lundi 14 septembre 2020

CONTRE LE PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE GENERALISE






NON au masque OBLIGATOIRE partout




Déjà 7 millions de Français masqués "de force"



Madame, monsieur

Il faut tout faire pour STOPPER la folie qui est en train de se répandre dans
 notre pays.

Du jour au lendemain, dans plus de 13 000 villes de France, le port du masque est devenu obligatoire.
Même dans la rue, peu importe qu’elles soient bondées ou désertes.
Même au grand air, dans les jardins publics.
Même à moto, y compris avec un casque intégral (et tant pis pour la buée…)
Même à l’intérieur de sa voiture, à Nice !
Même en maillot de bain à la plage, dans l’Hérault.

Et parfois même à vélo et en trottinette (heureusement, la plupart des villes ont fait machine arrière face à cette absurdité).

Pire, le simple fait de baisser son masque pour manger un sandwich à Paris… ou pour fumer une cigarette serait ainsi condamnable !!

Mais le plus absurde, c’est qu’à l’inverse, on a le droit de s’entasser aux terrasses des cafés et des restaurants, sans masque et sans aucun respect de la distanciation sociale.

Vraiment, on marche sur la tête !!

Et attention : si vous avez le malheur d’oublier votre masque à la maison ou si vous refusez d’en porter un, ça peut vous coûter très cher :

Les policiers et les gendarmes peuvent dresser des amendes de 135 euros.

Et en cas de récidive, si vous oubliez votre masque 2 fois, ils peuvent vous verbaliser à hauteur de 1 500 euros .

Jamais dans l’histoire récente de la France, nos libertés ont été tant malmenées.

Vraiment, c’est inouï ce qui se passe sous nos yeux :
Que des policiers et des gendarmes demanderaient une “autorisation de sortie” à des honnêtes gens qui veulent aller faire leur marché?
Qu’il serait désormais impossible de se faire la bise pour se dire bonjour, ou même de se serrer la main ?
Et qui aurait imaginé qu’un peuple entier devrait sortir “masqué” dans la rue, sous peine d’être arrêté et verbalisé par la police ?

Franchement, personne n’aurait cru une chose pareille il y a 9 mois encore.

Pourtant, après des heures et des heures de matraquage médiatique, d’interventions officielles depuis l’Élysée, ou de déclarations anxiogènes sur BFMtv, ils ont réussi à imposer le port du masque, même dans la rue.

C’est le cas à Paris depuis le 28 août.

Et aussi fou que cela puisse paraître, tout le monde obéit, sagement.

  • Personne ne réagit, comme si tout ça était normal.


    Qui aurait pu penser il y a quelques mois encore, qu’on nous empêcherait
    de sortir de chez nous quand ça nous chante ?

    Il faut se battre pour leur faire entendre raison et refuser le port du masque
    obligatoire généralisé : voilà pourquoi j’ai décidé de lancer cette grande pétition.

  • Car la situation actuelle est insensée.

    En quelques jours, ils ont réussi à imposer ça à 23,3 millions d'habitants : dans
    quelques villes, il n’y a que des zones limitées qui sont concernées comme
    les marchés, les zones piétonnes, etc.

  • Mais pour plus de 6,9 millions d’habitants, c’est obligatoire PARTOUT.


    Au nom du “virus”, ils sont prêts à sacrifier toutes nos libertés, les unes après
    les autres.

  • Hier le confinement brutal...
    … maintenant le masque
    … et après : que nous demanderont ils ?

  • D’ailleurs, la Justice a commencé à mettre son nez dans ces affaires de masque obligatoire
    et a déjà cassé certains arrêtés municipaux ou préfectoraux obligeant le port du masque.
    Ça a été le cas à Strasbourg par exemple.
    Le 3 septembre, le tribunal administratif a retoqué l’arrêté préfectoral qui imposait le port généralisé du masque à Strasbourg et dans les 12 autres principales villes du
    département du Bas-Rhin.
    « Une atteinte immédiate à la liberté d'aller et venir et à la liberté personnelle des

    personnes appelées à se déplacer dans les communes concernées »
    (Tribunal administratif de Strasbourg, le 2 septembre 2020).


    Le Conseil d’Etat a mis son grain de sel… mais la bataille n’est pas terminée.

    Ce n’est que le début, et il faut se battre pour que tous ces arrêtés municipaux ou préfectoraux soient retirés, les uns après les autres. M° Fabrice Di Vizio, un avocat spécialisé, a commencé à s’attaquer aux décisions similaires prises à Paris, Lyon et Nice.
    “On peut atteindre l'objectif de santé publique en limitant le masque à des zones de fortes densités, a des horaires de fortes densités”.
    Il faut se battre, pour que le port du masque - notamment en extérieur - reste une démarche individuelle… et raisonnable.

    Voilà pourquoi je lance cette pétition adressée au Premier ministre Jean Castex contre le port du masque généralisé dans la rue.

    Le fondement même de la démocratie, c’est de faire confiance à l’intelligence collective pour prendre les bonnes décisions. Certains parmi nous préfèrent sortir “masqués”, même dans la rue : pas de problème si ce masque ne fait pas oublier des gestes sanitaires plus importants comme un bon lavage des mains, ou une distanciation raisonnable.
    Certains n’ont pas envie d’être “muselés” toute la journée, notamment dans la rue : eux aussi doivent respectés. Chacun est suffisamment responsable pour savoir s’il se met en danger ou s’il met en danger la santé des autres.

    Il faut juste revenir au “bon sens”, chose que malheureusement, les autorités semblent avoir oubliée totalement depuis des mois :
    La preuve, ce qui se passe dans nos écoles :
    Qui a pu penser 1 seconde qu’on pouvait imposer le masque à des enfants de 12 ans ??
    Pour la plupart des enseignants de collège, qui font déjà un métier difficile, c’est une épreuve de plus.
    Comment demander un tel effort à de jeunes élèves de collège et à des lycéens.“Ça va ajouter des tensions, évidemment", prévient Matthias Hurni, professeur de mathématiques au lycée de la cité scolaire Jean Renoir à Bondy (Seine-Saint-Denis).
    Il y a déjà tous les autres “gestes barrières” qui leur sont imposés :
    éviter qu'ils se croisent trop dans les couloirs
    qu'ils soient trop entassés dans les classes
    que les réfectoires soient trop bondés…

    Pour les enseignants et pour les pauvres élèves, c’est un casse-tête sans nom !!

    Et tout ça pour quoi ?
    On ne sait même pas si ça sert à quelque chose : même l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ne recommande pas le port du masque généralisé :
    “À l'heure actuelle, l'utilisation généralisée des masques partout n'est pas étayée par des preuves scientifiques de bonne qualité”.
    Vous me direz peut-être que ce n’est pas dramatique de porter un masque de temps en temps.
    Et quand on est dans un bus tassé, dans le métro, ou même dans la queue d’un supermarché, ça permet d’éviter qu’un postillon ne s’échappe quand on toussoter ou que l’on soupire.
    Mais si à l’heure actuelle on n’a aucune preuve sérieuse que cela empêche d’être contaminé ou de transmettre le virus aux autres si on est porteur sans symptôme, il est avéré que mal utilisé, le masque peut-être catastrophique.

    Pourquoi l’obligation entraîne des comportements dangereux

    Ceux qui vivent dans les villes où le port du masque est déjà obligatoire ont vu dans quelles conditions catastrophiques cette mesure est appliquée :
    la plupart des gens gardent le même masque pendant plusieurs jours ;
    très vite, ces masques sont pleins de microbes et de virus en tous genres ;
    ils sont rangés au fond d’une poche ou d’un sac à main quand ils ne sont plus nécessaires…
    et au restaurant par exemple, on les ressort quand on doit se lever pour aller payer ou aller aux toilettes !

    Il faudrait faire une analyse biologique des masques en circulation à Paris ou dans les grandes villes pour compter le nombre de germes qu’ils portent.

    Là, les bactéries vont se développer rapidement.

    C’est d’ailleurs pour cette raison que pendant des semaines, ils nous ont recommandé de ne SURTOUT pas porter le masque.

    Depuis le début de la crise, le masque suscite les craintes d’un des plus grands infectiologues, le Professeur Didier Pittet : attention, c’est tout sauf un hurluberlu : c’est lui qui a permis la généralisation du gel hydro-alcoolique dans les hôpitaux.

    Mais pour lui, le grand public n’est pas à même de bien utiliser le masque.
    Idéalement, il faut se frictionner les mains avant de toucher le masque et de le mettre
    Ensuite de ne plus le toucher :
    Et enfin se frictionner les mains à nouveau après l’avoir enlevé.

    Honnêtement, qui fait ça ??

    Pour cet éminent professeur, si ces règles d’hygiène ne sont pas respectées, le port du masque entraîne un «risque augmenté pour la population».

    D’ailleurs, c’est exactement ce que l’on nous disait il y a quelques mois encore :
    Masques : comment ils ont changé d’avis

    Voici ce que conseillait le Gouvernement il y a quelques mois…
    … avant qu’on ne réalise que notre stock stratégique avait été détruit
    … avant que l’Etat ne commande des centaines de millions de masques…
    … avant qu’Emmanuel Macron demande à des usines françaises de lancer la fabrication de masques en tissus (qui ne protègent pas du virus).

    « Il n’y a pas besoin d’un masque quand on respecte la distance de protection vis-à-vis des autres ».

    (Sibeth Ndiaye porte-­parole du gouvernement - le 25 mars 2020)

    « Il faut sortir de ce fantasme autour des masques. Respecter une distance de plus d’un mètre, c’est beaucoup plus efficace qu’un masque. Et, surtout, on a des cas de contamination de gens qui portent des masques et le tripotent toute la journée. »

    (Agnès Pannier-Runacher, ministre, le 19 mar 2020)

    « Il n’y a pas de preuve que le port du masque dans la population apporterait un bénéfice. Ce serait même plutôt le contraire, à cause d’une mauvaise utilisation ».

    (Édouard Philippe, Premier ministre, le 1er avril 2020)

    "Le port du masque, en population générale dans la rue, ça ne sert à rien"

    (Edouard Philippe, Premier ministre, le 13 mars 2020)


    Ca, c’était le discours quand la France était en panne de masque.

    On a découvert cet été que c’était un mensonge, un vrai mensonge d’Etat

    Et maintenant, ils font volte face !!

    Ils voudraient qu’on soit masqués en permanence.

    Partout.

    Encore une fois, je ne suis pas contre le port du masque.

    Ce qui me gêne ici, c’est vraiment caractère obligatoire de cette décision.

    Certains épidémiologistes pensent comme moi que l’obligation peut-être contre-productive et entraîner une forme de rejet.

    "Le port du masque devrait être optimisé selon les situations. L’imposer 10 h de rang au travail, par exemple, en fait un objet insupportable et il ne devrait être porté que dans les situations les plus à risques. En faire une contrainte pourrait entraîner un effet inverse de rejet alors qu’il est efficace".

    (Dr Martin Blachier, épidémiologiste)

    Et il a raison : le rejet a été très rapide.

    Mais attention, ceux qui OSENT dire que le port du masque généralisé n’est pas souhaitable se font “taper sur les doigts” : 
    Les “anti-masques” dans le collimateur

    Au Canada par exemple, une pétition contre le port du masque obligatoire a fait un tollé et a dû être retirée par la plateforme qui l’hébergeait

    Alors que les signataires demandaient juste que la liberté soit respectée.

    Dans les journaux, ils commencent à s’en prendre aux anti-masques et à ceux qui osent remettre en question ces décisions brutales et à dénigrer ceux qui expriment leur indépendance.

    Ils parlent des “anti-masques” comme s’ils s’agissaient de bandits ou de hors-la-loi.

    C’est au contraire une manière de défendre la liberté et la démocratie.

    S’il vous plaît, aidez-moi à faire respecter la liberté dans nos rues, dans nos villes, dans nos villages en signant cette grande pétition adressée au Premier ministre Jean Castex contre le “port du masque obligatoire en extérieur”.





    Merci de votre aide.

    Nous devons être des centaines des milliers pour faire stopper cette mascarade.

    Guillaume Chopin

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