dimanche 25 novembre 2018

Aujourd'hui:  Bonne fête: Catherine.

Dicton du jour: Sainte Catherine toute fille veut la fêter, mais point ne veut la coiffer.

Ça s’est passé un 25 novembre.
1615 : Mariage de Louis XIII avec l'infante espagnole Anne d'Autriche
1922 :  Benito Mussolini reçoit les pleins pouvoirs pour un an
1959 : Mort de l'acteur Gérard Philipe
1970 : Suicide de l'écrivain Yukio Mishima, l'un des plus grands écrivains japonais de l'après-guerre, qui se fait hara-kiri, après avoir tenté de soulever l'armée en vue d'un coup d'Etat
1987 : Mort d'Harold Washington, premier maire noir de Chicago
1995 : L'Irlande, dernier pays d'Europe où le divorce était encore illégal, met fin à ce particularisme en votant "oui" lors d'un référendum à la légalisation du divorce
2016 : Décès de Fidel Castro, père de la révolution cubaine

Dessin ou histoire du jour:


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Achat du pouvoir, dans Midi Libre:




Activités dans les environs:

Salernes:
SALERNES: LA CAMERATA VOCALE EN CONCERT
La Camerata Vocale de Draguignan nous invite à une aventure vocale de chant et musique baroque autour de la découverte du Nouveau Monde demain, à 18h30, au musée Terra Rossa sous un titre emprunté aux trois caravelles de Christophe Colomb: Niña, Pinta y Santa Maria.
Cette brillante soirée musicale, sous la direction d’Adèle Pons, nous propose un voyage dans le temps et l’espace dans un mélange de polyphonies européennes et sud-américaines.
À découvrir!

Villecroze:

Draguignan: Théâtre à 17h00.

LES FANTÔMES DE LA RUE PAPILLON

écriture et mise en scène Dominique Coubes

Une pièce forte et puissante, pleine d’humanisme et d’espoir, portée par deux interprètes magnifiques: le fougueux Eddy Moniot et le magnifique et sensible Michel Jonasz.
Le rideau s’ouvre sur la rue Papillon. Au milieu, un banc sur lequel est assis Joseph, un homme âgé, solitaire, de confession juive. Soudain, des halos de gyrophares, un contrôle d’identité d’un jeune «rebeu», Haïssa. Cela dégénère, malentendu, bousculade, coup de feu... Haïssa meurt sur le coup. On est le 19 février 2017.
La porte s’ouvre, Haïssa pénètre sur scène et tombe nez à nez avec Joseph, tué lors de la rafle du Vel d’Hiv le 16 juillet 1942. La porte se referme. Ce sont deux fantômes !
C’est l’histoire d’une rencontre. Une comédie humaniste entre deux êtres. L’un doit raconter la Shoah à l’autre qui ne la connaît pas. Deux générations, deux cultures différentes vont apprendre à se connaître et à s’apprécier, l’un plein de sagesse et de désillusions, l’autre plein de fougue et d’espoir. Du rire, de l’émotion, un plaidoyer sans concession contre le racisme et le rejet de l’autre. Joseph et Haïssa éveillent nos consciences sur le monde d’hier, d’aujourd’hui et celui de demain...

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