffit pas. Les Républicains ne se privent pas de le dire : les faits parlent contre le chef de l’Etat, et les statistiques démontrent l’inaction actuelle du gouvernement. Quant au Rassemblement national, il peut tranquillement piocher dans sa réserve d’arguments pour en ressortir le fameux : « Les électeurs préféreront toujours l’original à la copie. »
C’est le piège dans lequel Emmanuel Macron risque de s’enfermer. Pour l’heure, les indications données par le chef de l’Etat sont vagues, floues. Impossible de savoir vraiment jusqu’à quel point il veut fermer les frontières et réduire les avantages dont pourront bénéficier demain les immigrés, en particulier les clandestins. S’aventurer sur un terrain aussi glissant sans être parfaitement assuré de sa doctrine et de ses arrières politiques, c’est prendre le risque d’être constamment soumis à la surenchère. Par la droite et la gauche en même temps.