lundi 19 août 2019

LE LAPIN DE BOBIGNY

Envoi d'une lectrice 

Tant que l'on ne sait rien !!!!! mais en le sachant, l'on devient raciste, 
    C'est inadmissible d'accepter, de cautionner et les élus ferment les yeux
    je suis écœurée, et toi,  tu jongles chaque fin de mois. Ou est la morale dans
    ce pays
> > > Pour rappel
 Comment voulez-vous qu'il ait le temps d'aller travailler c'est ce qu'on appelle le modèle : CASTOR , IL GAGNE SA VIE AVEC SA Queue

Le Lapin de Bobigny  
> > On connaissait son nom, mais on ne l'avait jamais vu. Voilà qui est fait. Regardez comme il parade  
> > Si j'osais, je dirais qu'il est "gros et gras" comme... un cochon ! 
Vérifiez sur Google en tapant le nom du type et vous verrez. Bobigny : Adama Fanta Sangaré est Malien, 4 femmes, 46 enfants, bientôt 47 !...


Et 7.110 euros par mois d'allocations familiales auxquelles viennent s'ajouter diverses autres aides, entre les multiples autres, dédiées au logement. 

·         Soit plus de 10.000 EUR mensuellement nets d'impôts, logés, blanchis, nourris. ­­­­ 
·         Oui, vous avez bien lu et vu : 4 FEMMES et 46 ENFANTS pour un Malien dans la région parisienne. ­­­­ 
·         Contribution pour la Rentrée Scolaire 2015 = 18.327,00 EUR.
Cela explique en partie les 200 MILLIARDS ANNUEL DE L'IMMIGRATION... ­­­ 
La France est un grand pays...  Une grande terre d'accueil... et le peuple français est content, il ne dit rien !...?
CA VA ENCORE DURER LONGTEMPS ?  

Rassurez- vous chère lectrice, ce n'est pas du racisme, mais une simple question de bon sens. d'autant plus que la polygamie est interdite en France.
le Darnaga


Situation légale

Depuis la loi Pasqua de 1993, l'ordonnance de 1945 sur les étrangers interdit la délivrance de titre de séjour aux étrangers en situation de polygamie. Un arrêt d'assemblée du Conseil d'État du 11 juillet 1980, l'arrêt Montcho, a admis le regroupement familial d'étrangers dans le cas de polygamie. La seconde loi Pasqua du  interdit la délivrance de carte de séjour de dix ans aux étrangers vivant en situation de polygamie, ainsi que le regroupement familial pour les familles polygames. De fait, elle force les épouses secondaires à choisir entre l'irrégularité du séjour et le divorce accompagné de « décohabitation », processus rendu difficile par la précarité de leurs situations, la difficulté d'accéder au logement et l'amour liant sentimentalement à l'époux.
Peu après, plusieurs circulaires accompagnent les procédures dites de « décohabitation », certaines revenant sur l'interdiction stricte.
Celle du 8 février 1994 précise que les femmes qui ont des enfants français ou qui séjournent en France depuis plus de quinze ans sont inexpulsables. En 1997, le Conseil d'Etat autorise l'administration à ne pas renouveler les permis de séjour de membres de familles polygames, même si la carte a été délivrée avant l'interdiction créée par la loi Pasqua. Le 25 avril 2000 et le 10 juin 2001, deux autres circulaires accordent le renouvellement des cartes de séjour pour les familles polygames arrivées en France avant 1993, sous réserve que les ménages « décohabitent ». Selon les chiffres de la Direction des populations et des migrants du ministère des Affaires sociales, entre 8 000 et 15 000 ménages auraient vécu en état de polygamie en France en 2004. Le ministère de l'Intérieur avance des estimations entre 10 000 et 20 000. Une étude conjointe de l'INED et de l'INSEE, de 1993, avançait le chiffre de 10 000 ménages
Pour la retraite, la France a signé avec une douzaine de pays africains des Conventions de sécurité sociale dont peuvent bénéficier les familles polygames


La polygamie est en revanche librement autorisée pour les citoyens français soumis au statut particulier de droit local propre à Mayotte, statut qu'il n'est cependant plus possible d'acquérir







1 homme, 4 femmes, 46 enfants

  • Par
  • Mathieu Deslandes
Parudans l
Sangaré accompagne des familles polygames dans leurs démarches, longues et ardues, de "cohabitation". Une volte-face culturelle et matérielle.
1 homme, 4 femmes, 46 enfants
A Bobigny, plusieurs familles polygames sont accompagnées dans leurs démarches. (Capture Google Maps)
Avec ses quatre femmes et ses 46 enfants, Adama (1) était un homme heureux. Ce quinquagénaire, capable de réciter dans l’ordre les prénoms de sa descendance, régnait sur son pavillon de banlieue. Entre les cinq chambres de la maison, "la vie s’organisait comme elle pouvait", confie-t-il au téléphone. D’abord agent d’entretien, il a cessé de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant pour nourrir son monde (2). Dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle de sa réussite avec admiration. Il voudrait que ça continue. Il n’a donc pas donné d’écho particulier au bouleversement qu’il vient de connaître : deux de ses femmes ont déménagé, une troisième songe à les imiter. Elles sont engagées dans une "décohabitation", le terme administratif qui désigne la sortie de la polygamie.
"Il nous a fallu dix ans pour en arriver là", raconte Fanta Sangaré, énergique présidente de l’Association des femmes relais de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Sa première rencontre avec Adama a eu lieu à la demande des services sociaux. Avec les autres ménages polygames qu’elle accompagne, le point de départ fut comparable: des enfants attirent l’attention d’une assistante sociale ou d’un enseignant ; mais leurs parents fuient les institutions et ont toutes les peines du monde à parler français. Difficile de les aider.
Il se trouve que tous sont originaires du Mali. Fanta Sangaré aussi. L’ancienne institutrice de brousse comprend les digressions en soninké, les confidences en bambara. Elle discute, apprivoise. Entend la fierté du mari, les disputes des coépouses, la fatigue des enfants. Les réveils à pas d’heure pour prendre une douche avant l’école. Le ballon d’eau chaude toujours vide. La queue devant la porte des WC. Les repas pris chacun son tour. Les devoirs faits dans la cage d’escalier. Les lits partagés. Le bruit permanent. L’absence d’intimité. Fanta Sangaré écoute ces histoires qui se ressemblent toutes. Puis elle rappelle la règle de la République : la nécessité de rompre avec la polygamie pour obtenir un renouvellement des titres de séjour. Effroyable perspective pour ceux auxquels on a toujours enseigné que cette tradition était un idéal d’organisation sociale doublé d’une exigence divine. Il s’agit de mariages traditionnels arrangés, célébrés un été "au pays", où l’amour ne s’est pas toujours installé, mais tout de même: "Quitter son mari est impur", rabâchent les femmes. "Dieu n’a pas demandé que vos enfants soient entassés à vingt dans une même chambre", réplique alors Fanta Sangaré.
Semaine après semaine, l’idée fait son chemin. Jusqu’au jour où les femmes s’approprient le désir d’avoir leur propre logement. En signe de bonne foi, elles doivent le chercher dans une autre commune. Les mains retenant son voile noir et violet, Aminata raconte les trois années de démarches qui lui ont été nécessaires pour régulariser sa situation. Elle a quitté La Courneuve pour Bobigny avec ses quatre plus jeunes enfants. Lorsqu’une épouse part, la honte s’abat sur son mari. "Sa femme a volé son pantalon, maintenant il porte le pagne!", entend-il dans son dos. Adama préfère ne pas y penser. Il prend désormais le RER pour honorer les mères de ses enfants. Une décohabitation hypocrite? "Bien sûr, admet Fanta Sangaré. On nous reproche aussi de créer des familles monoparentales. Mais si ça aide les enfants à s’épanouir et les femmes à devenir autonomes, ça vaut le coup."
Ces femmes, en effet, n’ont jamais vécu seules, n’ont jamais eu d’emploi ni géré de budget. Elles ne savent pas se servir d’une carte bancaire ni remplir un chèque. C’est leur mari qui touchait les allocations familiales, payait les factures et faisait les courses. "Elles ont toujours été infantilisées", insiste Fanta Sangaré. "C’était très compliqué au début de vivre chez moi", confirme Salli, jeune maman de huit enfants. Elle a laissé son mari à sa coépouse et est devenue femme de ménage. Pour être tout à fait "comme les autres", elle essaye de perfectionner sa maîtrise du français. Les mystérieux "couvre-lit", "hippocampe" et "igloo" qu’elle découvre au cours d’alphabétisation lui donnent l’impression d’être encore loin du but. Mais ses amies lui connaissent un nouveau sourire.
(1) Les prénoms ont été modifiés.
(2) La Caisse d’allocations familiales verse 441,48 € par mois pour quatre enfants de moins de 20 ans, plus 158,78 € pour chaque enfant supplémentaire. Soit 1.394 € pour 10 enfants, 2.981 € pour 20 enfants, 4.569 € pour 30 enfants, 6.157 € pour 40 enfants. Sans compter d’éventuelles aides au logement.
Source: JDD papier

9 commentaires:

  1. .... et c'est pour ça que je bosse ! .... pour engraisser des parasites ...c'est pas mieux s'ils crèvent de faim ?( sélection naturelle ) ? .... j'ai honte de ce pays ( le mien ).

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  3. malheureusement ce n'est pas le seul cas,! Mais je crois qu'il bat les records! Voilà où disparaissent les milliards grâce à la complicité de nos gouvernants aussi bien de gauche comme la droite, citoyen français réveillez-vous , ne fait plus l'autruche, moi je sais pour qui je vais voter.

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  4. Ces gens là profitent de notre système en dehors des lois qui nous interdisent la poligamie mais sous couvert de nos politiques...et qui paie?

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  5. En plus il faut payer les connards qui font voter les lois qui savent habilement se contredire jusqu'à devenir inutiles. Ya plus qu'a payer.

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  6. On entend que du blablabla de nos politiques qui nous enfument a longueur de journée sur tous les sujets et maintenant sur le connardvirus. Ils s'étonnent que les français se désintéressent de la politique !!

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  7. C’est le grand Soljenitsyne, dans son discours de Harvard en 1978, qui explique le mieux notre situation :
    « Le déclin du courage est ce qui frappe le plus un regard étranger dans l’Occident d’aujourd’hui. Le courage civique a déserté non seulement le monde occidental dans son sens noble, mais même chacun des pays qui le composent, chacun de ses gouvernements, chacun de ses partis (…) Une société qui s’est installée sur le terrain de la loi sans vouloir aller plus haut n’utilise que faiblement les facultés les plus élevées de l’homme.
    Lorsque toute la vie est pénétrée de rapports juridiques, il se crée une atmosphère de médiocrité morale qui asphyxie les meilleurs élans de l‘homme. Et face aux épreuves du siècle qui menacent, jamais les béquilles juridiques ne suffiront à maintenir les gens debout. »
    Ajoutons-y la déculturation générale dont sont issus nos personnels politiques et la magistrature....

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  8. il faut envoyer a Macront et castanet

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