dimanche 19 juin 2022

AHURISSANT!!!

 

AHURISSANT !!!

Les pompiers signalent qu’il est impossible d’éteindre

 un véhicule électrique en feu avec de l’eau car la batterie

 continue à se consumer…

  La fin des bus électriques en Allemagne ...

 Du journal "Die Welt":

Il s'avère que les bus électriques ont par 3 fois été responsables de départ
d'incendie importants dans les dépôts de Stuttgart, Düsseldorf et Munich
pendant leur charge la nuit. Ces incendies ont détruit d'énormes flottes
de véhicules. Ils sont désormais interdits dans la ville de Munich
depuis hier.

C'est étonnant que ni la presse belge et française ni le parti écolo n'en
parlent.
Bientôt comme à l'époque des voitures au gaz, il y a aura l'interdiction
de garer les voitures électriques dans les parkings publics.

L'électrique en tant que système à accus n'a en fait aucun avenir.

Une seule solution est la pile à Hydrogène sans doute.
L’Écosse profitant des quantités d'îlots du nord et sa situation
météorologique (jet stream)convertit sa production éolienne en
Hydrogène et les services publics utilisent des voitures à hydrogène.

Qu'est-on en train de faire en ce moment ? Rien que de la pensée
unique des écolos, ceux qui n'ont jamais au grand jamais une solution
et que des problèmes à poser, empoisonnant l'existence de tout le
monde et ruinant l'économie.

Imaginez une rangée de voitures électriques et thermiques rangées

le long de trottoirs en charge en ville, des tensions électriques de

 318 volts que croyez vous que les pompiers vont pouvoir faire ? Il n'y

 aura plus de rue et sans doute plus de bâtiments !

Comment est-ce possible ? ? ? ? ? ? ?

Le Canard Enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un
article au vitriol sur l'absurdité des directions écologiques dans
lesquelles s'est engagée la France.

En ligne de mire, la voiture électrique censée être la solution d'avenir pour
 sauver la planète prétendument en danger.

On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c'est la solution
 d'avenir et surtout la seule voie pour sauver la planète.

La sauver de quoi ?

On ne sait pas trop, mais il faut la sauver, nous serine-t-on !

À cette fin, la France s'est engouffrée tête baissée dans le tout électrique mais
 sans aucun discernement.
Partant, nos gouvernants ont enjoint les constructeurs automobiles de tout
miser sur l'électrique. Soit !

Mais qu'est-ce que cela signifie ?

D'abord, l'installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes,
 car les véhicules les plus performants à l'heure actuelle, ne peuvent
 prétendre à une autonomie supérieure à 500 km.

Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces,
 du dégivrage ou de la climatisation ..
Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette
 énergie. Et là, il faut s'attarder un instant.

À l'heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes,
 très coûteuses et bourrées de métaux rares.
Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel.
Or le nickel est plutôt rare sur notre terre.


Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d'étranglement
 de la transition énergétique se fera sur le nickel »


Extraction du nickel à Goro en Nouvelle Calédonie.


Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver.


Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie et son
 extraction est une vraie galère car on ne le trouve jamais à l'état pur.
Dans les minerais, il n'existe qu'en très faible proportion .
Par conséquent, il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler,
 hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.
car tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l'on déverse
 la plupart du temps dans la mer !


Mais qu'importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que
 par la « mobilité verte », laquelle n'a pas de prix pour eux.


Extraction du lithium en Bolivie.


Il n'y a pas que le nickel en jeu, il y a aussi le lithium.
Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci
 provient des hauts plateaux des Andes.
Pour l'extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés) ce qui
 entraîne une migration de l'eau douce vers les profondeurs.
Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du
 manque d'eau.
Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu'on va chercher au Congo.
Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans
des mines artisanales pour seulement 2 dollars par jour (Les Échos du 23/09/2020).

Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins,
veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce
 secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail.
Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes
 (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.
On fait donc des carrosseries en aluminium dont l'extraction génère
 ces terribles boues rouges, déchets insolubles issus du traitement de
 l'alumine avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l'arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane, que l'on déverse aussi dans la mer au mépris des questions d'environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.
Voilà ce qu'est le développement « durable » selon nos écologistes.
Un dogme qui ne laisse aucune place à la raison ! Pour exister ils sont
près à tout …

 

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