vendredi 30 novembre 2018

STOP A L'HYSTERIE ECOLOGIQUE PAR ROGER CASANOVA

Extrait du blog de Roger CASANOVA.

L'article est choisi parce qu'il  sort des commentaires médiatiques habituels et amène à une autre réflexion. A chacun d'avoir son opinion et de le faire partager.
Pour nous faire admettre des taxes qui ne vont que très partiellement à l'écologie, tout est fait pour culpabiliser les populations en dressant un tableau noir sur le changement climatique. Mais sommes nous bien sûr que l'activité humaine soit entièrement responsable de cette évolution? 
Peut-on agir sur les cycles naturels du climat? La nature n'aura-t-elle pas le dernier mot?

Publié par Casanova


Evolution de l'atmosphère terrestre, hors la présence de l'homme.
Evolution de l'atmosphère terrestre, hors la présence de l'homme.
Devant l’hystérie qui s’empare de nos dirigeants (pour justifier de nouvelles taxes)  et des écolos professionnels dont l’écologie est le gagne-pain, il faut se décider à mettre les points sur les i.

Il faut donc nettoyer les écuries d’Augias, sans être Hercule. C’est sans doute une gageure. Mais je m’y essaye.

Tout d’abord excusez-moi de rappeler ici que je suis docteur es-sciences, professeur d’université en retraite ex-titulaire de la chaire d’environnement et développement durable à l’Université de Nice-Sophia Antipolis, créateur de la première formation française de 3ecycle universitaire sur le développement durable (master 2) et de l’école européenne de l’environnement labellisée par l’Union européenne.

Je crois donc être autorisé à donner un avis sur la « transition écologique » dont on nous rebat les oreilles. En tout cas je crois pouvoir m’exprimer autant que les prétendus spécialistes qui sévices sur les plateaux télés ou au gouvernement, et encore plus que tous ces quidams qui pérorent au « café du commerce » sur le sujet. Tous ces spécialistes » auto-proclamés qui  assènent des vérités sorties de leur « religion » écologique . Oui de leur religion , car dans leurs dires rien n’est argumenté rationnellement et scientifiquement, quand leurs propos ne sont pas contradictoires. Ils assènent des vérités « pour sauver la planète ».

ATTENTION ! C’est de la manipulation religieuse à but lucratif !!! La « transition écologique » est un élément de langage pour justifier des taxes et impôts ou pour obtenir des avantages sonnants et trébuchants, c’est à dire des postes pour la gamelle.

La « transition écologique » française ne saurait EN RIEN, sauver la planète et ses habitants. Aujourd’hui l’émotionnel prime sur la réalité.

Bref tour d’horizon du sujet, sur le thème « c’est l’homme qui modifie le climat de la Terre », pour justifier de sanctionner le comportement des humains occidentaux, surtout français.

1° L’atmosphère terrestre.
Elle a évolué depuis les origines de la terre (voir le graphique de couverture). Le CO2 a été réduit d'un facteur 10 depuis les origines jusqu'à aujourd'hui !

A partir du moment où tout l'oxygène produit dans l'hydrosphère n'a pas été fixé par des oxydes de fer (BIF, itabirites) il a été libéré dans l'atmosphère et a commencé a oxyder le fer continental, d'où une réduction des apports de fer réduits et une augmentation de la teneur en oxygène de l'atmosphère. Production de grés rouges de type Rocher de Roquebrune (dans le Var).

NB. Le jourles végétaux verts synthétisent de la matière organique (type C6 H12 O6) à partir du CO2 atmosphérique et de l'énergie solaire et libèrent de l'oxygène. Le CO2 est indispensable aux végétaux (avis aux végétariens). Le CO2 est un gaz a effet de serre marginal par rapport à la vapeur d'eau.


Publié par Casanova


4633 – STOP au matraquage pseudo écologique (suite)
On ne peut allumer sa télé sans entendre parler de « transition écologique ». Les Français seraient-ils devenus les plus cons du monde ? Toute la nomenclatura politico-médiatique s’y met.

Il faut continuer à allumer des contre-feux… SUITE de l’article précédent. Et rappeler que la France détient le record du monde des taxes et impôts, quel qu’en soit le prétexte, y compris écologique.

SUITE de l’article précédent.

2° Après le CO2, les températures (voir le graphique de couverture).

La température de la terre n’a cessé de fluctuer sous des influences multiples, dont les mystérieuses éruptions solaires et les non moins mystérieuses, mais bien réelles inversions périodiques des pôles. Mais aussi des oscillations de l’axe de la terre (à l’échelle humaine, tous les étudiants géographes ou géologues le savent).

NB. Un blog n’est pas un cours et je ne puis développer ici les techniques d’approche de ces phénomènes.

3° La vie intime de la Terre et le volcanisme producteur de milliards de tonnes de produits lâchés dans l’atmosphère.

Certaines éruptions rejettent de telles quantités de matières qu’elles constituent de véritables montagnes de plusieurs milliers de mètres d’épaisseur (les trapps d’Inde ou de Sibérie).

Ces manifestations volcaniques rendent la pollution humaine de la France dérisoire et anecdotique. Ce qui ne veut pas dire de ma part qu’il faut l’ignorer, mais avec raison, ce qui n’est pas actuellement le cas.

S’il s’agit de sauver la planète, la « transition écologique » est donc un leurre absolu, une fumisterie, une arnaque de plus. D’autant que la France, grâce aux centrales nucléaires et à son hydroélectricité peut être montrée en exemple de pays le moins pollueur de l’atmosphère terrestre. À comparer à l’Allemagne dont l’électricité provient de centrales à charbon, particulièrement polluantes, ou comparée à la Chine qui souffre d’un mal pour l’instant incurable, celui de la combustion spontanée de ses mines de charbon.

Rappel : le volcan d'Islande eyjafjallajokull a envoyé dans les airs des milliards de particules et a paralysé l’Europe, avec répercussion mondiale en 2010 (voir image ci-dessous). Très loin des particules libérées par nos véhicules diesel français taxés par le gouvernement.

Les discours sur la nécessaire « transition écologique » en France sont des discours à caractère « religieux » donc irrationnels.

Il faut donc dire NON au prétexte écologique pour augmenter impôts et taxes.










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