vendredi 26 février 2021

VIDEO: LA PEUR DES CHIFFRES

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  L'impréparation et l'absurdité des mesures montrent l'incapacité des politiques à prendre des décisions claires et restent des opérations de communication dont tout le monde commence à se lasser des dégâts que cela occasionnent actuellement et plus inquiétant ceux à venir qui ne sont pas encore mesurables.
En quoi un confinement de 2 jours par semaine peut-il empêcher la propagation du virus? Bon nombre de médecins se posent la question

Le Premier ministre Jean Castex a annoncé ce jeudi qu’une vingtaine de départements, dont le Var, vont être placés sous "surveillance renforcée", l'arrêté entourant les week-ends confinés n'était toujours pas publié sur le site de la préfecture des Alpes-Maritimes.

L’arrêté censé détailler les conditions de confinement pour ce week-end et celui d’après dans 63 communes de "l’aire urbaine littorale" azuréenne n’était, ce jeudi soir, toujours pas publié sur le site de la préfecture des Alpes-Maritimes...

C’est pourtant lundi en fin de matinée que le préfet, Bernard Gonzalez, a détaillé toute une série de nouvelles mesures pour tenter d’enrayer la flambée de l’épidémie dans le département. Le ministre de la Santé Olivier Véran, en visite à Nice samedi, avait préparé le terrain...

Dès le lendemain des annonces préfectorales, trois arrêtés étaient déjà disponibles: celui sur le port du masque, celui sur la musique et l’alcool dans la rue, et celui concernant la fermeture de certains commerces. Mais rien, et toujours rien ce jeudi soir, sur celui relatif à la circulation des personnes les 27 et 28 février et les 6 et 7 mars.

DÉJÀ UN RECOURS DÉPOSÉ

Des citoyens hostiles à cette "mise sous cloche" pour deux week-ends s’étaient rapprochés de maître Xavier Fruton qui attendait la parution de l’arrêté pour attaquer en justice.

L’un de ses confrères, maître Christophe Pelloux a préféré anticiper, sentant, avait-il expliqué, que le texte en question tarderait à être rendu public. Il a donc dégainé dès mercredi midi.

Agissant pour le compte d’un agent immobilier niçois, maître Pelloux a déposé une requête en référé-liberté devant le tribunal administratif évoquant comme principal argument 
"qu’un préfet n’est pas habilité par les textes à prendre une décision de confinement local"


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